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Notice d'autorité

Fondation de formation continue pour le cinéma et l'audiovisuel

  • CHCS000298ISAAR
  • Collectivité
  • 1990-

Créée en 1990, FOCAL est une institution faîtière dont le but est d'accroître les compétences créatrices, techniques et d'entreprise des professionnels du cinéma, de l'audiovisuel et des nouveaux médias.
Les programmes de formation couvrent toute la chaîne de production: écriture et développement, production, marchés et droits, mise en scène, direction d'acteurs, technique, image, son et lumière, nouvelles technologies, multimédia et nouveaux médias, postproduction, animation, distribution et exploitation, ainsi que l'approche théorique.
Les activités de FOCAL sont ouvertes aux professionnels de tous les secteurs audiovisuels. Un programme détaillé paraît quatre fois par année.
(Source : Cinebulletin - Revue Suisse des professionnel·le·s du cinéma: https://cinebulletin.ch/fr_CH/membres/focal-fondation-de-formation-continue-pour-le-cinema-et-l-audiovisuel )

Frauenkino Xenia

  • CHCS000297ISAAR
  • Collectivité
  • 1988-2003

Das Frauenkino Xenia wurde Anfang 1988 gegründet. Ein Kollektiv von Frauen entschied, von nun an im Kino Xenix auf dem Kanzleiareal in Zürich regelmässig feministische Filmprogramme und Filme von Frauen zu zeigen. Das Frauenkino Xenia fand jeweils am Donnerstagabend statt, Kino und Bar waren nur Frauen zugänglich. Einzelne Programme wurden mit dem Kino Xenix gemeinsam organisiert. Unter dem Titel Xenia für alle wurden Filme aus dem Xeniaprogramm ins reguläre Xenixprogramm aufgenommen. Ende der 1990er Jahren wurde dem Xenia durch das Xenix gekündigt, was zu einem längeren Konflikt führte. Das Frauenkino existierte noch bis 2003 und zeigte im Kino Xenix und an anderen Orten in unregelmässigen Abständen Filme.

Cinemafrica

  • CHCS000296ISAAR
  • Collectivité
  • 1987-2006

Cinemafrica a été un festival de films africains bisannuel, de 1987 à 2006, basé à Zurich. La première édition a été organisée par Ines Anselmi (en collaboration avec Filmpodium de Zurich et le Musée ethnographique de l'Université de Zurich/Völkerkundemuseum) ; les suivantes par Hanna Diethelm et Barbara Hegnauer.

Cinérive SA

  • CHCS000295ISAAR
  • Collectivité
  • 1981-

Société active dans l'exploitation de cinémas enregistrée le 28 octobre 1981 au registre du commerce du canton de Vaud et sise à Vevey, Rue Jean-Jacques Rousseau 6. Cinérive gère 14 salles de cinéma et est mandatée pour la programmation de 6 autres salles dans l’ensemble du canton de Vaud, ainsi qu’un open-air durant la saison estivale. Des salles se trouvent notamment à Vevey, Montreux, Aigle, Orbe, La Sarraz, Monthey et Martigny.

La création de l’entité Cinérive date de son inscription au registre du commerce du canton de Vaud en 1981. Auparavant, la gestion des salles s’est faite sous le nom de Léon Moser, avant de passer à plusieurs raisons sociales (notamment en nom collectif). A l’origine, Léon Moser ouvre la salle de cinéma Rex à Vevey le 27 octobre 1933, alors la 5e salle de la ville. L’exploitation s’étend par la suite à d’autres salles de la ville, de la Riviera et enfin dans le reste du canton. Trois générations de la famille Moser se sont succédées à la tête de l’entreprise et des différents évènements liés à son histoire, tel que le Festival du film de comédie (1981-1998).

