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Notice d'autorité

Bodevin, François-Pascal

  • CHCS000193ISAAR
  • Personne
  • 1930-2017

François-Pascal Bodevin est né en 1930. Son père était métreur en menuiserie, son grand-père marin ; d'abord intéressé par la charpenterie navale, il doit arrêter son apprentissage pour des raisons de santé. Il commence un second apprentissage comme coiffeur, mais c'est finalement comme opérateur de cinéma qu'il continuera sa longue carrière. Engagé politiquement, il rejoint la Fédération ouvrière vaudoise dès 1950, est membre de l'Union professionnelle des opérateurs projectionnistes et du personnel de salles de cinéma (UPOP), ainsi que de l'Association pour l'étude de l'histoire du mouvement ouvrier (AEHMO). Il donne également des cours d'opérateurs de cinéma au sein de la Commission technique et d'apprentissage des cinémas vaudois, dont il est le secrétaire pendant de nombreuses années.
Il décède à Lausanne le 24 octobre 2017.
(Source : conquête, organe de la Fédération ouvrière vaudoise, no 31, 1964 ; AEHMO, Cahier n° 34, 2018, disponible à l'adresse: https://aehmo.org/publications/cahier-n-34-retour-aux-sources-2/ [consulté le 9 septembre 2019] ; Cinémathèque suisse, Fonds François-Pascal Bodevin., cote CSL 085.)

Ruelle, Benoît

  • CHCS000194ISAAR
  • Personne
  • 1949 -

Né en 1949 au Havre, Benoît Ruelle fait des études de philosophie à l'Université de Rouen / Mont-Saint Aignan, puis de cinéma à l'Institut National Supérieur des Arts du Spectacle et des Techniques de Diffusion (INSAS), à Bruxelles. Il clôt cette dernière formation par un mémoire intitulé Jean Rouch ou le poète de la pensée sauvage, INSAS, Bruxelles 1974.
Il travaille ensuite comme journaliste à Radio France Internationale (RFI), ainsi que comme professeur d’histoire de l’art et d’esthétique cinématographique à l’Institut International Image et Son (3iS), à Paris. Depuis 2012, il est chargé de cours en Esthétique - Analyse de l’image dans le même institut.
(Sources : Le blog de Benoît Ruelle, https://bruelle.wordpress.com/about/. [consulté le 27.08.2019]
Ruelle, Benoît. Linkedin : https://www.linkedin.com/in/beno%C3%AEt-ruelle-1680b059/?originalSubdomain=fr ) [consulté le 27.08.2019]

Association internationale du film d'animation (ASIFA)

  • CHCS000195ISAAR
  • Collectivité
  • 1960-

L'association internationale du film d'animation a été fondée en 1960 en France, en marge du premier Festival international du film d'animation d'Annecy. Son premier président fut le canadien Norman McLaren. Les buts de l'association étaient d'unir le monde de l'animation, alors coupé en deux, comme le reste du monde, par la Guerre Froide, et de permettre aux animateurs de tous bords et de tous pays de se rencontrer en personne, d'échanger des films et de créer des liens personnels. Au fil des années, plus de quarante chapitres se sont créés dans des pays du monde entier, dont le Groupement suisse du film d'animation (GSFA) en Suisse.
Source : http://www.asifa.net [consulté le 17.09.19]

