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Solothurner Filmtage (SFT)

  • CHCS000135ISAAR
  • Corporate body
  • 1966-

Les Journées cinématographiques de Soleure (Solothurner Filmtage, abrégé SFT) sont le plus important festival consacré au cinéma suisse et un promoteur central de ce cinéma. Fondé en 1966, il est l’un des plus anciens festivals de cinéma du pays.
L'organe de tutelle des SFT est la Société suisse des Journées cinématographiques de Soleure (SSJS) - Schweizerische Gesellschaft Solothurner Filmtage (SGSF), créée en 1967. Voir le lien vers sa notice d'autorité SGSF dessous.
Le festival a lieu chaque année au mois de janvier dans la ville de Soleure.

Festival International Médias Nord-Sud (FIMNS)

  • CHCS000138ISAAR
  • Corporate body
  • 1985-2011

En 1985, Jean-Philippe Rapp, alors co-directeur de l'émission Temps présent à la Télévision Suisse Romande, mais aussi chargé de cours à l'Institut des études du développement (IUED), s'allie à Jaques Forster, directeur de l'IUED et Philippe Grandjean, journaliste. Ensemble, ils lancent à Genève les premières «Rencontres Médias Nord Sud». Leur ambition : contribuer au rééquilibrage de l'information entre pays développés et en voie de développement, et déchiffrer les grandes questions du temps (tiré du site internet du FIMNS www.nordsud.ch).
Une fois par année, autour d'un thème choisi, le FIMNS organise la projection de très nombreux films documentaires, dans le cadre d'un concours, ainsi que divers colloques. Le tout est ouvert au public. Dès 2007, chaque thème est traité en deux ans : à Genève d'abord, puis dans une région du monde en lien avec le thème l'année suivante (Inde, Burkina Faso).
Le FIMNS cesse ses activités après l'édition de 2011.

Schweizerische Gesellschaft Multimedia Forum Solothurn (MMF)

  • CHCS000146ISAAR
  • Corporate body
  • 1996-

Association créée par des représentants de la Schweizerische Gesellschaft Solothurner Filmtage (SGSF) et de l'International Television Association (ITVA) le 17 janvier 1996. Son but est de promouvoir les liens entre le cinéma et le monde numérique. Pour ce faire, elle organise un forum. Une première édition du forum a lieu en 1995, sous une autre forme administrative, en tant que manifestation (Veranstaltung) des Journées cinématographiques (Solothurner Filmtage - SFT).
Une seconde édition, qui aurait été la première organisée sous l'égide du MMF, est programmée du 26 au 27 septembre 1996. Lors de l'Assemblée générale (AG) des membres de la SGSF du 15 juin 1996, cette manifestation est annoncée comme reportée d'une année en raison de difficultés financières. Il n'y a plus signe de la manifestation dans les procès-verbaux des AG suivantes, ni dans ceux du comité (Geschäftsleitung).

Auswahlschau Solothurner Filmtage (AWS)

  • CHCS000147ISAAR
  • Corporate body
  • 1993-

Association créée par la Schweizerische Gesellschaft Solothurner Filmtage (SGSF) - Société suisse des Journées cinématographiques de Soleure en 1993, afin d'organiser en Suisse une tournée des films sélectionnés par le Solothurner Filmtage (SFT). Le programme est nommé en français "Sélection des Journées de Soleure". Cette sélection Auswahlschau existe avant la constitution en association.

Citel Films Distribution S.A.

  • CHCS000163ISAAR
  • Corporate body
  • 1978-1998

Société de distribution de films, créée en parallèle de la société Citel Productions S.A. en 1978. Le but de cette séparation était de dissocier les risques de la production de ceux de la distribution. Citel Productions S.A. a été fondée en 1976 par Yves Peyrot. En 1980, Citel Distribution S.A. a été partiellement repris par la société Sonor S.A., groupe de presse possédant entres autres le journal La Suisse. La faillite de Sonor S.A. en 1999 a entrainé celle de Citel Distribution S.A., clôturée en 1998. [Source : entretien avec Yves Peyrot, par Laurence Gogniat et Marthe Porret, in: Cinémémoire.ch, 12.11.201, http://wp.unil.ch/cinememoire/files/2012/08/Transcription_Peyrot.pdf ; Registre du commerce du canton de Genève ; Que se passe-t-il chez Citel, in: Cinébulletin, mai 1987.]

