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Notice d'autorité
Collectivité

Guillaume, Samuel et Frédéric

  • CHCS000201ISAAR
  • Collectivité
  • 1976-

Frères jumeaux nés à Fribourg en 1976, Samuel et Frédéric Guillaume sont des réalisateurs et producteurs suisses, actifs particulièrement dans le domaine du cinéma d'animation.

Schweizerische Arbeiterbildungszentrale (SABZ)

  • CHCS000026ISAAR
  • Collectivité
  • 1912-

Centrale crée à Berne par le Parti socialiste suisse et l’Union syndicale suisse. Elle commence l'utilisation du film comme outil de formation et moyen de propagande dès les années 1920.
Sources: Giacomo Bernasconi, La centrale suisse de formation des syndicats a cinquante ans, in Revue syndicale suisse : organe de l'Union syndicale suisse, Band 54 Heft 11 Jahr 1962. http://dx.doi.org/10.5169/seals-385260 [consulté le 11.02.2020].
Films du mouvement ouvrier suisse: le fonds SABZ-CEO: http://memoriav.ch/projects/filme-zur-schweizerischen-arbeiterbewegung-der-bestand-der-sabz-cseo/ [consulté le 11.02.2020].

Association Archimob

  • CHCS000170ISAAR
  • Collectivité
  • 1998 - 2019

Archimob (archives de la mobilisation) est une association fondée en 1998 à l’initiative du cinéaste Frédéric Gonseth. Elle œuvre pour la collecte et l’archivage de témoignages sur les années de la Deuxième Guerre mondiale en Suisse. Entre 1999 et 2001, Archimob mène une vaste entreprise d’histoire orale : 555 interviews filmées de personnes témoins de cette époque sont réalisées, afin de récolter la mémoire vivante des années 1939-1945 en Suisse. Ce travail donne naissance à l’exposition « L’Histoire c’est moi », qui est présentée dans diverses villes de Suisse entre 2004 et 2008, à une série de films documentaire intitulée « Regards en arrière » à laquelle contribuent plusieurs cinéastes, et à la publication d'un livre, « Mémoire d'une Suisse en guerre ». L'association est dissoute en 2019, le projet étant achevé. (Source : site internet www.archimob.ch, consulté le 13 mai 2019 ; fonds Archimob)

Columbia Tri-Star

  • CHCS000210ISAAR
  • Collectivité
  • 1924 -

Columbia Pictures, société américaine de production et de distribution de films, a été fondée en 1924 à Los Angeles. En 1982, Columbia s'associe à HBO et CBS pour créer une société de production commune : il s'agit de Tri-Star (qui devient TriStar, sans trait d'union, en 1991). En 1989, Columbia est rachetée par Sony Pictures. Columbia et Tri-Star sont alors fusionnés en une seule société, la Columbia TriStar Motion Picture Group.

(Source: Columbia Pictures, Wikipedia. Disponible à l'adresse . https://fr.wikipedia.org/wiki/Columbia_Pictures [consulté le 04.03.2020]
Dick, Bernard F. (1992). Columbia Pictures: Portrait of a Studio. Lexington, Ky.: University Press of Kentucky.

Association Films Plans-Fixes

  • CHCS000215ISAAR
  • Collectivité
  • 1979-

Association fondée le 12 octobre 1979 à Yverdon-les-Bains. Sans but lucratif, elle est régie par les articles 60 et suivants du Code civil suisse. La principale activité de l'Association est la production de portraits filmés de personnalités de la Suisse romande. Le premier film est tourné le 19 décembre 1977, avant la constitution en Association. En 2017, ce sont 320 films qui auront été tournés.
En 2019, le siège social qui était à Yverdon-les-Bains dès la fondation, est tranféré à Lausanne auprès de la Cinémathèque suisse.
[Source: site de l'Association, rubriques Historique (https://www.plansfixes.ch/lassociation/historique/) et Statuts https://www.plansfixes.ch/lassociation/statuts/, consultées le 10.08.2020; courrier du secrétaire général de Plans-Fixes, 18 mai 2020]