Cercle d'Etudes Cinématographiques

  • CHCS000012ISAAR
  • Collectivité
  • 1966-

Le Cercle d’Etudes Cinématographiques débute ses activités en 1966 dans le cadre de l’Office de cinéma de l’Eglise évangélique réformée du canton de Vaud (EERV), en même temps que le Cours d’initiation au cinéma mis sur pied par Paul-Henri Glardon. Sis rue de l’Ale 31 à Lausanne, au siège de l’EERV, le Cercle est conduit par le pasteur Maurice Terrail (1931-2014) directeur de l’Office Protestant du Cinéma. Il organise pour chaque saison hivernale un cycle de projections sur abonnement. M. Terrail le définit ainsi dans le programme du CECE 1980/1981: « Ce qui nous distingue d’un ciné-club, c’est que nous groupons nos projections sur un thème général qui permet une réflexion sur les grands problèmes dont le cinéma est presque toujours le reflet ».
Le lieu des cycles de 1966 à l’hiver 1970/1971 n’est pas indiqué dans les archives. De la sixième saison (1971/1972) à la dix-huitième saison (1983-1984), les séances ont lieu à l’aula du Collège de l’Elysée à Lausanne. Dès la dix-neuvième saison (1984-1985), les séances ont lieu dans la salle Paderewski du Casino de Montbenon. Ce bâtiment sis au centre-ville abrite également la Cinémathèque suisse.
Ces cycles accueillent rapidement des centaines d’abonnés. Dès la septième saison en hiver 1972-1973, les séances lausannoises sont dédoublées. En 1974, un deuxième cercle est créé sur le modèle du premier et avec une programmation analogue. Il s’agit du Cercle d’Etudes Cinématographiques de l’Est vaudois (CECE). Les séances ont lieu dans l’ancien Cinéma Odéon à Villeneuve. Dès la huitième saison (1980/1981), les projections du CECE ont lieu à l’aula du Centre d’enseignement secondaire supérieur de l’Est vaudois (CESSEV) à la Tour-de-Peilz.
Les deux cercles sont toujours actifs lors de la saison 2019/2020, lors de l’établissement de cette notice d’autorité. Leurs séances ont lieu à la salle Paderweski à Lausanne et au Cinéma Rex 1 à Vevey.

Morin, Gerald

  • CHCS000197ISAAR
  • Personne
  • 1943 -

Gérald Morin est né le 27 février 1943 à Lausanne. Après des études de théologie assorties de quelques cours sur le cinéma, il débute sa carrière comme pigiste à l'ORTF, puis déménage en Italie et travaille sur de nombreux films : assistant-réalisateur de Frederico Fellini sur Amarcord (1973) et Casanova (1976), production supervisor sur Le Nom de la Rose, de Jean-Jacques Annaud (1986), producteur exécutif sur The Burning Shore de Jeannot Swarz (1991), parmi beaucoup d'autres. Il produit également des films publicitaires, donne des conférences et monte des expositions. En 1994, de retour en Suisse, il dirige le Festival du Film de Genève – Stars de demain jusqu'en 1998, crée la Fondation Fellini pour le cinéma et le concours international de scénario Le Manuscript de Vercorin. En 2001, il fonde la société Almaz Film Production S.A. Il enseigne le cinéma à l'Ecole cantonale d'art du Valais (ECAV) et est le rédacteur en chef de la revue Culture en Jeu. En 2013, il réalise le documentaire Sur les traces de Fellini.
Gérald Morin vit à Lausanne.
(Sources : Curriculum Vitae, Fonds Gérald Morin ; Duplan, Antoine : Gérald Morin évoque ses six années avec Fellini. In : Le Temps, 24 mars 2013. Disponible à l'adresse : https://www.letemps.ch/culture/gerald-morin-evoque-six-annees-fellini [consulté le 19.08.2019])

