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Notice d'autorité

catpics AG

  • CHCS000260ISAAR
  • Collectivité
  • 1984-

Maison de production fondée à Zurich par Alfi Sinniger, Xavier Koller et Alex Grob.

Graf, Marlies

  • CHCS000223ISAAR
  • Personne
  • 1943-2020

Marlies Graf (geb. 1.10.1943 in Aarburg; gest. 12.02.2020) absolviert 1966 eine Goldschmiedelehre in Luzern und ist zunächst selbstständig in diesem Beruf tätig. In den 1970er Jahren beginnt sie ihre Laufbahn im Bereich des Dokumentarfilms als Regisseurin, Autorin, Editorin und Tongestalterin. Antrieb für ihr filmisches Schaffen ist ihr gesellschaftspolitisches Engagement. Die ersten Werke entstehen in Zusammenarbeit mit Urs Graf (z. B. Isidor Huber und die Folgen (1972)), worauf sie ihre eigenen Projekte realisiert, zu denen der Film Behinderte Liebe (1979) gehört. Graf ist Mitgründerin des Filmkollektivs Zürich und erhält diverse Lehraufträge, u. a. an der ETH Zürich oder an der Hochschule für Fernsehen und Film (HFF) in München.
Siehe auch: https://de.wikipedia.org/wiki/Marlies_Graf-D%C3%A4twyler (3.3.2022) und https://www.solothurnerfilmtage.ch/de/cinema-suisse/filmschaffende/marlies-graf-datwyler (3.3.2022)

Fondation Livre-Cinéma-Théâtre

  • CHCS000262ISAAR
  • Collectivité
  • 1998-2015

Créée à Genève par Jean-Louis Peverelli, Géraldine Veyrat et Philippe Aigroz en 1998. Son objectif est l'étude et la promotion d'oeuvres littéraires, leur adaptation au cinéma, au théâtre et autre forme d'expression artistique.

Kovach, June

  • CHCS000263ISAAR
  • Personne

Braun, Tony

  • CHCS000160ISAAR
  • Personne
  • 1915-1995

Né à Winterthur en janvier 1915, Tony Braun est passionné par la technique de cinéma. Il se forme sur le terrain, hantant les salles de cinéma et donnant des coups de main aux projectionnistes. En 1934-35, il se rend en Hongrie où il rencontre le patron de Hunnia Film Studio et devient stagiaire sur deux films. L'année suivante il est en Grande-Bretagne où il participe au tournage du film The Beloved Vagabond (Curtis Bernhardt, 1936). De retour en Suisse en 1938, il réalise Der Weg eines Arbeitslosen.
Il travaille entre deux périodes de mobilisation qu’il accomplit à l’Armeefilmdienst. Il est assistant-caméraman sur Der letzte Postillon vom St. Gotthard, de Edmund Heuberger (1941), De Hotelportier, de Hermann Haller (1941), Une femme disparaît, Jacques Feyder (1941-42), Wilder Urlaub de Franz Schnyder (1943).
Après la guerre, il fréquente les cours du soir de photographie en couleur à l’ETH (1945).
Désireux de travailler dans le cinéma américain, Tony Braun trouve une place au sein des équipes de tournage hors Etats-Unis (Second Unit) et travaille entre autres pour des films de Irving Allen (Climbing the Matterhron, 1948, Oscar), Frank Tuttle, Don Siegel, Mark Robson, Richard Widmark.
Il décède à Kloten le 7 février 1995
Sources : Dumont, Hervé, Histoire du cinéma suisse. Films de fiction 1896-1965, Cinémathèque suisse, 1987. Souvenirs de Tony Braun publiés dans la Neue Zürcher Zeitung les 19.04.1985, 21.06.1985, 14.03.1986, 31.07.1986, nécrologie signée che le 24.02.1995 in Dossier documentaire Tony Braun, cote CH CS DDZ3-02-002376