Cinémathèque suisse - Forschungs- und Archivierungszentrum Zürich

  • CHCS000002ISAAR
  • Collectivité
  • 2002-

Der Deutschschweizer Ableger der Cinémathèque suisse entwickelte sich aus der Filmarbeit der katholischen und evangelischen Kirche. Direkter Vorläufer war die ZOOM Dokumentation für Film (1992-2002), auch ZOOM Filmdokumentation genannt. Diese entstand am 1. Januar 1992 aus dem Zusammenschluss der Zentralen Mediendokumentation des Evangelischen Mediendienstes und der Dokumentation des Filmbüros des Katholischen Mediendienstes (vormals Schweizerische Katholische Volksverein SKVV). Erste Sachdossiers hatte der Geistliche Charles Reinert bereits Ende der 1930er Jahre während seiner Tätigkeit als Filmredaktor beim Basler Volksblatt angelegt. Als Leiter des Filmbüros und Redaktoren der kirchlichen Zeitschrift Der Filmberater bauten Reinert und seine Nachfolger ab 1942 eine Bibliothek und Dokumentation zum Film in der Schweiz auf. In den umfangreichen Film-, Personen- und Sachdossiers wurden Presseartikel, Pressebilder, Verleih- und Produktionsdokumente zu allen in der Schweiz gezeigten Filmen abgelegt. Die Filmdossiers wurden bis 1992 in Karteikarten verzeichnet und mit einer numerischen Signatur versehen. Parallel dazu gründete die evangelische Kirche am 1. Dezember 1967 die Zentrale Mediendokumentation in Bern, Bürenstrasse 12. Neben einer Bibliothek baute auch diese eine Dokumentation mit Dossiers zu Filmen, Personen und Themen auf, im Vergleich zur katholischen Dokumentation mit einer thematisch breiteren Ausrichtung auf Medien allgemein. Beide Dokumentationen dienten der eigenen publizistischen Tätigkeit und waren Dienstleistungsangebote für externe Medien und NutzerInnen. Die evangelische Zeitschrift ZOOM und Der Filmberater wurden ab 1973 als ökumenische Zeitschrift ZOOM-Filmberater weitergeführt. Infolge einer Restrukturierung der Zeitschrift und aus ökonomischen Gründen folgte die Fusion der beiden Dokumentationen per 1. Januar 1992. Die Sammlung der evangelischen Kirche wurde in die Dokumentation in Zürich, Bederstrasse 76, integriert, gleichzeitig erfolgte der Aufbau einer ersten Datenbank. Als Grundlage dienten Metadaten aus dem Lexikon des internationalen Films, Deutschland, die in die Datenbank importiert wurden. Die Dokumentationsdossiers wurden nun sukzessive in der Datenbank verzeichnet und übertragene Daten auf der Karteikarte mit einem Haken gekennzeichnet. Bernadette Meier leitete die Dokumentation ab 1992 bis 2015. Gegen Ende des Jahrhunderts zeichnete sich ab, dass die Kirchen nicht länger bereit waren, die Zeitschrift ZOOM und die Filmdokumentation weiterzuführen. Erste Gespräche mit der Cinémathèque suisse, Lausanne, betreffend die Übernahme der Bestände wurden ab 1998 geführt. 2002 wurde die Filmdokumentation als Dokumentationsstelle Zürich in die Cinémathèque suisse überführt, der Standort Zürich wurde beibehalten. 2004 erfolgte der Umzug an die Neugasse 10, 8005 Zürich. Seit 1. September 2020 heisst die Abteilung, die zum Departement Non-Film der Cinémathèque suisse gehört, nicht mehr Dokumentationsstelle, sondern Forschungs- und Archivierungszentrum, analog zum Forschungs- und Archivierungszentrum in Penthaz. In der Datenbank Caspar sind die Dokumentationsdossiers (Signatur: DDZ) sowie die in Zürich archivierten Vor- und Nachlässe (Signatur: CSZ) erfasst.

Travelling (revue)

  • CHCS000211ISAAR
  • Collectivité
  • 1963-1980

Le premier numéro de la revue Travelling est paru en 1963, édité par le Groupe d’étude du film (GEF), association à but non lucratif n’existant que que dans ce but. C’est le jeune cinéphile Marcel Leiser, alors étudiant âgé de 18 ans, qui écrit et réalise presque seul ce premier numéro. Longtemps entièrement réalisée de manière artisanale par des jeunes passionnés, la revue rassemble une équipe de rédacteurs réguliers ou occasionnels, parmi lesquels on retrouve les futurs cinéastes Marcel Schüpbach et Jean-François Amiguet, la future responsable du documentaire à la TSI Luisella Realini, le futur titulaire de la chaire de cinéma de l’Université de Lausanne François Albera et le futur directeur de la Cinémathèque suisse Hervé Dumont. Marcel Leiser en reste le rédacteur en chef jusqu’en 1975. La revue est alors reprise par la Cinémathèque suisse, grâce à l’entremise d’André Chevailler, collaborateur de la Cinémathèque et membre de longue date de l’association. Travelling cesse de paraître en 1980.