Sierck, Hans Detlef

  • CHCS000005ISAAR
  • Personne
  • 1897-1987

Douglas Sirk, de son vrai nom Hans Detlef Sierck, est né le 26 avril 1897 à Hambourg. Son père, d’origine danoise, était enseignant et journaliste. Engagé volontaire lors de la Première Guerre mondiale, le jeune homme fait ensuite des études de droit, histoire de l’art, littérature et théâtre à Munich, Iéna et Hambourg. Il s’adonne en amateur à la peinture et fréquente les salles de cinéma. Il commence sa carrière de metteur en scène au Deutsches Schauspielhaus de Hambourg en 1920 puis travaille à Chemnitz et à Brême. En 1929, il accepte un poste de directeur à Leipzig et monte également des spectacles à Berlin. Mais, en 1933, le Staatstheater Berlin renonce à l’engager à cause de l’origine juive de sa deuxième épouse, la comédienne Hilde Jary.
Le Parti nazi suggère à Sierck de se séparer de sa femme, ce qu’il refuse; Hilde ne trouve aucun engagement dans les années suivantes et le couple est en but à des tracasseries de plus en plus graves. Néanmoins, ils se rendent ensemble à Heidelberg, où Sierck doit monter une pièce de Heinrich von Kleist. Hilde échappe de justesse à une arrestation. Le fait que sa première épouse – et mère de son unique fils Klaus Detlef - appartienne au parti nazi rend la situation encore plus dramatique. En 1934, Sierck abandonne finalement Leipzig au profit de Berlin, où il entame une carrière dans le cinéma à la UFA.
Le répit est de courte durée mais deux succès améliorent ses finances, Das Mädchen von Moorhof et Stützen der Gesellschaft. Sierck tournera encore Schlussakkord, Das Hofkonzert et Zu Neuen Ufern avant de profiter des scènes de La Habanera dont le tournage est prévu à l’étranger pour récupérer son passeport et quitter le pays à la fin de 1937.
Il se rend à Vienne, Rome, Paris, Montreux où il supervise le tournage d’une production franco-suisse, Accord final (sans que son nom apparaisse au générique) puis séjourne aux Pays-Bas ; déchus de leur nationalité allemande, Sierck et sa femme émigrent aux Etats-Unis en 1939, invités par la Warner Bros.
Devenu Douglas Sirk, il travaille comme scénariste et réalisateur, principalement pour United Artists, Columbia puis Universal, avec lesquelles il réalise une trentaine films jusqu’en 1959, parmi lesquels Magnificent Obsession, Written on the Wind, A Time to Love and a Time to Die, et sa dernière œuvre, Imitation of Life.
Dans les années 1960, Sirk retravaille en Allemagne à quelques mises en scène de théâtre et donne des cours à la Hochscule für Fernsehen und Film de Munich.
Il décède le 14 janvier 1987 à Lugano en Suisse.
[Sources : d’après D. Sirk, Lebenslauf in Form einer Versicherung an Eider Statt, tapuscrit, 4 p., [1956?], in Fonds Douglas Sirk. J. Halliday, Sirk on Sirk, Secker & Warburg, London, 1971. J Halliday, Conversations avec Douglas Sirk, Cahiers du Cinéma, Paris, 1997. H. Dumont, Histoire du cinéma suisse. Films de fiction 1896-1965, Cinémathèque suisse, 1987]

Michel, Beatrice

  • CHCS000060ISAAR
  • Personne
  • 1944-

Beatrice Michel (geb. 1944, Biel), Studium der Literaturwissenschaft, Romanistik und Anglistik, Promotion 1971. Von 1970-1988 Filmkritikerin und Kulturpublizistin u.a. beim Tages-Anzeiger sowie kontinuierlich freie Tätigkeit als Schriftstellerin und Filmemacherin. Als Autorin veröffentliche Beatrice Michel die beiden Bücher Mutterraben (1980) und Der Kelim (1995). Mitglied des Filmkollektivs Zürich. Ab 1985 enge Zusammenarbeit mit ihrem Lebenspartner, dem Regisseur Hans Stürm, Realisierung von mehreren Filmprojekten. Nach dem Tod von Hans Stürm alleinige Regie des gemeinsam begonnenen Films Klingenhof (2005).

Simon, Ana

  • CHCS000196ISAAR
  • Personne
  • 1938-2018

Née en Roumanie en 1938, établie à Genève, Ana Simon est écrivain, poétesse, biographe, traductrice, metteuse en scène de théâtre, scénariste et réalisatrice. Elle est l'épouse de l'acteur François Simon (1917-1982) et belle-fille de l'acteur Michel Simon (1895-1975), auxquels elle a consacré plusieurs écrits et deux documentaires.

