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Notice d'autorité
Collectivité

LG Rialto-Film AG

  • CHCS000020ISAAR
  • Collectivité
  • 1975-2014

Société de distribution de films créée le 9 décembre 1975 et radiée du registre du commerce le 19 août 2014. Sise à Zürich, Neugasse 6, au moment de la cessation d'activités. Son directeur et administrateur Christian Gerig fut administrateur de cinq sociétés aux activités analogues sises à la même adresse, dont Rialto-Film AG. Jürg M. Judin est un des principaux actionnaires dès les années 1990. [Source: Registre du commerce du Canton de Zurich, numéro CH-170.3.006.899-8 et article Trotz Konkurs der Firma kein Arbeitslosengeld, in: Tages Anzeiger, 07.09.2014]

Association des producteurs suisses de films (APSF)

  • CHCS000155ISAAR
  • Collectivité
  • 1934-

Association fondée lors de l'assemblée générale constitutive du 13 juillet 1934 à Berne et régie par les articles 60 et suivants du code civil. En 1935, Albert Masnata (Lausanne, Office suisse d'Expansion Commerciale - OSEC) est président du comité et Hermann Frey (Soleure) secrétaire. Cinégram figure parmi les premiers membres (voir liste 1937). Le but de la jeune association est d'améliorer la production et de fournir une orientation à des producteurs de films industriels.

Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband (SLV)

  • CHCS000028ISAAR
  • Collectivité
  • 1915-

Association constituée le 15 février 1915 à Zürich et régie par l'art. 60 du code civil. Elle est fondée sous le nom de Verband der Interessenten im Kinematographischen Gewerbe der Schweiz - l'Union des Intéressés de la cinématographie en Suisse avec siège à Zürich. Elle regroupe des exploitants de salle de cinéma, au moment où celles-ci commencent à s'ouvrir en Suisse.
En juin 1917, le nom de Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband (SLV) est adopté. En 1928, les cinémas romands font scission et fondent l'Association cinématographique Suisse romande (ACSR). L'association se nomme dès lors Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband deutsche und italienische Schweiz. En 1988, les associations alémanico-tessinoise et romande fusionnent et fondent le Schweizerischer Kino-Verband (SKV) - Association Cinématographique Suisse (ACS).

Citel Films Distribution S.A.

  • CHCS000163ISAAR
  • Collectivité
  • 1978-1998

Société de distribution de films, créée en parallèle de la société Citel Productions S.A. en 1978. Le but de cette séparation était de dissocier les risques de la production de ceux de la distribution. Citel Productions S.A. a été fondée en 1976 par Yves Peyrot. En 1980, Citel Distribution S.A. a été partiellement repris par la société Sonor S.A., groupe de presse possédant entres autres le journal La Suisse. La faillite de Sonor S.A. en 1999 a entrainé celle de Citel Distribution S.A., clôturée en 1998. [Source : entretien avec Yves Peyrot, par Laurence Gogniat et Marthe Porret, in: Cinémémoire.ch, 12.11.201, http://wp.unil.ch/cinememoire/files/2012/08/Transcription_Peyrot.pdf ; Registre du commerce du canton de Genève ; Que se passe-t-il chez Citel, in: Cinébulletin, mai 1987.]

Neue Cactus Film AG

  • CHCS000167ISAAR
  • Collectivité
  • 1989-2003

Société de production et de distribution de films, basée à Zurich, dissoute en 1999, en liquidation en 2003. Le président du conseil d’administration fut Donat Keutsch.

Cactus Film AG

  • CHCS000151ISAAR
  • Collectivité
  • 1979-1999

Société de production et de distribution de films basée à Zürich. Elle est fondée en mars 1979 par cinq collaborateurs issus de la société Filmkollektiv Zürich. Donat Keusch (né en 1948) est membre fondateur, actionnaire principal et président du Conseil d’administration. La société produit ou co-produit des films suisses ainsi que de films d'autres continents: Yol, la permission (réalisateur turc Yilmaz Güney, 1982), Genesis (réalisateur indien Mrinal Sen, 1986), Trahir (réalisateur roumain Radu Mihaileanu, 1992). Cactus contribue largement à la diffusion de films d'auteur et de pays en voie de développement, souvent politiquement engagés [Sources: registre du commerce du canton de Zürich; "Cactus: 'Wir haben in der dritten Welt einen guten Ruf'", in: Tell, n. 6, 19 mars 1982, p.18-19; Cinémathèque suisse, fonds d'archives Cactus Film AG, cote CSL 023].

