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Normdatei

John Gugelmann Pressedienst

  • CHCS000188ISAAR
  • Organisation
  • 1959?-1967

John Gugelmann Pressedienst est fondée par John Gugelmann, sans doute en 1959. Gugelmann est alors Pressechef de la compagnie de production Neue Terra Film AG, productrice de Hast noch der Söhne ja...?, de Lukas Ammann.
Par la suite, il prend son indépendance et travaille dans la promotion de films sur le territoire suisse, en collaboration avec diverses maisons de production suisses et étrangères, dont Praesens Film, Columbia, Mirisch Company. En 1967, John Gugelmann Pressedienst cesse son activité. John Gugelmann déménage à Genève, pour travailler auprès de Vita Films, société distribuant notamment les films de la Columbia Pictures en Suisse. (Sources : conversation téléphonique avec M. Bernard Uhlman, le 16 avril 2019)

Praesens-Film AG

  • CHCS000199ISAAR
  • Organisation
  • 1924-

Die Praesens Film AG ist das älteste noch existierende Filmunternehmen (Produktion und Verleih) der Schweiz. Gegründet wird es 1924 in Zürich von Lazar Wechsler (1896–1981) und Walter Mittelholzer (1894–1937). Anfänglich stellt Praesens primär Gebrauchs- und Reisefilme her; Ab 1939 gilt sie als wichtigste Produktionsfirma der Schweiz. Mit Filmklassikern wie Füsilier Wipf (1938) oder den Heidi- (1952, 1954) und Uli-Verfilmungen (1954, 1955) formt Praesens nicht nur das einheimische Filmbewusstsein, sie prägt gleichzeitig auch den Blick von aussen auf die Schweiz. Der filmische Durchbruch gelingt 1929 mit dem (stummen) Dokumentarfilm Frauennot – Frauenglück (1929), einem Film zur Abtreibungsproblematik. Mit Feind im Blut (1930) steuert Praesens einen weiteren Dokumentarfilm zur damals populären Gesundheitsaufklärung bei, der die Bekämpfung von Geschlechtskrankheiten thematisiert. 1936 wird auch So lebt China zum Schweizer Kinoerfolg. Nicht zuletzt mit den in Schweizerdeutsch Mundart gesprochenen, identitätsstiftenden Spielfilmen ist Praesens in der Lage, zahlreiche Erfolge zu verbuchen. Dazu zählen die Dialektkomödie Jä-soo! (1935) oder Füssilier Wipf (1938), die nebst Landamman Stauffacher (1941) und Gilberte de Courgenay (1941) zu den Schlüsselfilmen der Geistigen Landesverteidigung gehören.
Zudem produziert Praesens Schweizer Literaturverfilmungen: Wachtmeister Studer (1938), Die missbrauchten Liebesbriefe (1941), Das Menschlein Matthias (1941), Der Schuss von der Kanzel (1942), Matto regiert (1946/47) und Heidi (1952).
Für Marie-Louise (1944) erhält Praesens einen Oscar für das beste Drehbuch. Die Letzte Chance (1945), ein Film über das Schicksal von Flüchtlingen, die über die italiensiche Grenze in die Schweiz zu fliehen versuchen, gewinnt 1946 einen Golden Globe. Das darauf (international) produzierte, im besetzten Wien spielende Nachkriegszeitdrama Die Vier im Jeep (1951) erhält in Berlin den ersten Goldenen Bären. In den 1950er Jahren bekommt Praesens durch Firmen wie die Gloriafilm AG inländische Konkurrenz. Der weltweite Umbruch der Filmszene mit dem Aufkommen des Fernsehens und dem damit sich wandelnden Publikumsverhalten um die Mitte der 1960er Jahre verändert auch in der Schweiz die Produktionsverhältnisse nachhaltig. Wechsler zieht sich aus dem Spielfilmgeschäft zurück und stellt fast nur noch Dokumentarfilme für das Schweizer Fernsehen her (z. B. 2000 Jahre Israel. Israel zwischen gestern und morgen). 1980 gibt Wechsler seine restlichen Anteile an Praesens auf.

catpics AG

  • CHCS000260ISAAR
  • Organisation
  • 1984-

Maison de production fondée à Zurich par Alfi Sinniger, Xavier Koller et Alex Grob.