Katholischer Mediendienst

  • CHCS000008ISAAR
  • Collectivité
  • 1989-2014

Der Schweizerische Katholische Volksverein (SKVV) gründete 1931 eine katholische Filmkommission, mit dem Ziel, die bereits vorher bestehenden einzelnen kirchlichen Initiativen besser zu koordinieren und auszubauen. In Folge der Enzykla Vigilanti cura (lat.: Mit wachsamer Sorge) im Jahre 1936, in der Papst Pius XI. zur Auseinandersetzung mit dem Medium Film aufrief, erfuhr die katholische Filmarbeit einen Aufschwung. Die Gründung einer zentralen Stelle, des späteren Filmbüros, wurde ab 1935 vorangetrieben (1935 Gründung einer Film-Pressestelle, 1938 Filmbüro des SKVV in Luzern, ab 1942 Filmbüro in Zürich). Das Filmbüro in Zürich entwickelte sich aus den filmpublizistischen Tätigkeiten der Kirche, ab 1941 war dies die Zeitschrift Der Filmberater. Als Leiter des Filmbüros und Filmbeauftragte wirkten Charles Reinert (1942-1961), Stefan Bamberger (1962-1966), Franz Ulrich (1966-1970) und Ambros Eichenberger (1970-1994). Parallel zur filmpublizistischen Tätigkeit legte das Filmbüro eine Bibliothek und umfassende, bis in die 1930er Jahre zurückreichende Dokumentation an, war beratend tätig, koordinierte kirchliche Aktivitäten in der Filmarbeit, der Filmförderung u.a. Die Bereiche Filmpublizistik und -dokumentation wurden sukzessive mit ihren evangelischen Pendants fusioniert und als ökumenische Projekte weitergeführt. Der Filmberater wurde 1973 zum ZOOM-Filmberater, 1992 wurde die von der evangelischen Kirche gesammelte Dokumentation in die Bestände in Zürich integriert und gemeinsam als ZOOM Dokumentation für Film weitergeführt. Die Zeitschrift wurde 1999 eingestellt, die Dokumentation 2002 in die Cinémathèque suisse integriert.
Bis 1987 war der Rechtsträger des Filmbüros die SKVV, später der Verein Katholische Medienarbeit, ab 1989 der Verein katholischer Mediendienst. Heutiger Nachfolger ist der 2014 gebildete Verein Katholisches Medienzentrum.