Graphoson, studio évangélique, sonorisation et enregistrement

  • CHCS000164ISAAR
  • Collectivité
  • 1960-1997

Le studio Graphoson, studio évangélique, sonorisation et enregistrement, est créé en 1958 à Vennes-sur-Lausanne, par Daniel de Benoît. Ce dernier décède brutalement en 1959. Le studio est alors repris par sa veuve, Raymonde de Benoît, et l’un de ses proches collaborateurs, Jacques Bataillard. Avec quelques autres personnes, ils forment en 1960 l’Association Graphoson et poursuivent, puis élargissent les activités du studio Graphoson. Leur objectif est d’utiliser les moyens de la technique moderne pour l’évangélisation, « notamment dans les domaines du cinéma (sonorisation de films évangéliques en langue française) et de l’imprimerie. » (Source : Aux amis et connaissances de notre regretté frère Daniel de Benoît, boîte 6.) En 1964, ils s’installent dans des studios professionnels construits à cet usage, toujours à Vennes. (Source : projet et convention, boîte 6)
Son activité consiste essentiellement au sous-titrage en français de films à caractère chrétien évangélique. L’Association Graphoson poursuit ses activités jusqu’en 1997, puis se dissout. Raymonde de Benoît, en tant que conseillère, et Jacques Bataillard, en tant que président, demeurent aux commandes jusqu’à cette date. (Source : procès-verbaux du comité, boîte 6)

Cinéforom, fondation romande pour le cinéma

  • CHCS000165ISAAR
  • Collectivité
  • 2011 -

La fondation Cinéforom a été fondée en 2011 par les cantons de Fribourg, Genève, Jura, Neuchâtel, Valais et Vaud, et les villes de Genève et de Lausanne, avec pour but « d’encourager et de renforcer la création cinématographique et audiovisuelle, professionnelle et indépendante dans les cantons de Suisse romande. » Elle accorde des soutiens financiers à des projets ou à des entreprises de production par divers moyen: des aides sélectives, choisies sur dossier quatre fois par année par une commission formée de professionnels du cinéma; des aides complémentaires à des productions d’initiatives nationales; des primes de développement. (Sources : site internet cineforom.ch, consulté le 30 avril 2019 ; Statuts de la Fondation romande pour le cinéma)

Les productions JMH S.A.

  • CHCS000168ISAAR
  • Collectivité
  • 1982 -

Les Productions JMH SA ont été fondées en 1982 par Jean-Marc Henchoz (jusque là fromager et homme à tout faire au Théâtre populaire romand), pour produire le film Polenta de Maya Simon. Il produit plusieurs films à succès du cinéma suisse : Derborence de Francis Reusser en 1985, Si le soleil ne revenait pas de Claude Goretta en 1987, et co-produit Microcosmos Claude Nurisdany et Marie Pérennou en 1997. En 1995, dans le but l’élargir son activité, il fonde également JMH Distributions. Après sa retraite, Jean-Marc Henchoz confie les productions JMH SA à son fils Matthieu, mais produit encore Titeuf, le film en 2011. Il décède en 2012 des suites d’une opération du coeur. Les productions JMH SA poursuivent leur activité, toujours dirigées par Matthieu Henchoz. (Source : Duplan, Antoine : Jean-Marc Henchoz, poète et paysan (2012). In: Le Temps, 11 novembre 2012 ; site internet www.jmhsa.ch, consulté le 30 avril 2019  ; Lassueur, Yves : Entre l’art et le fromage (1983), In : L’Hebdo, 5 mai 1983.)

Association cinématographique Suisse romande (ACSR)

  • CHCS000113ISAAR
  • Collectivité
  • 1929-1989

Association fondée à Genève en 1929, issue d’une scission de cinquante membres romands de l’Association Cinématographique suisse (ACS) ou Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband (SLV). Le siège de la nouvelle association est rapidement transféré à Lausanne. Ses premiers présidents sont Georges Hipleh (1928-1929), Charles Brönimann (1929) et Edmond Martin (1929-1948). Les membres sont des exploitants de salle de cinéma. Leur association a pour but « de grouper les propriétaires et directeurs de cinéma, de protéger l'exploitation cinématographique en Suisse romande, de défendre les intérêts matériels et moraux de l'Association et de ses membres, et de développer des relations amicales et de bonne confraternité entre eux » (Statuts, projet définitif du 20 novembre 1931, art. 2, Cinémathèque suisse, Fonds ACSR, cote CH CS CSL 002 Al/2). 75 salles sont affiliées en 1930 et 143 en 1936. L’association œuvre pour la défense des intérêts de leurs exploitants, comme en témoignent les actions énumérées ci-dessous.