Fondation Livre-Cinéma-Théâtre

  • CHCS000262ISAAR
  • Organisation
  • 1998-2015

Créée à Genève par Jean-Louis Peverelli, Géraldine Veyrat et Philippe Aigroz en 1998. Son objectif est l'étude et la promotion d'oeuvres littéraires, leur adaptation au cinéma, au théâtre et autre forme d'expression artistique.

Ansorge, Gisèle

  • CHCS000010ISAAR
  • Person
  • 1923-1993

Gisèle Ansorge est née le 9 février 1923 à Morteau (Doubs, France) et est décédée le 17 décembre 1993 à Etagnières. Elle est la fille d'Ernest Dietrich, commerçant à Pontarlier (F). Elle épouse Ernest Ansorge en 1952. Diplômée de l'école de pharmacie de Lausanne en 1948, elle écrit dès 1958 des pièces pour la radio et la scène et se livre à l'expression plastique (dessins, collages, bijoux) parallèlement à son métier de pharmacienne. Elle imagine et exécute les dessins sur poudre noire des œuvres d'animation libres que filme son mari. Le couple joue un rôle important dans le renouvellement plastique du cinéma d'animation européen amorcé durant les années 1960 et dans la reconnaissance du genre en Suisse.
Romancière et nouvelliste, elle a notamment écrit Le jardin secret (1986, prix de la ville de Fribourg 1985), Prendre d'aimer (1988, 31992), Les tourterelles du Caire (1991, prix Schiller 1992) et Le jeu des nuages et de la pluie (1993).
D'après Roland Cosandey, "Ansorge, Gisèle, in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 18.6.2002, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9129.php

Brocher, Jean

  • CHCS000023ISAAR
  • Person
  • 1899-1979

J. Brocher est né à Vandœuvres (Genève) le 23 mai 1899, protestant, originaire de Carouge (GE), fils de Frank, médecin, et d'Eva Ramu. Il est marié à Madeleine Bret, fille de Théodore, pasteur. J. Brocher obtient un diplôme d'ingénieur de l'école d'ingénieurs de l'université de Lausanne (1921). Dès 1922, il entreprend des tournées cinématographiques en Suisse romande sous l'égide du Cinéma scolaire et populaire, puis de la Commission des cinémas populaires qu'il fonde en 1928.
Son répertoire combine "bon cinéma" et thèmes chers aux sociétés d'utilité publique (lutte contre l'alcoolisme, promotion du suffrage féminin, etc.). Pour transmettre le message, J. Brocher passe à la réalisation, diffusant sa production dans le même cadre extra-commercial: documentaires, montages d'actualités et seize films de fiction de moyen et long métrage (1924-1963).
Il est membre de la commission cantonale genevoise de contrôle des films (de 1934 jusque dans les années 1950), de l'Association suisse des producteurs de films (membre fondateur en 1934), de la Chambre suisse du cinéma (1942-1950). J. Brocher est également chroniqueur de cinéma, puis de télévision dans la Vie protestante (1938-1970). Il décède à Vésenaz, (commune de Collonge-Bellerive, Genève) le 10 décembre 1979.
D'après R. Cosandey, "Brocher, Jean", in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9144.php, version du 21.01.2003

Dalain, Yvan

  • CHCS000016ISAAR
  • Person
  • 1927-2007

Y. Dalain est un photographe, cinéaste et écrivain, né à Avenches le 17 février 1927. Après un bref parcours de comédien, il s'oriente vers la photographie et fréquente l'Ecole des arts et métiers de Vevey. Il sera reporter pour la presse suisse et internationale, photographe de mode et enfin photographe créatif de publicité. Puis il entre à la Télévision suisse romande en 1959 et devient producteur et réalisateur d'émissions de télévision et de téléfilms de fiction. Il tourne de nombreux documentaires, des films de fiction et réalise des émissions en direct.
A sa retraite, au début des années 1990, Y. Dalain se consacre à l´écriture. Il vit à Montreux jusqu'à son décès en septembre 2007.

