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Normdatei

Bellinelli, Matteo

  • CHCS000293ISAAR
  • Person
  • 1950

Né en 1950 à Lugano. M. Bellinelli travaille comme producteur, journaliste et réalisateur à la Radio svizzera di lingua italiana (RSI) depuis 1974 et a réalisé de nombreux documentaires pour la télévision.

Cinégram SA Genève

  • CHCS000101ISAAR
  • Organisation
  • 1928-1992

La société Film AAP S.A. est fondée à Genève en 1928 par Arthur Adrien Porchet (né le 11.5.1879 à Neuchâtel, décédé le 1.2.1956 à Lausanne), cinéaste, et par Alfred Masset, chimiste. Il s’agit d’un laboratoire de développement, de tirage de films, de fabrication de titres, un studio industriel, ainsi qu’un département de dessins animés dirigé par Jean Varé, éditeur du Ciné-Journal suisse. En 1930/31, Porchet quitte la Suisse afin de poursuivre sa carrière en France et en Espagne. Il laisse AAP S.A., pour l’occasion rebaptisée Cinégram S.A. aux soins d’Alfred Masset qui en devient le seul directeur. Cinégram devient rapidement le premier laboratoire du pays, introduisant la prise de vue sonore (Visatone, 1931) et la couleur (Duffaycolor, 1938). C’est à lui, également, que fut confiée la production du Ciné-Journal suisse.
Basé à Genève, le laboratoire Cinégram S.A. s’agrandit d’une succursale à Zürich en 1938, ainsi que, brièvement, d’une succursale italienne, à Venise, entre 1947 et 1948.
Alfred Masset en restera le directeur jusqu’à son décès, en 1978. Il est succédé par son fils Bernard.
Cinégram S.A. est radiée du registre du commerce le 15 août 1994.

Sources :
Ancienne notice ISAAR par N. Roch ; Fonds Laboratoire Cinégram ; Registre du commerce du canton de Genève (https://www.ge.ch/recherche-entreprises-dans-registre-du-commerce-geneve, consulté le 9.11.2022)

Ciné-Journal suisse

  • CHCS000102ISAAR
  • Organisation
  • 1940-1975

Le Ciné-Journal suisse est une forme d'actualités filmées hebdomadaires, diffusées en avant-programme dans les cinémas ambulants puis dans les salles de cinéma.

Un premier ciné-journal est réalisé dans le secteur privé dès 1923 par l'Office cinématographique à Lausanne, firme fondée par Emile Taponnier, Jacques Béranger et Arthur-Adrien Porchet. Il disparaît en mars 1936, emporté par la concurrence étrangère.

Le Ciné-Journal suisse officiel (CJS) ou "Ciné-Journal 2" produit des actualités de 1940 à 1975, tire son origine de la fondation de la Chambre suisse du cinéma (1938), qui le contrôlera, et de l'arrêté fédéral du 30 août 1939 instaurant les pleins pouvoirs. Il vise à contrebalancer l'écrasante hégémonie des actualités nazies et fascistes. Produit par Cinégram (Genève), rendu obligatoire dans toutes les salles du pays (16 avril 1940), soumis à la censure militaire, partiellement subventionné par la Confédération, il est inauguré à Berne le 1er août 1940. En cinq à huit minutes, il présente chaque semaine, dans les trois langues nationales, une mosaïque de sujets (parfois un thème unique) propres à participer à la défense spirituelle du pays (agriculture, solidarité fédérale, mission humanitaire). Son premier rédacteur se nomme Paul Alexis Ladame, son successeur, Hans Laemmel; l'un des premiers opérateurs est Georges Alexath. Dès janvier 1946, le passage du CJS n'est plus obligatoire: la Suisse romande, puis les grandes villes alémaniques, ne renouvellent pas leur abonnement. Le CJS meurt lentement, malgré une formule magazine mise au point en 1973 par Max Dora. La concurrence de la télévision et l'hostilité d'une partie du monde du cinéma suisse lui portent l'estocade finale en mars 1975.
Le CJS se compose de 9000 sujets, 1650 numéros et 280 000 m de pellicule. Les événements nationaux et internationaux sont accompagnés de sujets documentaires et de reportages géographiques, culturels, économiques et touristiques.
D'après Schärer, Thomas: "Ciné-Journal suisse", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 15.01.2021, traduit de l’allemand. Online: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/010478/2021-01-15/ [consulté le 15.02.2021].