Cinélibre

  • CHCS000105ISAAR
  • Collectivité

Erni, Barbara

  • CHCS000273ISAAR
  • Personne
  • 1948-

Barbara Erni est née à Coire en 1948 et vit à Lausanne. Elle a réalisé des études en Lettres aux universités de Zurich, Vienne et Lausanne. Elle a pratiqué plusieurs professions: enseignante, traductrice, iconographe (collaboration avec Nicolas Bouvier), assistante au théâtre, assistante au cinéma, metteuse en scène, réalisatrice et photographe. Elle a publié plusieurs ouvrages (depuis 1994) et a réalisé divers films. Parmi les films, on peut citer: "La montagne des reines" (2006) ; "Les enfants de la balle / Staub und Sterne" (2011) ; "Making of Making Nothing" (2019).

Muret, Claude

  • CHCS000290ISAAR
  • Personne
  • 1947

Claude Muret est né le 12 avril 1947, fils de Charlotte Khajet et André Muret. L'implication politique de ses parents, dont le rôle dans le parti ouvrier populaire vaudois est important, le suit durant son enfance. Par la suite, Claude Muret va également être lié à des organisations politiques et être, de ce fait, surveillé par les services de police. Dans l'intervalle, Claude Muret effectue une licence en Droit à l'Université de Lausanne et réalise beaucoup de vidéos militantes.
Durant l'ensemble de sa carrière, Claude Muret travaille sur un très grand nombre de films comme scénariste, co-réalisateur ou acteur, ainsi que comme consultant pour d'autres cinéastes. Après le succès de la rédaction du film Les Petites Fugues d'Yves Yersin (1979), Muret écrit L'air du crime (1984), puis voit sa vie racontée par la police en tant qu'acteur et personnage principal dans Connu de nos services de Jean-Stéphane Bron (1997) qui raconte son passé de militant. Il écrit le téléfilm adapté d'un roman de Charles-Ferdinand Ramuz La beauté sur la terre, réalisé par Antoine Plantevin (2001). Il rédige ensuite Pas les flics, pas les noirs, pas les blancs (2002), documentaire visant à changer les relations entre la police et les différentes communautés étrangères à Genève, puis Prud'hommes (2010), une immersion au cœur d'un Tribunal dans lequel se règlent les conflits entre employeurs et salariés. Aux côtés de Manuel von Stürler, Claude Muret co-scénarise Hiver nomade (2012), documentaire sur des bergers en transhumance, ainsi que La fureur de voir (2017), quête sur la perception visuelle.
Le domaine culturel intéresse également Claude Muret, qui rédige des propositions de muséographie pour différents musées, notamment en 1993 pour le Musée du Palais de Rumine, puis une exposition pour le Musée de l’histoire du Pont du Gard et de l’Aqueduc romain de Nîmes dans le cadre du projet de Lydia Elhadad (2002), ainsi qu’un projet de scénarisation des espaces et de l’exposition du Musée Bibracte (2003). Enfin, en 2007, suite aux nouvelles découvertes archéologiques sur la colline du Mormont et la découverte d’un immense sanctuaire celte, Claude Muret écrit Le crépuscule des Celtes (2007) dirigé par Stéphane Goël.

D'après "Claude Muret", in Swiss films, url : https://www.swissfilms.ch/fr/person/muret-claude/46D78C9C38474148A317F8AFD69B3F87 et Y. Tenret, "Claude Muret, le Vaudois inconnu et son projet La Cervelle", in Bon pour la tête, url : https://bonpourlatete.com/culture/claude-muret-le-vaudois-inconnu-et-son-projet-la-cervelle, le 30.10.2023.

Bellinelli, Matteo

  • CHCS000293ISAAR
  • Personne
  • 1950

Né en 1950 à Lugano. M. Bellinelli travaille comme producteur, journaliste et réalisateur à la Radio svizzera di lingua italiana (RSI) depuis 1974 et a réalisé de nombreux documentaires pour la télévision.