Milliard, Guy

  • CHCS000222ISAAR
  • Personne
  • 1946-2010

Né à Bordeaux en 1946 Guy Milliard est titulaire du diplôme de l’Ecole des Hautes Etudes Commerciales (HEC) à Paris. Il obtient ensuite une maîtrise en sociologie et s’intéresse au domaine de l’audiovisuel, en particulier à la vidéo. En 1970 il s’installe en Suisse où il enseignera dans plusieurs établissements dont l’Institut d’Etudes sociales à Genève et l’Ecole cantonale d’Art de Lausanne (ECAL) dès puis à l’Ecole supérieure d’Arts appliqués de Genève (future HEAD). Il donnera également des cours à la Haute Ecole de Gestion (HEG, Genève).
Parallèlement, de 1973 à 1981, Guy Milliard enseigne à l’Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS) à Bruxelles.
Il publie de nombreux articles et ouvrages parmi lesquels Vidéo et société virtuelle (1972), Télévision locale et animation urbaine (1976) et De l’image numérique à son imaginaire (1991). Sur mandat de Memoriav (Association pour la sauvegarde de la mémoire audiovisuelle suisse), il collabore avec le Centre pour l’image contemporaine de Saint-Gervais (Genève) à une recherche intitulée Vidéo socioculturelle des années septante et huitante en Suisse romande (1997-2000).
En tant que cinéaste et vidéaste indépendant, Guy Milliard est l’un des fondateurs de la Semaine Internationale de Vidéo de St-Gervais en 1995, qui deviendra la Biennale de l’Image en Mouvement. Il est également membre du Conseil de la Fondation vaudoise pour le cinéma de 1988 à 1998.
Parmi ses films, on citera, dans le domaine de l’histoire sociale, Genève, années 30, mémoire d’une crise (1977) ; parmi les portraits, Georges Haldas ou l’état de poésie (1991) ; dans la veine autobiographique, Journée nocturne, réalisé avec Léa Pool (1974) et Réminiscence (1983). Sa dernière vidéo, Fleurs de béton, est tournée en 2006.
Il décède à Nyon en 2010.
Souces: curriculum vitae rédigé par Guy Milliard, 2007; Guy Milliard, l'intime et le monde, DVD, 2008; site internet https://memoriav.ch/fr/projects/video-socioculturelles-de-suisse-romande/ [consulté le 4 février 2022].

Guex, Antoine

  • CHCS000259ISAAR
  • Personne
  • 1964-

Antoine Guex est né en 1964 à Lausanne. Il suit les cours de l’Ecole cantonale d’art à Lausanne (ECAL) en section graphisme. En 1987 il devient graphiste et illustrateur indépendant. Il se lance dans la réalisation dès 1990 avec Remue-ménage, et tournera une quinzaine de dessins animés parmi lesquels Une bien brave bête (1997), Les aventures de Mathieu (1999), La machine à écrire (2002), Partir, co-réalisé avec Martial Wannaz (2006), Un fait-divers étrange (2017).
Avec Christian Moreillon, il réalise Poker Blues (1992), récompensé aux Journées de Soleure 1993 par le Prix du jury du Groupement suisse du film d’animation décerné à la meilleure première œuvre.
Sources: Cinémathèque suisse, catalogue des films et dossier documentaire DDZ3 Guex; site www.swissfilms.ch consulté le 4 février 2022.

Moreillon, Christian

  • CHCS000266ISAAR
  • Personne

Etudes à l'Ecole cantonal d'art de Lausanne (ECAL).