Reinert, Charles

  • CHCS000185ISAAR
  • Personne
  • 1899-1963

Charles Reinert (geb. 1. August 1899 in Basel; gest. 9. Oktober 1963 in Fribourg), Schweizer Jesuit und Filmpublizist. Reinert war der Sohn einer waadtländischen Mutter, ist aber in Basel geboren und aufgewachsen. Hier begegnete er dem Jesuitenpater Joseph Alexis Joye (Abbé Joye, 1852–1919), der zum Leitbild seiner eigenen späteren Tätigkeit wurde. Joye setzte sich im Rahmen des von ihm 1906 gegründeten Borromeum dafür ein, den Film im Religionsunterricht für die Jugend- und Erwachsenenbildung zu verwenden und hinterliess eine bedeutende Sammlung von rund 2'000 Filmen aus der Zeit nach der Jahrhundertwende. Reinert besuchte das Gymnasium im Benediktinerkloster Einsiedeln, wo er durch seinen Onkel, Pater Johann Chrysostomus Reinert, seine religiöse Prägung erhielt. Nach der Matura 1920 machte er das Noviziat bei den Jesuiten in Feldkirch (Voralberg, Österreich). Seine weitere philosophische und theologische Ausbildung erhielt er an Ordensschulen in Deutschland, Valkenburg (NL) und im belgischen Enghien, wo französische Jesuiten eine theologische Fakultät unterhielten. 1929 wurde er zum Priester geweiht, war danach 1930 bis 1933 in der Genfer Pfarrei St. Boniface und 1937 bis 1940 in Basel am Borromäum und in der Pfarrei St. Clara tätig. 1938 begann er für das Basler Volksblatt Filmkritiken zu schreiben. 1940 wurde er ans Apologetische Institut (heute Institut für weltanschauliche Fragen) der Jesuiten in Zürich geholt. Schliesslich wurde er von der Filmkommission des Schweizerischen Katholischen Volksvereins (SKVV) in Luzern beauftragt, eine seit 1938 in Gang gekommene aktive Auseinandersetzung mit dem Film, u. a. mit der Herausgabe der Filmberichte, vollamtlich weiterzuführen. Aus diesen Anfängen entstand unter der Leitung Reinerts das Filmbüro SKVV. 1941 wurde aus den Filmberichten die 14-täglich erscheinende Zeitschrift Der Filmberater (1972 fusioniert mit der evangelischen Zeitschrift ZOOM). Damit verbunden war der Aufbau einer internationalen Filmkartothek, einer Filmbibliothek und einer umfangreichen Dokumentation zu allen Gebieten des Films. Dieses Material wurde 2002, zusammen mit der Zentralen Mediendokumentation des Evangelischen Mediendienstes, der Dokumentationsstelle Zürich der Cinémathèque suisse übergeben.
Pater Reinert war auch international äusserst aktiv und wirkte in verschiedenen Gremien, war u. a. Konsultor der päpstlichen Filmkommission, Mitglied des Internationalen Katholischen Filmbüros OCIC (Organisation internationale catholique du cinéma) in Brüssel, zeitweise auch dessen Präsident. Reinert bemühte sich, das neue Medium Film kulturell und ethisch zu fördern und mit dem katholischen Gedankengut seiner Zeit zu verbinden. Sein moralischer Einfluss auf das Schweizer Filmschaffen zur Zeit des Nationalsozialismus, des Zweiten Weltkriegs und der Nachkriegszeit bis in die 1950er Jahre war bedeutend.