Hofmann, Edwin

  • CHCS000041ISAAR
  • Person
  • 1934-1985

Edwin Hofmann est un collectionneur bâlois. Il est domicilié à Aesch (BL) en août 1983, lorsqu'il transmet l'inventaire de sa collection au Gewerbemuseum de Bâle. Il signe cet inventaire Edwin Hofmann-Müller.

Marti, Walter

  • CHCS000058ISAAR
  • Person
  • 1923-1999

Walter Marti (geb. 10.7.1923 Zürich, gest. 21.12.1999 Zürich), Studium der Romanistik, Kunstgeschichte, Geschichte in Zürich. 1953 Gründung der Filmproduktion Teleproduction mit Reni Mertens, die bis 1999 existierte. 1962 Mitbegründung des Verbands Schweiz. Filmgestalter. Gemeinsam mit Reni Mertens Produktion und Realisierung zahlreicher Dokumentarfilme. Bedeutender Vertreter des Schweizer Dokumentarfilmschaffens und des Neuen Schweizer Film. Vgl.: Marti, Walter, in: Historisches Lexikon der Schweiz, abgerufen am 13.4.2016. URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D9208.php.

Boeniger, René

  • CHCS000054ISAAR
  • Person
  • 1916-2010

René Boeniger est né le 29 octobre 1916 à La Neuveville, canton de Berne (Suisse). Il fréquente le gymnase à Bienne où il obtient son baccalauréat en 1936. Passionné de mécanique, il construit une caméra 16 mm sonore. De 1937 à 1939, il travaille à Berlin dans I'entreprise cinématographique Tobis-Film AG et probablement à la UFA. Il est mobilisé durant la Seconde Guerre mondiale au sein du Service du Film de l'Armée (Armeefilmdienst). Il collabore en tant que caméraman, assistant-régisseur et réalisateur à une cinquantaine de sujets du Ciné-Journal suisse ainsi qu'à diverses productions de Tonfilm Frobenius (Bâle), Gloriafilm (Zurich), Markus-Film, Kern Film (Bâle) et Central-Film (Zurich). En 1947, il entre à la Condor-Film (Zurich). En 1958, il fonde avec Georges Alexath la maison de production A+B Film AG (films de commande et publicitaires). En septembre 1966 il crée Delta-Film, René Boeniger, société de production qu'il dirigera seul et dont les activités se poursuivront jusque dans les années 1990. Marié et père de deux filles, il décède le 29 octobre 2010 à Zurich

Veuve, Jacqueline

  • CHCS000066ISAAR
  • Person
  • 1930-2013

J. Veuve est née le 29 janvier 1930 à Payerne, fille de Maurice Reber, fondé de pouvoir, et d'Yvonne Reymond. En 1956, Jacqueline épouse Léopold Veuve, architecte et chargé de cours. Après une formation de bibliothécaire et de documentaliste à Genève, elle effectue un stage au Musée de l'Homme à Paris (1955) et devient assistante de Jean Rouch au Centre national de la recherche scientifique. En 1966, elle obtient un brevet d'institutrice à l'Ecole normale de Lausanne.
Amenée au cinéma par l'ethnologie, J. Veuve tourne un premier court métrage avec Yves Yersin en 1966. Elle réalise des films didactiques au cycle d'orientation de l'enseignement secondaire de Genève (1968-1988) et produit des émissions de jeunesse pour la Télévision suisse romande (1968-1971). Elle effectue ensuite un stage chez Richard Leacock au Massachusetts Institute of Technology (1972-1973). A la suite de son premier long métrage, La mort du grand-père (1978), consacré à son grand-père, l'entrepreneur Jules Reymond, J. Veuve tourne de nombreux films documentaires primés internationalement. La cinéaste se voit décerner le prix du cinéma suisse pour le meilleur documentaire (1998) et le prix d'honneur du cinéma suisse pour l'ensemble de son œuvre (2013). Elle décède le 18 avril 2013 à Bourg-en-Lavaux.
[D'après M. Gautier, "Veuve, Jacqueline", in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F42629.php, version du 03.01.2015]