Praesens-Film AG

  • CHCS000199ISAAR
  • Collectivité
  • 1924-

Die Praesens Film AG ist das älteste noch existierende Filmunternehmen (Produktion und Verleih) der Schweiz. Gegründet wird es 1924 in Zürich von Lazar Wechsler (1896–1981) und Walter Mittelholzer (1894–1937). Anfänglich stellt Praesens primär Gebrauchs- und Reisefilme her; Ab 1939 gilt sie als wichtigste Produktionsfirma der Schweiz. Mit Filmklassikern wie Füsilier Wipf (1938) oder den Heidi- (1952, 1954) und Uli-Verfilmungen (1954, 1955) formt Praesens nicht nur das einheimische Filmbewusstsein, sie prägt gleichzeitig auch den Blick von aussen auf die Schweiz. Der filmische Durchbruch gelingt 1929 mit dem (stummen) Dokumentarfilm Frauennot – Frauenglück (1929), einem Film zur Abtreibungsproblematik. Mit Feind im Blut (1930) steuert Praesens einen weiteren Dokumentarfilm zur damals populären Gesundheitsaufklärung bei, der die Bekämpfung von Geschlechtskrankheiten thematisiert. 1936 wird auch So lebt China zum Schweizer Kinoerfolg. Nicht zuletzt mit den in Schweizerdeutsch Mundart gesprochenen, identitätsstiftenden Spielfilmen ist Praesens in der Lage, zahlreiche Erfolge zu verbuchen. Dazu zählen die Dialektkomödie Jä-soo! (1935) oder Füssilier Wipf (1938), die nebst Landamman Stauffacher (1941) und Gilberte de Courgenay (1941) zu den Schlüsselfilmen der Geistigen Landesverteidigung gehören.
Zudem produziert Praesens Schweizer Literaturverfilmungen: Wachtmeister Studer (1938), Die missbrauchten Liebesbriefe (1941), Das Menschlein Matthias (1941), Der Schuss von der Kanzel (1942), Matto regiert (1946/47) und Heidi (1952).
Für Marie-Louise (1944) erhält Praesens einen Oscar für das beste Drehbuch. Die Letzte Chance (1945), ein Film über das Schicksal von Flüchtlingen, die über die italiensiche Grenze in die Schweiz zu fliehen versuchen, gewinnt 1946 einen Golden Globe. Das darauf (international) produzierte, im besetzten Wien spielende Nachkriegszeitdrama Die Vier im Jeep (1951) erhält in Berlin den ersten Goldenen Bären. In den 1950er Jahren bekommt Praesens durch Firmen wie die Gloriafilm AG inländische Konkurrenz. Der weltweite Umbruch der Filmszene mit dem Aufkommen des Fernsehens und dem damit sich wandelnden Publikumsverhalten um die Mitte der 1960er Jahre verändert auch in der Schweiz die Produktionsverhältnisse nachhaltig. Wechsler zieht sich aus dem Spielfilmgeschäft zurück und stellt fast nur noch Dokumentarfilme für das Schweizer Fernsehen her (z. B. 2000 Jahre Israel. Israel zwischen gestern und morgen). 1980 gibt Wechsler seine restlichen Anteile an Praesens auf.

Ausoni, Marc

  • CHCS000270ISAAR
  • Personne

Schmid, Anka

  • CHCS000264ISAAR
  • Personne
  • 1961

Anka Schmid, geboren 1961 in Zürich. Nach der Matura beginnt Anka Schmid in den 1980er-Jahren erste Super-8-Filme und Experimentalvideos zu drehen. Von 1984 bis 1990 studiert sie an der DFFB (Deutsche Film- und Fernsehakademie Berlin). Ihr Abschlussfilm, Hinter Verschlossenen Türen (1990), gewinnt mehrere Preise. Seither ist sie als freischaffende Filmemacherin, Videokünstlerin und Mediendozentin tätig. Siehe: https://www.ankaschmid.ch/pagina.php?0,20,30, (14.03.2022); https://www.swissfilms.ch/de/person/anka-schmid/ACD28BDDA87043F39516E8D9BB37E7B8 (14.3.2022)