En 1932, l’ACSR et l'Association des loueurs de films en Suisse (ALS, ou Genossenschaft Schweizerischer Filmverleiher) signent une importante convention, fréquemment renouvelée. Elle stipule que les cinémas appartenant à l’ACSR ne peuvent louer des films qu’auprès de distributeurs membres de l’ALS, et que ces derniers ont l’interdiction de louer des films à des cinémas non-membres de l’ACSR. Cette dernière entend ainsi limiter la concurrence, que ce soit celle de cinémas occasionnels ou de nouvelles salles.

L’ACSR observe de près l’élaboration des législations cantonales sur le cinéma. Elle participe aux travaux qui mènent à la création de la Chambre suisse du cinéma en 1938. Elle collabore à l’élaboration de la nouvelle Loi sur le droit d’auteur de 1940, au terme de laquelle la Société suisse des auteurs et des éditeurs (SUISA) se voit octroyer le monopole de la perception et de la répartition des droits.

En 1947, l’association entreprend de réglementer la formation professionnelle des opérateurs et d'instituer un examen de maîtrise. En 1952, un accord conclu avec la Cinémathèque suisse stipule que cette dernière ne peut louer des films pour des séances commerciales. En 1954, une convention avec la télévision (SSR) restreint la diffusion par cette dernière de films dits « spectaculaires » (soit les films de fiction). En 1955, l’ACSR et son partenaire le SLV fondent l’Union des Associations cinématographiques suisses (UACS) dont un des buts est la lutte contre les taux jugés abusifs de location des films. De 1975 à 1989, l’ACSR publie le Bulletin de l'Association cinématographique Suisse romande.

En 1988, l’ALS (SLV) révise considérablement ses statuts et devient le Schweizerischer Kino-Verband (SKV). L’année suivante, elle fusionne avec l'ACSR. Leur objectif est d’unir leurs forces face à la Confédération et aux grands distributeurs par le biais d’une association cinématographique sur le plan national, avec siège à Berne: l'Association Cinématographique suisse (ACS) - Schweizerischer Kino-Verband (SKV) - Associazione svizzera del Cinema (ASC). Sise aujourd’hui à Zürich, l’ACS est toujours en activité.

Association suisse des scénaristes et réalisateurs de films (ARF)

  • CHCS000172ISAAR
  • Collectivité
  • 1962 -

L’Association des réalisateurs de films, en allemand Verband Schweizerischer Filmgestalter, est créée à Genève, le 9 octobre 1962, par plusieurs réalisateurs suisses, à l’origine surtout suisses romands. Les membres fondateurs sont Alain Tanner, Henry Brandt, Claude Goretta, Jean-Louis Roy, Jean-Jacques Lagrange, Herbert E. Meyer, François Bardet et Walter Marti. De caractère exclusif, l’association n’admettait en son sein que les réalisateurs « portés par une écriture personnelle et dont le travail témoigne d’une volonté d’expression cinématographique » (Au milieu du temps, 2014), et défendait le cinéma d’auteur. Être admis à l’ARF devait être la reconnaissance d’une véritable démarche artistique. Aujourd’hui encore, elle promeut le développement d’un cinéma authentiquement suisse et défend les intérêts artistiques et professionnels de ses membres.
En 1965, le secrétariat déménage à Zürich et l’association s’ouvre d’avantage sur la Suisse alémanique, récoltant de nouvelles adhésions.
En 1996, l’association change de nom et devient l’Association suisse des scénaristes et réalisateurs de films, en allemand Verband Filmregie und Drehbuch Schweiz (ARF/FDS), intégrant par là les scénaristes parmi les auteurs de cinéma.