Association Archimob

  • CHCS000170ISAAR
  • Corporate body
  • 1998 - 2019

Archimob (archives de la mobilisation) est une association fondée en 1998 à l’initiative du cinéaste Frédéric Gonseth. Elle œuvre pour la collecte et l’archivage de témoignages sur les années de la Deuxième Guerre mondiale en Suisse. Entre 1999 et 2001, Archimob mène une vaste entreprise d’histoire orale : 555 interviews filmées de personnes témoins de cette époque sont réalisées, afin de récolter la mémoire vivante des années 1939-1945 en Suisse. Ce travail donne naissance à l’exposition « L’Histoire c’est moi », qui est présentée dans diverses villes de Suisse entre 2004 et 2008, à une série de films documentaire intitulée « Regards en arrière » à laquelle contribuent plusieurs cinéastes, et à la publication d'un livre, « Mémoire d'une Suisse en guerre ». L'association est dissoute en 2019, le projet étant achevé. (Source : site internet www.archimob.ch, consulté le 13 mai 2019 ; fonds Archimob)

Travelling (revue)

  • CHCS000211ISAAR
  • Corporate body
  • 1963-1980

Le premier numéro de la revue Travelling est paru en 1963, édité par le Groupe d’étude du film (GEF), association à but non lucratif n’existant que que dans ce but. C’est le jeune cinéphile Marcel Leiser, alors étudiant âgé de 18 ans, qui écrit et réalise presque seul ce premier numéro. Longtemps entièrement réalisée de manière artisanale par des jeunes passionnés, la revue rassemble une équipe de rédacteurs réguliers ou occasionnels, parmi lesquels on retrouve les futurs cinéastes Marcel Schüpbach et Jean-François Amiguet, la future responsable du documentaire à la TSI Luisella Realini, le futur titulaire de la chaire de cinéma de l’Université de Lausanne François Albera et le futur directeur de la Cinémathèque suisse Hervé Dumont. Marcel Leiser en reste le rédacteur en chef jusqu’en 1975. La revue est alors reprise par la Cinémathèque suisse, grâce à l’entremise d’André Chevailler, collaborateur de la Cinémathèque et membre de longue date de l’association. Travelling cesse de paraître en 1980.

(Sources : Travelling n°1 ; Marcel Leiser, profession : cinéphile. 2011. ; Marcel Leiser. Curriculum Vitae / repères. R. Cosandey, 2011 ; M. Porret, «Diffuser le jeune cinéma romand partout!», in Boillat A., Brunner P., Flückiger B., Kino CH/Cinéma CH, Rezeption, Asthetik, Geschischte/Réception, esthétique, histoire, Marburg, Schüren, 2008)

Milos-Films SA

  • CHCS000232ISAAR
  • Corporate body
  • 1966-

Société de production de films, créée en 1966 par Freddy et Micheline Landry et les quatre réalisateurs Claude Champion, Francis Reusser, Jacques Sandoz et Yves Yersin. La société est ainsi nommée en hommage à Milos Forman.

Groupement Suisse du Film d'Animation

  • CHCS000291ISAAR
  • Corporate body
  • 1968

Le GSFA a été fondé le 12 octobre 1968 à Fribourg. Parmis les membres fondateurs se nomment : Bruno Edera, Nag et Gisèle Ansorge, Georges Schwizgebel, Claude Luyet et Daniel Suter. Le but était de fédérer toutes les personnes actives dans l’animation en Suisse, afin d’échanger et de collaborer pour promouvoir la création du cinéma d’animation.
(Source: Site internet du GSFA : https://swissanimation.ch/fr/a-propos/50-ans-du-gsfa)

Pro Helvetia

  • CHCS000299ISAAR
  • Corporate body
  • 1939-

Pro Helvetia ist eine öffentlich-rechtliche Stiftung, welche Schweizer Kunst und Kultur unterstützt und verbreitet. Als Förderinstitution der Schweizerischen Eidgenossenschaft ist sie für die Promotion und Verbreitung von Schweizer Kultur im Ausland sowie für Schweizer Länderauftritte an internationalen, kulturellen Grossanlässen zuständig. Zudem fördert sie den kulturellen Dialog zwischen den Landesteilen und unterstützt die Künste im überregionalen Kontext.