Fédération Internationale des Ciné-Clubs (FICC)

  • CHCS000104ISAAR
  • Organisation
  • 1947-

La Fédération Internationale des Ciné-Clubs (International Federation of Film Societies) a été fondée à Cannes en 1947 lors d'une réunion entre les représentants de diverses fédérations nationales pour développer les échanges entre les ciné-clubs nationaux. L'encouragement à la diffusion du cinéma, en particulier les films non représentés dans les circuits commerciaux, et l'organisation de jurys internationaux dans un certain nombre de festivals comme Cannes, Cracovie, Evora, Tallin ou Locarno constituent deux pôles importants des activités de la FICC.
La Fédération est organisée en 5 groupes: Afrique, Amérique latine, Asie-Pacifique, Europe, Pays nordiques.
Voir le site https://infoficc.wordpress.com/author/infoficc/ (consulté le 21 mars 2017).

Association des loueurs de films en Suisse (ALS)

  • CHCS000130ISAAR
  • Organisation
  • 1922-1959

Association constituée le 12 septembre 1922, dont le siège est à Berne et régie par les articles 60 et suivants du Code civil suisse. Par décision de l'Assemblée générale du 24 novembre 1959, la dénomination de la raison sociale devient: Association suisse des Distributeurs de films (ASDF) - Schweizerischer Filmverleiher Verband (SFV)

Filmgilde Solothurn (FGS)

  • CHCS000141ISAAR
  • Organisation
  • 1960-1980 ca.

Ciné-club sous forme d'association, créée à Soleure en 1960 par un groupe de jeunes gens passionnés par le cinéma. Certains de ses membres seront à la base de la création de la Société suisse des journées cinématographiques de Soleure (SSJS) - Schweizerische Gesellschaft Solothurner Filmtage (SGSF) en 1967. La Filmgilde continue pourtant d'exister en parallèle de la Société mais finira pas s'éteindre vers 1980.

Schweizerische Gesellschaft Solothurner Filmtage (SGSF)

  • CHCS000145ISAAR
  • Organisation
  • 1967-

Association (Verein) avec siège à Soleure, fondée à Soleure lors de l'assemblée constitutive du 11 juillet 1967. Son activité principale est l'organisation des Solothurner Filmtage (SFT) - Journées cinématographiques de Soleure. Une première édition eut lieu en 1966 sous le nom de Tagung Schweizer Film heute, avant la constitution en association. Son premier président est Martin Schlappner (1919-1998).

Les premiers statuts du 11 juillet 1967 (avec modifications en 1972 et 1976) sont régis par les articles 60 et suivants du Code civil suisse. Selon ces statuts, le but de la SGSF (art. 2) est de reprendre les activités de la Fimgilde Solothurn et de promouvoir la création libre du cinéma suisse (all: das freie schweizerische Filmschaffen fördern). Il s'agit de:
a) Organiser annuellement les SFT afin d'accroître la visibilité du nouveau cinéma suisse auprès du public.
b) Encourager le contact entre les professionnels du cinéma, les médias, les acteurs des milieux économiques et culturels, au niveau national et international.
c) Soutenir des efforts ayant des buts analogues.

Les membres (art. 3) sont des personnes physiques ou morales, en tant que membre individuel ou collectif. L'admission est soumise à l'approbation du Comité.
Les organes (art. 6) sont l'Assemblée des membres (Mitgleidervesammlung), le Conseil de direction (Vorstand), le Comité directeur (Geschäfstleitung) et l'organe de contrôle (Kontrollstelle). Le Secrétariat (Geschäftsstelle) dont le siège est à Soleure est en charge de l'organisation des SFT avec le Comité directeur.

Arbeitsgruppe Massenmedien (AMM)

  • CHCS000144ISAAR
  • Organisation
  • 1972-

Association fondée au début de l’année 1972 par des étudiants soleurois dans le but de mettre en valeur des films d’étudiants et de professeurs réalisés principalement en format 8mm. Leur activité centrale est l’organisation du Schweizerische Filmwerkschau Solothurn (SFS) ou Atelier du cinéma. La première édition a lieu du 10 au 11 mars 1973. Huit éditions (1972-1980) auront lieu chaque mois de mars à Soleure. Dans le programme de 1980 (p.4) est entamée une discussion concernant l’avenir du SFS. Par le communiqué de presse du 23 mars 1980, les organisateurs annoncent mettre un terme aux SFS, tout en laissant la porte ouverte à l’organisation d’autres manifestations.
Né en 1959, Daniel Leippert est photographe et réalisateur. C’est un des membres actifs du AMM, qui organise les SFS entre 1973 et 1980. Il est également projectionniste dans le cadre des Solothurner Filmtage.