Fondation Bolex-Oulevay

  • CHCS000292ISAAR
  • Collectivité
  • 1998-

Depuis 1964, Serge-Louis Oulevay, ancien chef de service, puis directeur adjoint au secteur recherche cinéma de Paillard, a rassemblé et inventorié tous les objets témoins de l’histoire de Bolex qu’il a pu acquérir. La collection représente plus de mille caméras et projecteurs, des films et affiches publicitaires, des témoignages et des photographies.
Cette collection unique et exemplaire retrace une extraordinaire aventure technique et industrielle, ayant pris naissance dans les années vingt à Genève, lors de la fondation de l’entreprise Bol par un émigré russe, Jacques Bogopolsky ou Boolsky.
La société est rachetée en 1930 par l’entreprise Paillard et Cie SA, basée à Sainte-Croix et Yverdon, qui en développe dès lors toute la production.
Face à l’importance capitale de cet ensemble pour le patrimoine industriel vaudois et aux menaces de dispersion de cette collection lors de successions, les responsables des institutions en charge de ce type de patrimoine ont décidé d’unir leurs forces en créant en 1998 une fondation à même d’assurer la pérennité de cette collection, conformément aux voeux de son créateur.
(sources : Statuts de la Fondation-Collection Bolex-Oulevay, 2022)

Groupement Suisse du Film d'Animation

  • CHCS000291ISAAR
  • Collectivité
  • 1968

Le GSFA a été fondé le 12 octobre 1968 à Fribourg. Parmis les membres fondateurs se nomment : Bruno Edera, Nag et Gisèle Ansorge, Georges Schwizgebel, Claude Luyet et Daniel Suter. Le but était de fédérer toutes les personnes actives dans l’animation en Suisse, afin d’échanger et de collaborer pour promouvoir la création du cinéma d’animation.
(Source: Site internet du GSFA : https://swissanimation.ch/fr/a-propos/50-ans-du-gsfa)

Salani, Corso

  • CHCS000289ISAAR
  • Personne
  • 1961-2010

Né en 1961 à Florence (Italie). En 1984, diplômé de l'Istituto di Scienze Cinematografiche, Florence. C. Salani est réalisateur et acteur entre 1989 et 2010, date de son décès.

SUISSIMAGE, Coopérative suisse pour les droits d'auteurs d'oeuvres audiovisuelles

  • CHCS000288ISAAR
  • Collectivité
  • 1981-

La coopérative suisse pour les droits d’auteurs d’œuvres audiovisuelles Suissimage, fondée en 1981, est une société de gestion qui œuvre en faveur du domaine de l’audiovisuel suisse. Sa mise sur pied a été réalisée par les associations professionnelles de la branche cinématographique suisse et son siège se situe à Berne. Elle défend les intérêts et les droits des auteurs-trices et des autres titulaires de droits d’auteur d’œuvres audiovisuelles. Confrontée aux intérêts les plus divers, Suissimage est amenée à collaborer avec les organisations nationales et internationales (son activité la lie à 95 sociétés sœurs à l’étranger) et à s’investir en faveur de la branche de l’audiovisuel sur le plan économique, culturel et social. Au service de ses membres, la coopérative leur propose des prestations et du soutien juridique, sa charge principale étant la gestion de certains droits sur les films et les œuvres audiovisuelles ainsi que la représentation des auteurs-trices, des scénaristes, des réalisateurs-trices et des producteurs-trices de film. Ils veillent également que les ayants droits perçoivent une rémunération équitable pour l’utilisation de leurs œuvres. De plus, Suissimage négocie avec les associations représentant les utilisateurs-trices des tarifs fixés ainsi que des conditions. Enfin, Suissimage assure le monitorage des utilisations de son répertoire et fait concorder les données avec sa banque de données comportant plus de deux millions d’œuvres audiovisuelles et leurs ayants droit. De cette manière, les redevances perçues peuvent être réparties simplement et sans équivoque entre les ayants droit.
En parallèle à cette activité, Suissimage a également créé en 1989 deux fondations autonomes et indépendantes de la société de gestion : le Fonds culturel et le Fonds de solidarité.
Le Fonds culturel soutient financièrement la création cinématographique suisse au sens large et élabore également des projets d’encouragement portant sur des thèmes spécifiques. Ses activités sont principalement concentrées sur le soutien à la production de longs métrages de cinéma, avec un programme principal d’aide aux projets de fiction et documentaires qui ont obtenu le soutien de l’OFC ou de la SSR SRG. Le règlement de la Fondation prévoit par ailleurs qu’à côté du programme principal, une part du budget est à la disposition de la commission culturelle pour soutenir des projets et des manifestations qui présentent un intérêt pour l’ensemble du secteur cinématographique et audiovisuel suisse et qui ont besoin d’un soutien ponctuel ou d’une aide initiale.
Le Fonds de solidarité, quant à lui, peut aider toutes les personnes issues du milieu cinématographique qui se trouvent dans des situations précaires liées à l’âge, à la maladie, à un accident ou à un décès. Ainsi, Suissimage consacre 10% de ses recettes au soutien des représentant-e-s du milieu cinématographique socialement en difficulté et à la prévoyance vieillesse des membres de la coopérative.