(Sources : Travelling n°1 ; Marcel Leiser, profession : cinéphile. 2011. ; Marcel Leiser. Curriculum Vitae / repères. R. Cosandey, 2011 ; M. Porret, «Diffuser le jeune cinéma romand partout!», in Boillat A., Brunner P., Flückiger B., Kino CH/Cinéma CH, Rezeption, Asthetik, Geschischte/Réception, esthétique, histoire, Marburg, Schüren, 2008)

Cinéma-Théâtre Métropole (Lausanne)

  • CHCS000228ISAAR
  • Collectivité
  • 1931-

Salle de cinéma sise rue de Genève 12 / Place Bel-Air 2 dans le complexe Bel-Air Métropole à Lausanne

Interfilm

  • CHCS000229ISAAR
  • Collectivité
  • 1955-

Der Verein „Interfilm Schweiz“ vertritt die Interessen von INTERFILM in der Schweiz. INTERFILM, die Internationale Kirchliche Filmorganisation, ist das internationale Netzwerk für den Dialog zwischen Kirche und Film. Es fördert das Verständnis ästhetischen, spirituellen und sozialen Bedeutung des Films und engagiert sich für die Wahrnehmung von Kirche, Theologie und Religion in der Filmkultur.

Milos-Films SA

  • CHCS000232ISAAR
  • Collectivité
  • 1966-

Société de production de films, créée en 1966 par Freddy et Micheline Landry et les quatre réalisateurs Claude Champion, Francis Reusser, Jacques Sandoz et Yves Yersin. La société est ainsi nommée en hommage à Milos Forman.

Jura-Films

  • CHCS000245ISAAR
  • Collectivité
  • 1974-

Maison de production cinématographique indépendante, créée en 1974. Etablie à Grandval (Jura bernois), elle se dédie essentiellement à la production, vente et distribution de documentaires réalisés par Lucienne Lanaz (née en 1937). Cette dernière est la créatrice et directrice de l’entreprise.
Source: https://jura-films.ch/ [consulté le 12.08.2021].

catpics AG

  • CHCS000260ISAAR
  • Collectivité
  • 1984-

Maison de production fondée à Zurich par Alfi Sinniger, Xavier Koller et Alex Grob.

Fondation Livre-Cinéma-Théâtre

  • CHCS000262ISAAR
  • Collectivité
  • 1998-2015

Créée à Genève par Jean-Louis Peverelli, Géraldine Veyrat et Philippe Aigroz en 1998. Son objectif est l'étude et la promotion d'oeuvres littéraires, leur adaptation au cinéma, au théâtre et autre forme d'expression artistique.