ZOOM Verleih für Film und Video

  • CHCS000040ISAAR
  • Collectivité
  • 1971-2002

Die Verleihtätigkeit der evangelisch-reformierten Kirche formierte sich 1952 mit der Gründung der Verleihstelle Protestantischer Filmdienst, dem späteren Verleih ZOOM, durch den Schweizerischen Protestantischen Film- und Radioverband. Der Verleih verfolgte eine kirchlich geprägte Medien- und Bildungsarbeit und vertrieb Schmalfilmformate, ab 1974 auch Dias, Fotografie, Tonbilder, ab den 1980er Jahren auch Videoformate. Der Verleih legte von Beginn an einen Fokus auch auf Schweizer Filme. Bereits seit 1971 gab die Verleihstelle ZOOM in Zürich gemeinsam mit dem katholischen SELECTA-Verleih in Fribourg einen gemeinsamen Katalog heraus. Dieser Schmalfilmverleih war wiederum 1964 in Fribourg zur Unterstützung der Filmbildung in Jugend- und Erwachsenenorganisationen gegründet worden (Gründungsmitglieder: Franz Ulrich, Hugo Carpataux, Abbé Joseph Joye). Am 1. Januar 1991 erfolgte die Fusion zum ökumenischen Film- und Videoverleih SELECTA/ZOOM. Trägerschaft war der Verein ZOOM, der alle ökumenischen Tätigkeiten des Evangelischen und Katholischen Mediendienstes betrieb. Der Evangelische und Katholische Mediendienst führten den Verein nun gemeinsam in Zürich. Ab 1996 Verlegung nach Bern und Umbenennung zu ZOOM Verleih, analog zu den weiteren ökumenischen Projekten, der ZOOM Zeitschrift für den Film, der ZOOM Dokumentation und dem Pressedienst ZOOM Tip. Enge Zusammenarbeit mit der Filmkommission KEM (Kooperation Evangelischer Kirchen und Missionare)/HEKS (Hilfswerk der evangelischen Kirchen Schweiz)/BfB (Brot für Brüder), deren Filme via ZOOM Verleih verliehen wurden, und der Fachstelle der Filme für eine Welt. Mit der Abwicklung des Verleihbetriebes wurde ab 1. Januar 1996 das Film Institut in Bern beauftragt, das u.a. das Schweizer Schul- und Volkskino und die Schulfilmzentrale umfasste. Für den Parallelverleih und das Verleihprogramm waren aber weiterhin die Filmbeauftragten der kirchlichen Mediendienste zuständig. Nachdem das Film Institut Bern Ende 1998 seinen Film- und Videoverleih einstellte und die Zusammenarbeit mit ZOOM kündigte, wurde ab Januar 1999 der Verleih ZOOM mit der Head-Film AG in Zürich neu organisiert. Nach 2000 sukzessive Aufgabe des Filmverleihs, Verkauf der Filme an die Head-Film AG und Vertrieb durch den Medienladen. Die offizielle Übertragung der Tätigkeit des Verleihs an die Head-Film erfolgte am 1. Januar 2002, bei dieser rasch Einstellung der Tätigkeit per 2004 aufgrund des Bedeutungsverlusts von 16mm Filmkopien. Seit 2000 Fortsetzung der Tätigkeit mit dem Betrieb des Medienladens (heute Relimedia).
Die Existenzzeit ist eine Schätzung (Jahr des 1. publizierten Katalogs). Es liegt keine Gründungsurkunde vor.

Guillaume, Samuel et Frédéric

  • CHCS000201ISAAR
  • Collectivité
  • 1976-

Frères jumeaux nés à Fribourg en 1976, Samuel et Frédéric Guillaume sont des réalisateurs et producteurs suisses, actifs particulièrement dans le domaine du cinéma d'animation.

Kasics, Kaspar

  • CHCS000206ISAAR
  • Personne
  • 1952-

D'origine hongroise, Kaspar Kasics est né en 1952 à Interlaken. Il étudie la musique, la philosophie et l'allemand, puis devient producteur et réalisateur à la télévision suisse alémanique (DRS). Il réalise plusieurs films dont Peron 2 (1984), L'altro accante (1985), Jemand oder die passion zum Widerstand (1991), Le barrage (1991), Closed Country (1999), Dragan et Madlaina (2001), Sauvé (2004), No More Smoke Signals (2008). Il a fondé la société de production, location et distribution Extra Film à Zürich en 1994 (?). En 2004 est créée la société Distant Lights Filmproduktion GmbH.
D'après Histoire du cinéma suisse 1966-2000, Cinémathèque suisse, Lausanne et Editions Gilles Attinger, Hauterive, 2007, tome 2, p. 923 et https://www.swissfilms.ch/ site consulté le 6 février 2020.

Schenk, William-Edgar

  • CHCS000148ISAAR
  • Personne
  • 1921-1987

William-Edgar Schenk est né en 1921. Il suit une formation de photolithographe et devient imprimeur puis graphiste et photographe. Il s'installe à Bettens dans le canton de Vaud dans les années 1960. Il réalise des présentations audiovisuelles et des films de commande en 16 mm pour l'entreprise Rinsoz & Ormond (Vevey) et pour l'Atelier des Architectes associés sur la construction des bâtiments administratifs de la place Chauderon à Lausanne. Il tourne également des films à caractère ethnographique, parmi lesquels un documentaire sur la Côte d'Ivoire. Il documente en 8 mm la vie des villages de Bettens, Oulens, Daillens dans les années 1960. Il décède en 1987.
[Sources: mail de Michèle Dyson, fille de W.-E. Schenck, 21 juillet 2005 et fonds d'archives]