(Sources : "Portrait", in Coopérative suisse pour les droits d’auteurs d’œuvres audiovisuelles Suissimage, [consulté le 06.07.2023] en ligne : https://www.suissimage.ch/fr/portrait)

Hirschi, Gilbert

  • CHCS000187ISAAR
  • Personne
  • 1945-2003

Instituteur dans les collèges neuchâtelois de la Joux-du-Plâne, puis de Derrière-Pertuis, rendu célèbre par le film Tableau Noir (2013) d'Yves Yersin.

Buache, Freddy

  • CHCS000003ISAAR
  • Personne
  • 1924-2019

Freddy Buache est né à Villars-Mendraz, dans le canton de Vaud, le 29 décembre 1924. Il fait ses études à l’école de commerce de Lausanne. Intéressé par l’art, la littérature, le théâtre et le cinéma, il écrit très tôt, et jusqu’à la fin de sa vie, de nombreuses critiques pour divers journaux lausannois. En 1948, il fonde avec son ami Charles Apothéloz la compagnie de théâtre ambulante des Faux-Nez, et il crée l’année suivante la revue d’art Carreau. Mais c’est au cinéma qu’il consacrera finalement la majeure partie de sa vie.
En 1945, lors d’une exposition de la Cinémathèque française à Lausanne, Buache fait la connaissance de Henri Langlois, fondateur et directeur de la Cinémathèque française. C’est Langlois qui met Buache en relation avec Claude Emery et René Favre, deux employés des Postes passionnés de cinéma. Tous trois travaillent ensemble au sein du Ciné-club de Lausanne puis, en 1948, au sein de la nouvelle Cinémathèque suisse, qui se crée alors même que les Archives cinématographiques suisses de Bâle cessent leur activité.

De 1951 à 1995, Buache en est le directeur, succédant à Claude Emery. Sous sa direction, la Cinémathèque se dote de son premier centre d’archivage à Penthaz en 1992, et accueille les archives du Ciné-Journal suisse. En 1996, il laisse la direction à Hervé Dumont et devient Président d’honneur de la Cinémathèque suisse.

En plus de ses activités à la Cinémathèque suisse, F. Buache est journaliste et critique de cinéma, codirecteur du Festival de Locarno entre 1967 et 1970, auteur de nombreux ouvrages sur le cinéma, poète, responsable de collection aux éditions l’Age d’Homme. Militant en faveur du cinéma, il se lie d’amitié avec de nombreuses personnalités de ce milieu et contribue à faire connaître le cinéma partout autour de lui. Il est l’époux de la journaliste et écrivaine d’origine belge Marie-Magdeleine Brumagne.
Freddy Buache est décédé à Lausanne le 28 mai 2019.

(sources : Buache, Freddy, in: Dictionnaire historique de la Suisse. Disponible en ligne : https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/009145/2019-08-06/ [consulté le 01.07.2020] ;
MAIRE, Frédéric. 2019. Décès de Freddy Buache. Cinémathèque suisse [en ligne]. 29 mai 2019. [Consulté le 19 octobre 2022]. Disponible à l’adresse : https://www.cinematheque.ch/f/actualites/article/deces-de-freddy-buache/

Cohn, Marta

  • CHCS000247ISAAR
  • Personne

Marta Cohn, née Marta Sugar, d'origine hongroise, a écrit de nombreux articles pour la presse américaine (particulièrement pour le San Francisco Chronicle) ainsi que des textes inédits. Elle a assisté son mari Art Cohn dans ses travaux (sans être créditée) et a notamment finalisé l'ouvrage de ce dernier: The Nine Lives of Michael Todd (1958). Mme Cohn est également la traductrice du hongrois vers l'anglais, de: Senesh, Hannah. Her Life and Diary (1971 ?)
Le couple s'est lié d'amitié avec Roberto Rossellini et Ingrid Bergman, rencontrés sur le tournage du film Stromboli (1949) sur l'île du même nom.
Mme Cohn a vécu de nombreuses années en Suisse.
Sources: entretien avec Ian Frank, donateur des Papiers Art et Marta Cohn, 21 octobre 2021.