Les productions JMH S.A.

  • CHCS000168ISAAR
  • Organisation
  • 1982 -

Les Productions JMH SA ont été fondées en 1982 par Jean-Marc Henchoz (jusque là fromager et homme à tout faire au Théâtre populaire romand), pour produire le film Polenta de Maya Simon. Il produit plusieurs films à succès du cinéma suisse : Derborence de Francis Reusser en 1985, Si le soleil ne revenait pas de Claude Goretta en 1987, et co-produit Microcosmos Claude Nurisdany et Marie Pérennou en 1997. En 1995, dans le but l’élargir son activité, il fonde également JMH Distributions. Après sa retraite, Jean-Marc Henchoz confie les productions JMH SA à son fils Matthieu, mais produit encore Titeuf, le film en 2011. Il décède en 2012 des suites d’une opération du coeur. Les productions JMH SA poursuivent leur activité, toujours dirigées par Matthieu Henchoz. (Source : Duplan, Antoine : Jean-Marc Henchoz, poète et paysan (2012). In: Le Temps, 11 novembre 2012 ; site internet www.jmhsa.ch, consulté le 30 avril 2019  ; Lassueur, Yves : Entre l’art et le fromage (1983), In : L’Hebdo, 5 mai 1983.)

Columbia Tri-Star

  • CHCS000210ISAAR
  • Organisation
  • 1924 -

Columbia Pictures, société américaine de production et de distribution de films, a été fondée en 1924 à Los Angeles. En 1982, Columbia s'associe à HBO et CBS pour créer une société de production commune : il s'agit de Tri-Star (qui devient TriStar, sans trait d'union, en 1991). En 1989, Columbia est rachetée par Sony Pictures. Columbia et Tri-Star sont alors fusionnés en une seule société, la Columbia TriStar Motion Picture Group.

(Source: Columbia Pictures, Wikipedia. Disponible à l'adresse . https://fr.wikipedia.org/wiki/Columbia_Pictures [consulté le 04.03.2020]
Dick, Bernard F. (1992). Columbia Pictures: Portrait of a Studio. Lexington, Ky.: University Press of Kentucky.

Association Films Plans-Fixes

  • CHCS000215ISAAR
  • Organisation
  • 1979-

Association fondée le 12 octobre 1979 à Yverdon-les-Bains. Sans but lucratif, elle est régie par les articles 60 et suivants du Code civil suisse. La principale activité de l'Association est la production de portraits filmés de personnalités de la Suisse romande. Le premier film est tourné le 19 décembre 1977, avant la constitution en Association. En 2017, ce sont 320 films qui auront été tournés.
En 2019, le siège social qui était à Yverdon-les-Bains dès la fondation, est tranféré à Lausanne auprès de la Cinémathèque suisse.
[Source: site de l'Association, rubriques Historique (https://www.plansfixes.ch/lassociation/historique/) et Statuts https://www.plansfixes.ch/lassociation/statuts/, consultées le 10.08.2020; courrier du secrétaire général de Plans-Fixes, 18 mai 2020]

Interfilm

  • CHCS000229ISAAR
  • Organisation
  • 1955-

Der Verein „Interfilm Schweiz“ vertritt die Interessen von INTERFILM in der Schweiz. INTERFILM, die Internationale Kirchliche Filmorganisation, ist das internationale Netzwerk für den Dialog zwischen Kirche und Film. Es fördert das Verständnis ästhetischen, spirituellen und sozialen Bedeutung des Films und engagiert sich für die Wahrnehmung von Kirche, Theologie und Religion in der Filmkultur.