Gloriafilm AG

  • CHCS000176ISAAR
  • Collectivité
  • 1940-2006

La société Gloriafilm AG est fondée en novembre 1940 à Zurich, avec un capital de 50’000 CHF dans le but de promouvoir un cinéma national de qualité. La direction est partagée entre l’Allemand Gunther Stapenhorst et le Bernois Heinrich Fueter. Entre 1947 et 1959, c’est le Bâlois Max Dora qui prend les commandes. Les productions de la Gloria connaissent d’abord un certain succès ; mais en 1962, l’échec commercial du coûteux Der 42. Himmel, de Kurt Früh, mène la société vers des difficultés financières dont elle ne se remettra pas. Max Dora entre au conseil d’administration de la Praesens et, après l’échec de Im Parterre Links du même Früh, en 1963, cantonne la Gloria à quelques films publicitaires pour la décennie qui suit. La production cesse définitivement en 1973, et la société est radiée du registre du commerce en 2006.
(Sources : Dumont : Histoire du cinéma Suisse, 1987 ; registre du commerce du canton de Zurich)

Look Now!

  • CHCS000177ISAAR
  • Collectivité
  • 1988-

Office Protestant du Cinéma (OPC)

  • CHCS000098ISAAR
  • Collectivité
  • 1964-1995 c.

Association suisse romande, créée lors de la séance constitutive du 21 avril 1964 à Neuchâtel et régie par l'art. 60 du code civil. Selon ses statuts, elle a pour but (art. 2) « a) de coordonner et de promouvoir sur le plan protestant, tout effort de diffusion de la culture cinématographique; b) de coordonner et d’intensifier tout effort d’éducation cinématographique de la jeunesse ». Ses membres peuvent être « les Offices ou commissions régionaux reconnus par les Eglises membres de la Fédération des Eglises protestantes de la Suisse ».
L'OPC succède à la Commission romande du cinéma.
L’Office du cinéma de l’Eglise évangélique réformée du canton de Vaud (EERV) est en grande partie à l’origine de ces deux entités, de par l'engagement des pasteurs Maurice Terrail et Paul-Henri Glardon.
[source: Statuts de l'Office protestant du cinéma, 1964, Cinémathèque suisse, Fonds Office protestant du cinéma, cote CSL 078-01A, chemise 2].

John Gugelmann Pressedienst

  • CHCS000188ISAAR
  • Collectivité
  • 1959?-1967

John Gugelmann Pressedienst est fondée par John Gugelmann, sans doute en 1959. Gugelmann est alors Pressechef de la compagnie de production Neue Terra Film AG, productrice de Hast noch der Söhne ja...?, de Lukas Ammann.
Par la suite, il prend son indépendance et travaille dans la promotion de films sur le territoire suisse, en collaboration avec diverses maisons de production suisses et étrangères, dont Praesens Film, Columbia, Mirisch Company. En 1967, John Gugelmann Pressedienst cesse son activité. John Gugelmann déménage à Genève, pour travailler auprès de Vita Films, société distribuant notamment les films de la Columbia Pictures en Suisse. (Sources : conversation téléphonique avec M. Bernard Uhlman, le 16 avril 2019)

Ciné-Feuilles

  • CHCS000011ISAAR
  • Collectivité
  • 1981-

Revue de cinéma bi-mensuelle, créée en 1981 par les Offices romands protestant (OPC, Lausanne) et catholique (Fribourg) du cinéma. Dès sa création et pendant plusieurs décennies, le journal a pour vocation de proposer un regard œcuménique sur l’actualité cinématographique, principalement celle des sorties en salle en Suisse romande et dans certains festivals. D’œcuménique à ses débuts, le regard se définit de plus en plus comme humaniste et pointu, ainsi que le communique le nouveau comité de rédaction en 2018.
[Sources: site de Ciné-Feuilles. URL https://www.cine-feuilles.ch.
"Ciné-feuilles, une critique humaniste », Réformés – le journal, 25.09.2018. URL : https://www.reformes.ch/culture/2018/09/cine-feuilles-une-critique-humaniste-cinema-cine-club-films-reformes-octobre-2018.
« S’éloigner de l’Église pour se rapprocher du cinéma, ‘Ciné-Feuilles’ fait sa révolution », 24Heures, 20.03.2019. URL : https://www.24heures.ch/culture/cinema/s-eloigner-leglise-rapprocher-cinema-cinefeuilles-revolution/story/19663514.
Sites consultés le 11.09.2019].