Naus, Henri

  • CHCS000287ISAAR
  • Personne
  • 1875-1938

Né à Hasselt (Belgique) en 1875, Henri Naus étudie la chimie à Bruxelles et conduit une carrière d'industriel. Il travaille à Java puis en Egypte, où il dirige la Société des Sucreries et Raffineries d'Egypte. Membre et président de nombreuses sociétés, associations et instituts, il est honoré de plusieurs titres dont ceux de Commandeur de la Légion d'honneur et de Grand Cordon de l'Ordre du Nil.
H. Naus est également auteur de films amateurs, tournés notamment en Egypte. Père d'une fille, Marie-Rose (1916-2019) et de trois fils, Edgar (décédé enfant), Joseph (décédé en 1918) et Hugues (décédé en 1942), H. Naus décède à Bruxelles en 1938.

Reinhart, George

  • CHCS000198ISAAR
  • Personne
  • 1942-1997

George Reinhart est né le 25 octobre 1942 à New York dans une famille de mécènes et de négociants en coton de Winterthour, fondateurs de l'entreprise de commerce de coton Gebrüder Volkart et de la Fondation Volkart. Il est le neveu d'Oskar Reinhart, célèbre collectionneur d'art. D'abord employé dans la firme familiale, George Reinhart se consacre par la suite entièrement à ses passions, la photo et le cinéma. Cinéaste amateur dans l'adolescence, il a fréquenté l'école de photographie de New York. C'est en tant que producteur qu'il est connu dans le milieu du cinéma ; il produit notamment Das Boot ist voll, de Markus Imhoof (1981), Transatlantique, de Hans-Ulrich Schlumpf (1983), La demoiselle sauvage, de Lea Pool (1991), ou encore le documentaire Adolf Dietrich – Kunstmaler, de Friedrich Kappeler (1991). En parallèle, il rassemble une importante collection de photographies, co-fonde la maison d'édition Scalo Verlag et contribue à créer le Fotomuseum Winterthur. George Reinhart décède le 25 octobre 1997, le jour de son 55ème anniversaire.
Sources :
Reinhart, George, in: Winterthur glossar. Disponible à l'adresse : https://www.winterthur-glossar.ch/app/default/pub/fw.action/article?ce_id=270&ce_name=Person [consulté le 17 septembre 2019]. Hervé Dumont et Maria Tortajada (dir.), Histoire du cinéma suisse 1966-2000, 2007.

Bener, Peter Christian

  • CHCS000284ISAAR
  • Personne
  • 1940-2020

Né à Coire en 1940, Peter Christian Bener est un historien de l’art, contributeur de plusieurs recherches et publications, notamment auprès des Monuments d'art et d'histoire de la Suisse (Kunstdenkmäler der Schweiz). Ami du réalisateur Daniel Schmid, il est notamment directeur de production de La Paloma (1974) et figurant dans ce même film, ainsi que dans Heute Nacht oder nie (1972). Au début des années 1980, les deux amis envisagent de créer un film pour la télévision suisse, intitulé Die Erfindung vom Paradies (L’invention du paradis), présentant en cinq tableaux une vision de la Suisse touristique au 19ème siècle. Le projet de film n’ayant pas abouti, ils réalisent alors un livre sous le même titre, rassemblant de nombreuses images d’archive et des textes. Le livre paraît en 1983 en version allemande et sera traduit en anglais, français et japonais. [Source: curriculum vitae de P. C. Bener dans le dossier de gestion des Papiers Peter Christian Bener, Cinémathèque suisse]

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