MOA Distribution

  • CHCS000274ISAAR
  • Organisation

Société de distribution basée à Lausanne, dirigée par Alain Bottarelli

SUISSIMAGE, Coopérative suisse pour les droits d'auteurs d'oeuvres audiovisuelles

  • CHCS000288ISAAR
  • Organisation
  • 1981-

La coopérative suisse pour les droits d’auteurs d’œuvres audiovisuelles Suissimage, fondée en 1981, est une société de gestion qui œuvre en faveur du domaine de l’audiovisuel suisse. Sa mise sur pied a été réalisée par les associations professionnelles de la branche cinématographique suisse et son siège se situe à Berne. Elle défend les intérêts et les droits des auteurs-trices et des autres titulaires de droits d’auteur d’œuvres audiovisuelles. Confrontée aux intérêts les plus divers, Suissimage est amenée à collaborer avec les organisations nationales et internationales (son activité la lie à 95 sociétés sœurs à l’étranger) et à s’investir en faveur de la branche de l’audiovisuel sur le plan économique, culturel et social. Au service de ses membres, la coopérative leur propose des prestations et du soutien juridique, sa charge principale étant la gestion de certains droits sur les films et les œuvres audiovisuelles ainsi que la représentation des auteurs-trices, des scénaristes, des réalisateurs-trices et des producteurs-trices de film. Ils veillent également que les ayants droits perçoivent une rémunération équitable pour l’utilisation de leurs œuvres. De plus, Suissimage négocie avec les associations représentant les utilisateurs-trices des tarifs fixés ainsi que des conditions. Enfin, Suissimage assure le monitorage des utilisations de son répertoire et fait concorder les données avec sa banque de données comportant plus de deux millions d’œuvres audiovisuelles et leurs ayants droit. De cette manière, les redevances perçues peuvent être réparties simplement et sans équivoque entre les ayants droit.
En parallèle à cette activité, Suissimage a également créé en 1989 deux fondations autonomes et indépendantes de la société de gestion : le Fonds culturel et le Fonds de solidarité.
Le Fonds culturel soutient financièrement la création cinématographique suisse au sens large et élabore également des projets d’encouragement portant sur des thèmes spécifiques. Ses activités sont principalement concentrées sur le soutien à la production de longs métrages de cinéma, avec un programme principal d’aide aux projets de fiction et documentaires qui ont obtenu le soutien de l’OFC ou de la SSR SRG. Le règlement de la Fondation prévoit par ailleurs qu’à côté du programme principal, une part du budget est à la disposition de la commission culturelle pour soutenir des projets et des manifestations qui présentent un intérêt pour l’ensemble du secteur cinématographique et audiovisuel suisse et qui ont besoin d’un soutien ponctuel ou d’une aide initiale.
Le Fonds de solidarité, quant à lui, peut aider toutes les personnes issues du milieu cinématographique qui se trouvent dans des situations précaires liées à l’âge, à la maladie, à un accident ou à un décès. Ainsi, Suissimage consacre 10% de ses recettes au soutien des représentant-e-s du milieu cinématographique socialement en difficulté et à la prévoyance vieillesse des membres de la coopérative.

(Sources : "Portrait", in Coopérative suisse pour les droits d’auteurs d’œuvres audiovisuelles Suissimage, [consulté le 06.07.2023] en ligne : https://www.suissimage.ch/fr/portrait)

Fondation Bolex-Oulevay

  • CHCS000292ISAAR
  • Organisation
  • 1998-

Depuis 1964, Serge-Louis Oulevay, ancien chef de service, puis directeur adjoint au secteur recherche cinéma de Paillard, a rassemblé et inventorié tous les objets témoins de l’histoire de Bolex qu’il a pu acquérir. La collection représente plus de mille caméras et projecteurs, des films et affiches publicitaires, des témoignages et des photographies.
Cette collection unique et exemplaire retrace une extraordinaire aventure technique et industrielle, ayant pris naissance dans les années vingt à Genève, lors de la fondation de l’entreprise Bol par un émigré russe, Jacques Bogopolsky ou Boolsky.
La société est rachetée en 1930 par l’entreprise Paillard et Cie SA, basée à Sainte-Croix et Yverdon, qui en développe dès lors toute la production.
Face à l’importance capitale de cet ensemble pour le patrimoine industriel vaudois et aux menaces de dispersion de cette collection lors de successions, les responsables des institutions en charge de ce type de patrimoine ont décidé d’unir leurs forces en créant en 1998 une fondation à même d’assurer la pérennité de cette collection, conformément aux voeux de son créateur.
(sources : Statuts de la Fondation-Collection Bolex-Oulevay, 2022)

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