Association internationale du film d'animation (ASIFA)

  • CHCS000195ISAAR
  • Collectivité
  • 1960-

L'association internationale du film d'animation a été fondée en 1960 en France, en marge du premier Festival international du film d'animation d'Annecy. Son premier président fut le canadien Norman McLaren. Les buts de l'association étaient d'unir le monde de l'animation, alors coupé en deux, comme le reste du monde, par la Guerre Froide, et de permettre aux animateurs de tous bords et de tous pays de se rencontrer en personne, d'échanger des films et de créer des liens personnels. Au fil des années, plus de quarante chapitres se sont créés dans des pays du monde entier, dont le Groupement suisse du film d'animation (GSFA) en Suisse.
Source : http://www.asifa.net [consulté le 17.09.19]

Cercle d'Etudes Cinématographiques

  • CHCS000012ISAAR
  • Collectivité
  • 1966-

Le Cercle d’Etudes Cinématographiques débute ses activités en 1966 dans le cadre de l’Office de cinéma de l’Eglise évangélique réformée du canton de Vaud (EERV), en même temps que le Cours d’initiation au cinéma mis sur pied par Paul-Henri Glardon. Sis rue de l’Ale 31 à Lausanne, au siège de l’EERV, le Cercle est conduit par le pasteur Maurice Terrail (1931-2014) directeur de l’Office Protestant du Cinéma. Il organise pour chaque saison hivernale un cycle de projections sur abonnement. M. Terrail le définit ainsi dans le programme du CECE 1980/1981: « Ce qui nous distingue d’un ciné-club, c’est que nous groupons nos projections sur un thème général qui permet une réflexion sur les grands problèmes dont le cinéma est presque toujours le reflet ».
Le lieu des cycles de 1966 à l’hiver 1970/1971 n’est pas indiqué dans les archives. De la sixième saison (1971/1972) à la dix-huitième saison (1983-1984), les séances ont lieu à l’aula du Collège de l’Elysée à Lausanne. Dès la dix-neuvième saison (1984-1985), les séances ont lieu dans la salle Paderewski du Casino de Montbenon. Ce bâtiment sis au centre-ville abrite également la Cinémathèque suisse.
Ces cycles accueillent rapidement des centaines d’abonnés. Dès la septième saison en hiver 1972-1973, les séances lausannoises sont dédoublées. En 1974, un deuxième cercle est créé sur le modèle du premier et avec une programmation analogue. Il s’agit du Cercle d’Etudes Cinématographiques de l’Est vaudois (CECE). Les séances ont lieu dans l’ancien Cinéma Odéon à Villeneuve. Dès la huitième saison (1980/1981), les projections du CECE ont lieu à l’aula du Centre d’enseignement secondaire supérieur de l’Est vaudois (CESSEV) à la Tour-de-Peilz.
Les deux cercles sont toujours actifs lors de la saison 2019/2020, lors de l’établissement de cette notice d’autorité. Leurs séances ont lieu à la salle Paderweski à Lausanne et au Cinéma Rex 1 à Vevey.

Katholischer Mediendienst

  • CHCS000008ISAAR
  • Collectivité
  • 1989-2014

Der Schweizerische Katholische Volksverein (SKVV) gründete 1931 eine katholische Filmkommission, mit dem Ziel, die bereits vorher bestehenden einzelnen kirchlichen Initiativen besser zu koordinieren und auszubauen. In Folge der Enzykla Vigilanti cura (lat.: Mit wachsamer Sorge) im Jahre 1936, in der Papst Pius XI. zur Auseinandersetzung mit dem Medium Film aufrief, erfuhr die katholische Filmarbeit einen Aufschwung. Die Gründung einer zentralen Stelle, des späteren Filmbüros, wurde ab 1935 vorangetrieben (1935 Gründung einer Film-Pressestelle, 1938 Filmbüro des SKVV in Luzern, ab 1942 Filmbüro in Zürich). Das Filmbüro in Zürich entwickelte sich aus den filmpublizistischen Tätigkeiten der Kirche, ab 1941 war dies die Zeitschrift Der Filmberater. Als Leiter des Filmbüros und Filmbeauftragte wirkten Charles Reinert (1942-1961), Stefan Bamberger (1962-1966), Franz Ulrich (1966-1970) und Ambros Eichenberger (1970-1994). Parallel zur filmpublizistischen Tätigkeit legte das Filmbüro eine Bibliothek und umfassende, bis in die 1930er Jahre zurückreichende Dokumentation an, war beratend tätig, koordinierte kirchliche Aktivitäten in der Filmarbeit, der Filmförderung u.a. Die Bereiche Filmpublizistik und -dokumentation wurden sukzessive mit ihren evangelischen Pendants fusioniert und als ökumenische Projekte weitergeführt. Der Filmberater wurde 1973 zum ZOOM-Filmberater, 1992 wurde die von der evangelischen Kirche gesammelte Dokumentation in die Bestände in Zürich integriert und gemeinsam als ZOOM Dokumentation für Film weitergeführt. Die Zeitschrift wurde 1999 eingestellt, die Dokumentation 2002 in die Cinémathèque suisse integriert.
Bis 1987 war der Rechtsträger des Filmbüros die SKVV, später der Verein Katholische Medienarbeit, ab 1989 der Verein katholischer Mediendienst. Heutiger Nachfolger ist der 2014 gebildete Verein Katholisches Medienzentrum.