Schaub, Martin

  • CHCS000052ISAAR
  • Person
  • 1937-2003

Martin Schaub est né le 3 avril 1937 à Zurich et décédé dans cette même ville le 14 juin 2003, fils de Theophile, peintre et de Luzie Hedwig Magdalena, née Schmidt. Il épouse en premières noces Margrith Rufer et en seconde noces Maly Schreyer. M. Schaub étudie la littérature allemande à l'Université de Zurich, où il obtient un doctorat. Il est rédacteur de la rubrique locale et étrangère à la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) (1963-1968), puis responsable de la rubrique "Cinéma" au Tages-Anzeiger (1968-1983 ). Co- fondateur et collaborateur du Tages-Anzeiger-Magazin, directeur de la revue Cinema. Auteur d'écrits sur la photographie et sur le cinéma, essayiste, grand défenseur du nouveau cinéma suisse (Alain Tanner, Fredi Murer, Claude Goretta), M. Schaub fut l'une des voix les plus marquantes de la critique cinématographique suisse. Prix culturel de la Ville de Zurich (2000).
D'après M. Gautier, "Martin Schaub", in Dictionnaire
historique de la Suisse (DHS), url: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F48775.php, version du 29.10.2010

Sierck, Hans Detlef

  • CHCS000005ISAAR
  • Person
  • 1897-1987

Douglas Sirk, de son vrai nom Hans Detlef Sierck, est né le 26 avril 1897 à Hambourg. Son père, d’origine danoise, était enseignant et journaliste. Engagé volontaire lors de la Première Guerre mondiale, le jeune homme fait ensuite des études de droit, histoire de l’art, littérature et théâtre à Munich, Iéna et Hambourg. Il s’adonne en amateur à la peinture et fréquente les salles de cinéma. Il commence sa carrière de metteur en scène au Deutsches Schauspielhaus de Hambourg en 1920 puis travaille à Chemnitz et à Brême. En 1929, il accepte un poste de directeur à Leipzig et monte également des spectacles à Berlin. Mais, en 1933, le Staatstheater Berlin renonce à l’engager à cause de l’origine juive de sa deuxième épouse, la comédienne Hilde Jary.
Le Parti nazi suggère à Sierck de se séparer de sa femme, ce qu’il refuse; Hilde ne trouve aucun engagement dans les années suivantes et le couple est en but à des tracasseries de plus en plus graves. Néanmoins, ils se rendent ensemble à Heidelberg, où Sierck doit monter une pièce de Heinrich von Kleist. Hilde échappe de justesse à une arrestation. Le fait que sa première épouse – et mère de son unique fils Klaus Detlef - appartienne au parti nazi rend la situation encore plus dramatique. En 1934, Sierck abandonne finalement Leipzig au profit de Berlin, où il entame une carrière dans le cinéma à la UFA.
Le répit est de courte durée mais deux succès améliorent ses finances, Das Mädchen von Moorhof et Stützen der Gesellschaft. Sierck tournera encore Schlussakkord, Das Hofkonzert et Zu Neuen Ufern avant de profiter des scènes de La Habanera dont le tournage est prévu à l’étranger pour récupérer son passeport et quitter le pays à la fin de 1937.
Il se rend à Vienne, Rome, Paris, Montreux où il supervise le tournage d’une production franco-suisse, Accord final (sans que son nom apparaisse au générique) puis séjourne aux Pays-Bas ; déchus de leur nationalité allemande, Sierck et sa femme émigrent aux Etats-Unis en 1939, invités par la Warner Bros.
Devenu Douglas Sirk, il travaille comme scénariste et réalisateur, principalement pour United Artists, Columbia puis Universal, avec lesquelles il réalise une trentaine films jusqu’en 1959, parmi lesquels Magnificent Obsession, Written on the Wind, A Time to Love and a Time to Die, et sa dernière œuvre, Imitation of Life.
Dans les années 1960, Sirk retravaille en Allemagne à quelques mises en scène de théâtre et donne des cours à la Hochscule für Fernsehen und Film de Munich.
Il décède le 14 janvier 1987 à Lugano en Suisse.
[Sources : d’après D. Sirk, Lebenslauf in Form einer Versicherung an Eider Statt, tapuscrit, 4 p., [1956?], in Fonds Douglas Sirk. J. Halliday, Sirk on Sirk, Secker & Warburg, London, 1971. J Halliday, Conversations avec Douglas Sirk, Cahiers du Cinéma, Paris, 1997. H. Dumont, Histoire du cinéma suisse. Films de fiction 1896-1965, Cinémathèque suisse, 1987]