Manuel, Alex

  • CHCS000267ISAAR
  • Personne
  • 1900-1988

Né en 1900 à Lausanne, Alex Manuel débute des études de chimie, qu'il interrompt pour devenir figurant et cascadeur à Hollywood entre 1921 et 1923. Il y devient notamment l'ami du réalisateur et producteur William Wyler (1902-1981) qui est, comme lui, d'origine suisse. En 1923, renonçant à une carrière dans le cinéma, A. Manuel change totalement d'orientation pour suivre des études de médecine à New-York (Cornell Medical School). Entre 1941 et 1946, il s'engage comme médecin militaire dans plusieurs pays d'Europe, en Algérie, en Egypte et en Palestine sous mandat britannique. C'est durant ces années de guerre qu'il débute la rédaction de ses Souvenirs. Puis, il pratique la médecine aux Etats-Unis. Il contribue également à la revue littéraire Le Bayou (Houston). Il décède en 1988 à Washington. [Source: Manuel, Alex. Hollywood aller et retour. Souvenirs. Tapuscrit, sans date; notes de Roland Cosandey, mai 2018, dans le dossier de gestion des Papiers Alex Manuel].

Ramseier, Rolf

  • CHCS000271ISAAR
  • Personne

Marchand d'autographes et collectionneur

Hubert, René

  • CHCS000251ISAAR
  • Personne
  • 1895-1976

Né René Huber à Frauenfeld (Thurgovie), R. Hubert est un costumier de cinéma. Il a étudié à l'Ecole des Beaux-Arts de Paris. En 1925, il habille Gloria Swanson pour le film Madame Sans-Gêne. Il imagine les costumes de l'actrice pour plusieurs de ses films. Au cours de sa carrière à Hollywood, il a notamment créé des tenues pour That Hamilton Woman (1941), New Wine (1941), Flame of New Orleans (1941). Pour ce dernier, il conçoit les robes de Marlène Dietrich. Il a aussi collaboré avec la London Film Productions. Il est nommé aux Oscars pour Désirée (1954) et pour The Visit (1964). Il a également dessiné les uniformes pour le personnel de la compagnie Swissair.

Cohn, Art

  • CHCS000248ISAAR
  • Personne
  • 1909-1958

Né à New-York en 1909, Art Cohn est un journaliste et scénariste américain. Il est notamment le co-scénariste du film Stromboli (R. Rossellini, 1950). Il décède dans un accident d'avion avec le producteur Michael (dit Mike) Todd en mars 1958 au Nouveau-Mexique. Il est l'époux de Marta Cohn.