Leclerc, Aline

  • CHCS000081ISAAR
  • Person

Grand, Philippe

  • CHCS000086ISAAR
  • Person
  • 1945-

Réalisateur et producteur né en 1945 à Sion (Valais)

Dosseff, Ivan

  • CHCS000087ISAAR
  • Person

Garbade, Robert D.

  • CHCS000088ISAAR
  • Person

Le zurichois Robert D. Garbade a travaillé en tant qu'assistant sur le tournage de plusieurs films suisses, dont Weyherhuss (La maison de l'étang, 1940, de R. Guggenheim), S'Margritli und d'Soldate (Marguerite et les soldats, 1940/1941, de A. Kern), Matteo regiert (Meurtre à l'asile, 1946/1947, de Leopold Lindtberg). Il a également réalisé des films documentaires.

Tomek, Werner

  • CHCS000071ISAAR
  • Person

Werner Tomek (Hochwald, Soleure), fils de l'opérateur de cinéma Gabriel Tomek, possède une collection d'appareils de cinéma et de films nitrate.

Ruf, Rudolf

  • CHCS000095ISAAR
  • Person
  • 1916-2008

Rudolf Ruf est né le 13 mai 1916 à Bâle. Il étudie à l'Ecole Supérieure de Commerce de Neuchâtel, s'assurant ainsi de bonnes connaissances de la langue française. Il continue sa formation commerciale à Bâle, tout en suivant des cours d'art dramatique. Il joue d'abord dans de petits groupes de théâtre bâlois sous le nom de Karl Rudolf. Puis il joue notamment dans le cabaret Kikeriki, au Theater Basel (1969-1996), le théâtre Fauteuil (1965-1990 environ), le théâtre de la ville de Lucerne et le théâtre Neumarkt à Zurich. Il joue ses derniers rôles au sein de la Helmut Förnbacher Compagny. Durant sa longue carrière, Ruf interprète des rôles de registres très différents, dans un répertoire tant moderne que classique. Atteint d'une maladie des yeux, il doit mettre fin à cette activité.
Rudolf Ruf est également actif dans le domaine du cinéma et de la télévision. Il cumule les petits rôles dans des productions suisses et parfois allemandes ou françaises. Dans les années 1960, Ruf est notamment engagé dans des productions de Franz Schnyder pour plusieurs films issus de l'oeuvre de Jeremias Gotthelf (Gotthelf-Verfilmungen). L'acteur gère également des castings pour le cinéma et la télévision.
Il est décédé à Liestal en novembre 2008.
[source: Waldmann, Thomas, "Rudolf Ruf", in: Kotte, Andreas (éd.) Theaterlexikon der Schweiz, Chronos Verlag Zürich 2005, vol. 3, p. 1544; Basellandschaftliche Zeitung Nordschweiz / Liestal, 9 septembre 1994 et 3 novembre 2008. En ligne: http://tls.theaterwissenschaft.ch/wiki/Rudolf_Ruf (consulté le 15 juillet 2019]