Praesens-Film AG

  • CHCS000199ISAAR
  • Collectivité
  • 1924-

Die Praesens Film AG ist das älteste noch existierende Filmunternehmen (Produktion und Verleih) der Schweiz. Gegründet wird es 1924 in Zürich von Lazar Wechsler (1896–1981) und Walter Mittelholzer (1894–1937). Anfänglich stellt Praesens primär Gebrauchs- und Reisefilme her; Ab 1939 gilt sie als wichtigste Produktionsfirma der Schweiz. Mit Filmklassikern wie Füsilier Wipf (1938) oder den Heidi- (1952, 1954) und Uli-Verfilmungen (1954, 1955) formt Praesens nicht nur das einheimische Filmbewusstsein, sie prägt gleichzeitig auch den Blick von aussen auf die Schweiz. Der filmische Durchbruch gelingt 1929 mit dem (stummen) Dokumentarfilm Frauennot – Frauenglück (1929), einem Film zur Abtreibungsproblematik. Mit Feind im Blut (1930) steuert Praesens einen weiteren Dokumentarfilm zur damals populären Gesundheitsaufklärung bei, der die Bekämpfung von Geschlechtskrankheiten thematisiert. 1936 wird auch So lebt China zum Schweizer Kinoerfolg. Nicht zuletzt mit den in Schweizerdeutsch Mundart gesprochenen, identitätsstiftenden Spielfilmen ist Praesens in der Lage, zahlreiche Erfolge zu verbuchen. Dazu zählen die Dialektkomödie Jä-soo! (1935) oder Füssilier Wipf (1938), die nebst Landamman Stauffacher (1941) und Gilberte de Courgenay (1941) zu den Schlüsselfilmen der Geistigen Landesverteidigung gehören.
Zudem produziert Praesens Schweizer Literaturverfilmungen: Wachtmeister Studer (1938), Die missbrauchten Liebesbriefe (1941), Das Menschlein Matthias (1941), Der Schuss von der Kanzel (1942), Matto regiert (1946/47) und Heidi (1952).
Für Marie-Louise (1944) erhält Praesens einen Oscar für das beste Drehbuch. Die Letzte Chance (1945), ein Film über das Schicksal von Flüchtlingen, die über die italiensiche Grenze in die Schweiz zu fliehen versuchen, gewinnt 1946 einen Golden Globe. Das darauf (international) produzierte, im besetzten Wien spielende Nachkriegszeitdrama Die Vier im Jeep (1951) erhält in Berlin den ersten Goldenen Bären. In den 1950er Jahren bekommt Praesens durch Firmen wie die Gloriafilm AG inländische Konkurrenz. Der weltweite Umbruch der Filmszene mit dem Aufkommen des Fernsehens und dem damit sich wandelnden Publikumsverhalten um die Mitte der 1960er Jahre verändert auch in der Schweiz die Produktionsverhältnisse nachhaltig. Wechsler zieht sich aus dem Spielfilmgeschäft zurück und stellt fast nur noch Dokumentarfilme für das Schweizer Fernsehen her (z. B. 2000 Jahre Israel. Israel zwischen gestern und morgen). 1980 gibt Wechsler seine restlichen Anteile an Praesens auf.

Ciné-Journal suisse

  • CHCS000102ISAAR
  • Collectivité
  • 1940-1975

Le Ciné-Journal suisse est une forme d'actualités filmées hebdomadaires, diffusées en avant-programme dans les cinémas ambulants puis dans les salles de cinéma.

Un premier ciné-journal est réalisé dans le secteur privé dès 1923 par l'Office cinématographique à Lausanne, firme fondée par Emile Taponnier, Jacques Béranger et Arthur-Adrien Porchet. Il disparaît en mars 1936, emporté par la concurrence étrangère.

Le Ciné-Journal suisse officiel (CJS) ou "Ciné-Journal 2" produit des actualités de 1940 à 1975, tire son origine de la fondation de la Chambre suisse du cinéma (1938), qui le contrôlera, et de l'arrêté fédéral du 30 août 1939 instaurant les pleins pouvoirs. Il vise à contrebalancer l'écrasante hégémonie des actualités nazies et fascistes. Produit par Cinégram (Genève), rendu obligatoire dans toutes les salles du pays (16 avril 1940), soumis à la censure militaire, partiellement subventionné par la Confédération, il est inauguré à Berne le 1er août 1940. En cinq à huit minutes, il présente chaque semaine, dans les trois langues nationales, une mosaïque de sujets (parfois un thème unique) propres à participer à la défense spirituelle du pays (agriculture, solidarité fédérale, mission humanitaire). Son premier rédacteur se nomme Paul Alexis Ladame, son successeur, Hans Laemmel; l'un des premiers opérateurs est Georges Alexath. Dès janvier 1946, le passage du CJS n'est plus obligatoire: la Suisse romande, puis les grandes villes alémaniques, ne renouvellent pas leur abonnement. Le CJS meurt lentement, malgré une formule magazine mise au point en 1973 par Max Dora. La concurrence de la télévision et l'hostilité d'une partie du monde du cinéma suisse lui portent l'estocade finale en mars 1975.
Le CJS se compose de 9000 sujets, 1650 numéros et 280 000 m de pellicule. Les événements nationaux et internationaux sont accompagnés de sujets documentaires et de reportages géographiques, culturels, économiques et touristiques.
D'après Schärer, Thomas: "Ciné-Journal suisse", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 15.01.2021, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/010478/2021-01-15/ [consulté le 15.02.2021].

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