Engler, Robi

  • CHCS000035ISAAR
  • Person
  • 1940-

Né à Saint-Gall le 18 novembre 1940, Robi Engler étudie à l'Ecole des Beaux-arts et fait un apprentissage de graphiste. Il débute sa carrière dans le domaine de la publicité à Londres, à Paris et à Zurich. Il étudie ensuite le cinéma d’animation à l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs à Paris.
Dès 1975, il fonde son atelier Animagination à Lausanne et devient réalisateur indépendant de cinéma d’animation. Engler faisait partie du groupe NRJ (avec Ansorge et Jean Perrin) qui créé la série les Volbecs, Si j’étais…si j’avais et d’autres dessins animés pour enfants pour la télévision suisse romande. Il produit également des publicités, des films éducatifs et industriels pour la Suisse.
Il a été président du GFSA (Groupement suisse du film d’animation) de 1992 à 1998, et il est membre de l’ASIFA (Association Internationale du Film d’Animation). Il était ami avec un des directeurs du festival d’animation à Annecy, ce qui explique la quantité de cassettes de démonstration qu’il y a dans ce fonds, Engler était un intermédiaire accessible pour les animateurs qui aspiraient à montrer leurs œuvres au festival.
Très souvent on retrouve une dimension didactique dans l’activité de Robi Engler. Dès la création de son atelier en 1975, Engler organise et collabore à de nombreux ateliers d’animations dans des établissements secondaires de toute la Suisse et partout ailleurs dans le monde. Il a d’ailleurs publié un livre à ce sujet Les ateliers de cinéma d’animation en 1982, et réédité en 1993.
En 2003, en collaboration avec la Belgique, Engler réalise le premier long métrage suisse d’animation par ordinateur Globi and the stolen Shadows.
Robi Engler reste très actif aujourd’hui, mais plutôt du côté de l’Asie. Il a collaboré avec le studio d’animation Xanthus de Taiwan pour la série animée Traces en 2010. Engler continue de transmettre sa fièvre d’animation au Tainan College of Arts de Taiwan.

Frey, Willy

  • CHCS000014ISAAR
  • Person
  • 1906-1979

Pasteur et cinéphile, Willy Frey est l’un des fondateurs du ciné-club La Guilde du Film à La Chaux-de-Fonds. Il fait partie d'une commission de l'Eglise Réformée neuchâteloise dont la cheville ouvrière était le pasteur Durupthy, chargé d'organiser dans les paroisses des projections de films en 16 mm.

Dès son arrivée à La Chaux-de-Fonds en 1942, Willy Frey s'intéresse aux activités culturelles de la ville et, dès leur création, au Club 44, à la Société de culture contemporaine et à la Guilde du Film. Persuadé que l'Eglise devait voir dans le cinéma autre chose que l'illustration édifiante de grands principes moraux, il a lui-même créé un groupe de cinéma, le Groupe de cinéma de l'Eglise, et organisé parallèlement à la Guilde du film, ou parfois avec elle, des projections dans un cinéma de la ville.

W. Frey tient également une chronique hebdomadaire dans Coopération, du temps où ce journal contenait encore des pages locales dans les années 1950. Le pasteur y parle des films projetés dans les cinémas de la ville, sans les avoir vus pour la plupart. C'est donc un travail de seconde main qui nécessite une information régulière et précise, d'où l'établissement d'une collection de coupures de presse (surtout la presse française, notamment Les Lettres françaises, avec Georges Sadoul, puis Arts et Spectacles) et d'un fichier contenant pour chaque film les références à certaines revues de cinéma régulièrement dépouillées, notamment les Cahiers du cinéma.
[source: Jean Frey, fils de Willy, courrier à la Cinémathèque suisse, 2 décembre 2013; Collection Willy Frey, cote CSL 096]