Duvanel, Charles-Georges

  • CHCS000103ISAAR
  • Person
  • 1906-1975

Né le 10 mai 1906 à Aarau, Ch.-G. Duvanel suit l'école secondaire de Bulle, puis entre à l'Ecole de Commerce de Neuchâtel, formation qu'il interrompt en 1924. Il apprend le métier de cinéaste avec Arthur-Adrien Porchet à l'Office cinématographique de Lausanne, pour lequel il filme documentaires (Les Ailes en Suisse, 1929) et actualités (1924-1929). Devenu l'un des cameramen du premier Ciné-Journal suisse, Duvanel travaille pour Arnold Fanck avant d'être chef-opérateur de l'expédition allemande de Günter Oskar Dyhrenfurth dans l'Himalaya (Himatschal, der Thron der Götter, 1931). Installé à Genève, il mène une carrière de producteur-réalisateur indépendant, se spécialisant dans le film de commande (pour les CFF, le CICR, l'Office suisse d'expansion commerciale). Entre 1935 et 1971, il associe à cette production le laboratoire genevois Cinégram et des collaborateurs comme le critique de cinéma Arnold Kohler, l'écrivain Maurice Zermatten ou le musicien Hans Haug. Membre fondateur de l'Association suisse de producteurs de film (1935), il siège à la Chambre suisse du cinéma (1942-1963). Il décède le 18 juin1975 à Bernex.
D'après R. Cosandey, Charles-Georges Duvanel, in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 27.7.2004, url : http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9158.php

Ansorge, Ernest

  • CHCS000009ISAAR
  • Person
  • 1925-2013

Ernest Ansorge est né le 28 février 1925 à Lausanne. Son père y exerce la profession d' hôtelier. Il épouse en 1952 Gisèle Dietrich. Ingénieur-mécanicien diplômé de l'EPUL (ancien nom de l'EPFL, 1951), il travaille chez Escher-Wyss à Zurich (1952-1958) qu'il quitte pour créer Nag-Film à Etagnières. Cofondateur du Groupement suisse du film d'animation (GSFA, 1968), dont il fut secrétaire et président, il est également membre de la commission fédérale du cinéma (1977-1984), cofondateur et réalisateur de l'Association Plans-Fixes (1979), membre du comité de la Fondation vaudoise pour le cinéma (1986). Dès 1958, Ansorge réalise, avec sa femme, des films d'animation, dont Les Corbeaux (1967), Fantasmatic (1969, prix ex-aequo du Festival du film de Locarno), Smile 1+2+3 (1976) et Sabbat (1990). il crée un atelier de réalisation de films à l'hôpital psychiatrique de Cery (1962-1981). Il est nommé vice-président de l'Association romande des communautés Emmaüs (1989).
Ernest Ansoge est décédé le 26 décembre 2013 à Lausanne.
D'après R. Cosandey, "Ansorge, Ernest" in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 11.3.2014, url http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9128.php

Müller, Carl

  • CHCS000114ISAAR
  • Person
  • 1903-1990

Carl Müller naît le 6 juillet 1903 à Pasing (Münich). A l’âge de 14 ans, il déménage avec sa famille à Berne, où son père Adolf Gustav (1863-1943) est ambassadeur d’Allemagne en Suisse - ou ministre plénipotentiaire en Suisse en janvier 1919, selon le Dictionnaire historique de la Suisse. Carl fréquente le gymnase à Münich puis à Berne, étudie la médecine à Genève, Berne et Berlin, où il obtient le doctorat en 1927. Il pratique à l’hôpital universitaire de la Charité de Berlin. Il rentre en Suisse lors du changement de régime. En 1944, il épouse Katharina Jost (dite Käti). En 1945 naît leur fils Christoph et en 1947 leur fille Monika.
Devenu citoyen suisse, Carl Müller pratique la gynécologie de 1938 à 1972 dans son cabinet à Berne. Gynécologue renommé, il est privat-docent d'obstétrique et de gynécologie à l'université de Berne (1944) et professeur honoraire (1959-1966). Il écrit en outre d'importantes études sur le folklore et l'histoire de la médecine. Particulièrement intéressé par l’éthique médicale, il publie Jeremias Gotthelf und die Aerzte (1959) pour lequel il reçoit le prix littéraire du canton de Berne.
Le réalisateur Franz Schnyder entre en contact avec Carl Müller pour le film Annebäbi Jowäger. Dans cette histoire de Gotthelf, la médecine prend une place centrale : d’un côté le charlatan, de l’autre le médecin. La famille Müller est invitée sur les lieux du tournage. De là vient le contact entre Käti Müller et Franz Schnyder qui conduit à leur correspondance épistolaire.
Carl Müller décède le 8 avril 1990 à Berne.

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