Schellenbaum, Georges

  • CHCS000205ISAAR
  • Personne
  • 1927-

Né en 1927, Georges Schellenbaum se forme comme acteur au Conservatoire de Zurich entre 1947 et 1952. Après plusieurs engagements au théâtre à Zurich, St-Gall et Coire, il entre à la Gloriafilm où il travaille comme assistant régisseur sur le tournage de Die Venus von Tivoli (Leonard Steckel, 1953) et Ueli der Knecht (Franz Schnyder, 1954). Il collabore ensuite avec la Praesens Film pour Ueli der Pächter (F. Schnyder, 1955) et d'autres fictions ainsi que de nombreux films de commande. Il est directeur de production entre autres pour Der Mustergatte (Karl Sutter, 1959) et Der Herr mit dem schwarzen Melon (K. Sutter, 1960). Dès 1962 et jusqu'en 1995, Georges Schellenbaum devient responsable de la production des films et spots publicitaires de la compagnie aérienne Swissair. Parallèlement, il travaille pour des chaînes de télévision allemandes comme la Norddeutscher Rundfunk.
En 1975 sort le film consacré au pionnier de l'aviation et de la prise de vue aérienne: Walter Mittelholzer, Ein Pionier der Zivilluftfahrt (titre alternatif : Ein Pionier der Zivilaviatik). Schellenbaum réalise avec le même Alfred Bruggmann Paris-Bâle à pied (sur l’écrivain et journaliste Arnold Kübler) en 1983. La même année il tourne le documentaire Niger-Menschen am Strom.
Sources : fonds d’archives, biographie de G. Schellenbaum ; Hervé Dumont, Histoire du cinéma suisse. Films de fiction 1896-1965, Cinémathèque suisse, Lausanne, 1987.

Van de Vyvère, Philippe

  • CHCS000149ISAAR
  • Personne
  • 1940-1998 ca

Réalisateur et producteur de cinéma et de télévision belge, il a réalisé des séries pour enfants, recourant à une technique d'animation particulière comportant des marionnettes grandeur nature. Il a également tourné des documentaires et des films de publicité. Dates d'existence approximatives. Source: documents contenus dans le fonds d'archives

Schweizerische Arbeiterbildungszentrale (SABZ)

  • CHCS000026ISAAR
  • Collectivité
  • 1912-

Centrale crée à Berne par le Parti socialiste suisse et l’Union syndicale suisse. Elle commence l'utilisation du film comme outil de formation et moyen de propagande dès les années 1920.
Sources: Giacomo Bernasconi, La centrale suisse de formation des syndicats a cinquante ans, in Revue syndicale suisse : organe de l'Union syndicale suisse, Band 54 Heft 11 Jahr 1962. http://dx.doi.org/10.5169/seals-385260 [consulté le 11.02.2020].
Films du mouvement ouvrier suisse: le fonds SABZ-CEO: http://memoriav.ch/projects/filme-zur-schweizerischen-arbeiterbewegung-der-bestand-der-sabz-cseo/ [consulté le 11.02.2020].

Piccard, Auguste

  • CHCS000156ISAAR
  • Personne
  • 1884-1962

Auguste Piccard est né à Bâle où il a fait des études de physique. Il enseigne ensuite à l'Université libre de Bruxelles. Il est l'auteur des premiers vols en ballon dans la stratosphère (1931, 1932 et 1934). Il invente le bathyscaphe (1945) qui effectue sa première plongée en 1948. Avec son fils Jacques, il met au point le sous-marin Le Trieste (1953) qui bat en 1960 le record de profondeur. Il décède à Chexbres en 1962. D'après Jean-François Rubin, "Auguste Piccard", in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 23.03.2018, url: https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/028905/2018-03-23/ et site de la Radio-Télévision suisse romande url: https://www.rts.ch/archives/dossiers/3800046-auguste-piccard-l-epopee-d-un-savant.html

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