Tanner, Alain

  • CHCS000007ISAAR
  • Personne
  • 1929-2022

Alain Tanner est né le 6 décembre 1929 à Genève, fils d'Henri, publiciste et écrivain, et de Charlotte Mohor. En 1964 il épouse Janine Giudici.
A. Tanner étudie l'économie à l'université de Genève, crée avec Claude Goretta le Ciné-club universitaire puis s’engage comme comptable dans la marine marchande. Figure de proue du renouveau du cinéma en Suisse romande, il trouve davantage son inspiration dans l'effervescence intellectuelle du Londres des années 1960 (Free Cinema) que dans la Nouvelle Vague française. Employé au British Film Institute et à la BBC à Londres (1955-1958), il signe Nice Time avec Claude Goretta (1957). De retour à Genève (1959), il tourne entre autres Les Apprentis (1964) et Une ville à Chandigarh (1966). De 1964 à 1970, il réalise quarante reportages et quatre films pour la Télévision Suisse Romande. Il forme le Groupe 5 (1968), avec Claude Goretta, Jean-Jacques Lagrange, Jean-Louis Roy et Michel Soutter. Dans ce contexte, il réalise ses trois premiers longs métrages: Charles mort ou vif (1969), La Salamandre (1971) et Le Retour d'Afrique (1973). Défenseur passionné des causes du "nouveau cinéma suisse", il fonde l’Association suisse des réalisateurs de films qu’il représente à la Commission fédérale du cinéma (1962-1967).
Sur le plan de la création, il se caractérise par son attachement à ses comédiens et à ses équipes. Sa collaboration avec l'écrivain John Berger ou avec le chef opérateur Renato Berta fut importante (par exemple La Salamandre et, en 1976, Jonas qui aura 25 ans en l'an 2000). Celle avec Myriam Mézières, sa muse et coauteur, fut centrale dans Une flamme dans mon cœur (1987) ou Le journal de Lady M. (1993).
Dès 1974, A. Tanner aborda plusieurs registres, signant des films basés sur d'autres auteurs, comme Light Years Away (1981) d'après Daniel Odier, ou Requiem (1998) d'après Antonio Tabucchi. L'affinité élective avec ses musiciens préférés (surtout Arié Dzierlatka et Michel Wintsch) confère à l'œuvre d'Alain Tanner un caractère aux réminiscences brechtiennes qui lui sont chères dès le début. Doctorat honoris causa de l'université de Lausanne (2008), Léopard d'honneur du Festival du film de Locarno (2010).
Alain Tanner décède le 11 septembre 2022 à Genève.
D'après Ch. Dimitriu, "Tanner, Alain" , in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), url:http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9251.php, version du 19.02.2014] et F. Buache, Le cinéma suisse, L’Age d’Homme, 1974, p. 139-159 et H. Dumont et M. Tortajada, Histoire du cinéma suisse 1966-2000, Cinémathèque suisse, Lausanne, Editions Gilles Attinger, Hauterive, 2007, Tome 1, p. 6-7.

Ciné-Journal suisse

  • CHCS000102ISAAR
  • Collectivité
  • 1940-1975

Le Ciné-Journal suisse est une forme d'actualités filmées hebdomadaires, diffusées en avant-programme dans les cinémas ambulants puis dans les salles de cinéma.

Un premier ciné-journal est réalisé dans le secteur privé dès 1923 par l'Office cinématographique à Lausanne, firme fondée par Emile Taponnier, Jacques Béranger et Arthur-Adrien Porchet. Il disparaît en mars 1936, emporté par la concurrence étrangère.

Le Ciné-Journal suisse officiel (CJS) ou "Ciné-Journal 2" produit des actualités de 1940 à 1975, tire son origine de la fondation de la Chambre suisse du cinéma (1938), qui le contrôlera, et de l'arrêté fédéral du 30 août 1939 instaurant les pleins pouvoirs. Il vise à contrebalancer l'écrasante hégémonie des actualités nazies et fascistes. Produit par Cinégram (Genève), rendu obligatoire dans toutes les salles du pays (16 avril 1940), soumis à la censure militaire, partiellement subventionné par la Confédération, il est inauguré à Berne le 1er août 1940. En cinq à huit minutes, il présente chaque semaine, dans les trois langues nationales, une mosaïque de sujets (parfois un thème unique) propres à participer à la défense spirituelle du pays (agriculture, solidarité fédérale, mission humanitaire). Son premier rédacteur se nomme Paul Alexis Ladame, son successeur, Hans Laemmel; l'un des premiers opérateurs est Georges Alexath. Dès janvier 1946, le passage du CJS n'est plus obligatoire: la Suisse romande, puis les grandes villes alémaniques, ne renouvellent pas leur abonnement. Le CJS meurt lentement, malgré une formule magazine mise au point en 1973 par Max Dora. La concurrence de la télévision et l'hostilité d'une partie du monde du cinéma suisse lui portent l'estocade finale en mars 1975.
Le CJS se compose de 9000 sujets, 1650 numéros et 280 000 m de pellicule. Les événements nationaux et internationaux sont accompagnés de sujets documentaires et de reportages géographiques, culturels, économiques et touristiques.
D'après Schärer, Thomas: "Ciné-Journal suisse", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 15.01.2021, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/010478/2021-01-15/ [consulté le 15.02.2021].

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