Edera, Bruno

  • CHCS000029ISAAR
  • Person
  • 1937-2020

Bruno Edera est né le 3 novembre 1937 à Ste-Croix (Vaud). Il fait un apprentissage de mécanicien de précision chez Paillard SA, fabricant des appareils de cinéma Bolex puis un certificat fédéral de capacités. Il suit de nombreuses formations, en particulier un cours de technique du scénario cinématographique et un cours de technique générale cinématographique (Paris) puis plusieurs cours à la Télévision Suisse Romande (TSR). Il fait du théâtre et du cinéma amateur; par ailleurs spectateur assidu et animateur de ciné-club, il fréquente dès les années 1960 plusieurs festivals de cinéma d'animation dont Annecy, Zagreb et Ottawa.
En mars 1967, Bruno Edera entre à la TSR; il travaille au secteur "Science et Education" jusqu'en 1972, année où ce secteur est supprimé. Il collabore à de nombreuses émissions d'animation et devient responsable des achats et des coproductions de films d'animation avec des cinéastes extérieurs.
En 1968, avec le réalisateur Ernest Ansorge et le directeur de la Cinémathèque suisse, Freddy Buache, il fonde le groupement Suisse du Film d'Animation, section de l'Association Internationale du Film d'Animation. Il organise des concours pour les jeunes et écrit de très nombreux articles, contributions à des catalogues de festivals et études sur le cinéma d'animation, parmi lesquels Full length animated feature films (1977), Histoire du cinéma suisse d'animation, Travelling n°51-52, Edition Cinémathèque suisse, Lausanne (1978) et Le cinéma d'animation africain (1993).
Cinémathèque suisse, 2017.
Bruno Edera décède le 17 novembre 2020.

Pizzotti, Ernest

  • CHCS000032ISAAR
  • Person
  • 1905-1984

Ernest Pizzotti est un peintre, graveur et dessinateur lausannois, connu comme "le peintre des chantiers". Il est également l'auteur de sept films d’animation, qui sont pour lui comme un prolongement de sa peinture. Filmographie:
Jérémie, d'après un texte de Jean Rictus, 1960-1971
Jérémie a des visions, d'après un texte de Jean Rictus, 1963
Le rêve de Jérémie, 1966
La Peur du Petit Louis, [sans date]
Jérôme trouve l'inspiration, 1967
Le Printemps reviendra, 1968
Pauvre sonneur, d'après un texte de C.-F. Landry, [sans date]

[source: site officiel Ernest Pizzotti, http://www.studiopizz.ch/ernest.pizzotti/index.htm, consulté le 22 décembre 2015]

Galley, Jean-Pierre

  • CHCS000033ISAAR
  • Person
  • 1925-2003 env.

Jean-Pierre Galley est un cinéaste amateur, auteur de films documentaires en Super8 notamment sur des cantons et des villes suisses, la Belgique et l'Allemagne. Il s'est particulièrement intéressé aux bâtiments lausannois. Il est membre de ciné-clubs et participe à des concours de cinéastes amateurs, particulièrement en Allemagne (Berlin, Cologne, Duisbourg) dans les années 1980-1990. Sur le plan professionnel, il est concierge au gymnase du Belvédère à Lausanne, où il anime le département audio-visuel. Depuis sa retraite en 1990, J.-P. Galley est domicilié à Aigle jusqu'à son décès, survenu vraisemblablement fin 2003.
[source: CH CS CSL 076 Papiers Jean-Pierre Galley, boîtes 1 et 2]

Probst, Eduard

  • CHCS000034ISAAR
  • Person
  • 1906-1970

Fils d'architecte, Eduard Probst est né à Zurich. Il suit les cours de l'Ecole des arts et métiers à Zurich et à Bâle. Il fait des stages en 1924 auprès de la firme américaine Sunshine Production et des studios de l'UFA à Berlin. Il fait ses études d'architecture à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich puis travaille quelques années avec son père. Devenu en 1933 directeur de prise de vues et conseiller artistique de la firme pro-allemande Terra Film (Berlin-Zurich), Probst réalise en 1936 ses premiers courts métrages documentaires sous l'égide de la Centrale suisse du film. Il se passionne pour l'histoire et aime la montagne. Il fonde en 1938 à Zurich la société de production Probst-Film, spécialisée dans la location d'équipements techniques. L'échec de L'orage sur la montagne, film dont il avait assumé la mise en scène, le contraint à liquider son entreprise en 1944. Après la guerre, il est envoyé par le Département politique en Allemagne et en Espagne pour promouvoir la renaissance de l'industrie cinématographique. Il travaille ensuite de nouveau comme architecte et comme photographe.
D'après Michel Gautier, "Eduard Probst", in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 13.07.2010, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9219.php

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