ZOOM Verleih für Film und Video

  • CHCS000040ISAAR
  • Collectivité
  • 1971-2002

Die Verleihtätigkeit der evangelisch-reformierten Kirche formierte sich 1952 mit der Gründung der Verleihstelle Protestantischer Filmdienst, dem späteren Verleih ZOOM, durch den Schweizerischen Protestantischen Film- und Radioverband. Der Verleih verfolgte eine kirchlich geprägte Medien- und Bildungsarbeit und vertrieb Schmalfilmformate, ab 1974 auch Dias, Fotografie, Tonbilder, ab den 1980er Jahren auch Videoformate. Der Verleih legte von Beginn an einen Fokus auch auf Schweizer Filme. Bereits seit 1971 gab die Verleihstelle ZOOM in Zürich gemeinsam mit dem katholischen SELECTA-Verleih in Fribourg einen gemeinsamen Katalog heraus. Dieser Schmalfilmverleih war wiederum 1964 in Fribourg zur Unterstützung der Filmbildung in Jugend- und Erwachsenenorganisationen gegründet worden (Gründungsmitglieder: Franz Ulrich, Hugo Carpataux, Abbé Joseph Joye). Am 1. Januar 1991 erfolgte die Fusion zum ökumenischen Film- und Videoverleih SELECTA/ZOOM. Trägerschaft war der Verein ZOOM, der alle ökumenischen Tätigkeiten des Evangelischen und Katholischen Mediendienstes betrieb. Der Evangelische und Katholische Mediendienst führten den Verein nun gemeinsam in Zürich. Ab 1996 Verlegung nach Bern und Umbenennung zu ZOOM Verleih, analog zu den weiteren ökumenischen Projekten, der ZOOM Zeitschrift für den Film, der ZOOM Dokumentation und dem Pressedienst ZOOM Tip. Enge Zusammenarbeit mit der Filmkommission KEM (Kooperation Evangelischer Kirchen und Missionare)/HEKS (Hilfswerk der evangelischen Kirchen Schweiz)/BfB (Brot für Brüder), deren Filme via ZOOM Verleih verliehen wurden, und der Fachstelle der Filme für eine Welt. Mit der Abwicklung des Verleihbetriebes wurde ab 1. Januar 1996 das Film Institut in Bern beauftragt, das u.a. das Schweizer Schul- und Volkskino und die Schulfilmzentrale umfasste. Für den Parallelverleih und das Verleihprogramm waren aber weiterhin die Filmbeauftragten der kirchlichen Mediendienste zuständig. Nachdem das Film Institut Bern Ende 1998 seinen Film- und Videoverleih einstellte und die Zusammenarbeit mit ZOOM kündigte, wurde ab Januar 1999 der Verleih ZOOM mit der Head-Film AG in Zürich neu organisiert. Nach 2000 sukzessive Aufgabe des Filmverleihs, Verkauf der Filme an die Head-Film AG und Vertrieb durch den Medienladen. Die offizielle Übertragung der Tätigkeit des Verleihs an die Head-Film erfolgte am 1. Januar 2002, bei dieser rasch Einstellung der Tätigkeit per 2004 aufgrund des Bedeutungsverlusts von 16mm Filmkopien. Seit 2000 Fortsetzung der Tätigkeit mit dem Betrieb des Medienladens (heute Relimedia).
Die Existenzzeit ist eine Schätzung (Jahr des 1. publizierten Katalogs). Es liegt keine Gründungsurkunde vor.

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