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Normdatei

Galley, Jean-Pierre

  • CHCS000033ISAAR
  • Person
  • 1925-2003 env.

Jean-Pierre Galley est un cinéaste amateur, auteur de films documentaires en Super8 notamment sur des cantons et des villes suisses, la Belgique et l'Allemagne. Il s'est particulièrement intéressé aux bâtiments lausannois. Il est membre de ciné-clubs et participe à des concours de cinéastes amateurs, particulièrement en Allemagne (Berlin, Cologne, Duisbourg) dans les années 1980-1990. Sur le plan professionnel, il est concierge au gymnase du Belvédère à Lausanne, où il anime le département audio-visuel. Depuis sa retraite en 1990, J.-P. Galley est domicilié à Aigle jusqu'à son décès, survenu vraisemblablement fin 2003.
[source: CH CS CSL 076 Papiers Jean-Pierre Galley, boîtes 1 et 2]

Probst, Eduard

  • CHCS000034ISAAR
  • Person
  • 1906-1970

Fils d'architecte, Eduard Probst est né à Zurich. Il suit les cours de l'Ecole des arts et métiers à Zurich et à Bâle. Il fait des stages en 1924 auprès de la firme américaine Sunshine Production et des studios de l'UFA à Berlin. Il fait ses études d'architecture à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich puis travaille quelques années avec son père. Devenu en 1933 directeur de prise de vues et conseiller artistique de la firme pro-allemande Terra Film (Berlin-Zurich), Probst réalise en 1936 ses premiers courts métrages documentaires sous l'égide de la Centrale suisse du film. Il se passionne pour l'histoire et aime la montagne. Il fonde en 1938 à Zurich la société de production Probst-Film, spécialisée dans la location d'équipements techniques. L'échec de L'orage sur la montagne, film dont il avait assumé la mise en scène, le contraint à liquider son entreprise en 1944. Après la guerre, il est envoyé par le Département politique en Allemagne et en Espagne pour promouvoir la renaissance de l'industrie cinématographique. Il travaille ensuite de nouveau comme architecte et comme photographe.
D'après Michel Gautier, "Eduard Probst", in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 13.07.2010, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9219.php

Seiler, Alexander J.

  • CHCS000048ISAAR
  • Person
  • 1928-2018

Alexander J. Seiler (geb. 06.8.1928 in Zürich, gest. 11.11.2018 in Zürich), ab 1947 Studium der Germanistik, Musikwissenschaft, Kunstgeschichte, Philosophie und Theaterwissenschaft in Basel, Zürich, Paris, München und Wien, Abschluss mit einem Doktorat 1957. Tätigkeit als Kulturjournalist in Basel und Zürich. 1955 Heirat mit der Pianistin und Filmschaffenden June Kovach. Ab den 1960er Jahren war Seiler als Regisseur, Autor und Produzent tätig und prägte mit seinen oft gesellschaftpolitisch ausgerichteten Dokumentarfilmen, seiner Tätigkeit als Filmproduzent und seiner filmpolitischen Arbeit das Schweizer Filmschaffen mehrere Jahrzehnte nachhaltig. 1961 Gründung der Filmproduktion Seiler + Gnant Filmproduktion mit June Kovach und Rob Gnant, von 1972-1982 Produktionsgemeinschaft Nemo Film GmbH (mit Kurt Gloor, Markus Imhoof, Fredi Murer, Yves Yersin u.a.), 1982-2002 Zyklop Film AG.
Von 1965-70 hatte Seiler das Amt des Sekretärs des Verbands Schweizerischer Filmgestalter inne und blieb bis 1984 Vorstandsmitglied. Er war Mitbegründer des Schweizerischen Filmzentrums (heute Swiss Films) und dort von 1968-84 aktiv sowie der Solothurner Filmtage. 1969-71 Mitglied der Eidgenössischen Filmkommission, 1987-91 Mitherausgeber der Zeitschrift Einspruch. Mit dem Kurzfilm In wechselndem Gefälle gewann Seiler 1963 in Cannes die Palme d'or, 1965, 1977 und 1990 Auszeichnung mit dem Zürcher Filmpreis sowie 2014 im Rahmen des Schweizer Filmpreises mit dem Ehrenpreis.
Vgl.:Seiler, Alexander, in: Historisches Lexikon der Schweiz http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D9243.php, abgerufen am 03.2.2016, und Swiss Films http://www.swissfilms.ch/de/film_search/filmdetails/-/id_person/332, abgerufen am 08.2.2016.

Michel, Beatrice

  • CHCS000060ISAAR
  • Person
  • 1944-

Beatrice Michel (geb. 1944, Biel), Studium der Literaturwissenschaft, Romanistik und Anglistik, Promotion 1971. Von 1970-1988 Filmkritikerin und Kulturpublizistin u.a. beim Tages-Anzeiger sowie kontinuierlich freie Tätigkeit als Schriftstellerin und Filmemacherin. Als Autorin veröffentliche Beatrice Michel die beiden Bücher Mutterraben (1980) und Der Kelim (1995). Mitglied des Filmkollektivs Zürich. Ab 1985 enge Zusammenarbeit mit ihrem Lebenspartner, dem Regisseur Hans Stürm, Realisierung von mehreren Filmprojekten. Nach dem Tod von Hans Stürm alleinige Regie des gemeinsam begonnenen Films Klingenhof (2005).

Béart, André

  • CHCS000062ISAAR
  • Person
  • 1898-1978

Né en 1898, d'origine argovienne, André Béart est réalisateur à la Télévision suisse romande et comédien. Il travaille d'abord dans l'administration postale à Aigle (Vaud), ville où il monte également des spectacles amateurs. Puis il débute une carrière de comédien professionnel à Paris. Il revient en Suisse au moment de la Deuxième Guerre mondiale. Il y poursuit sa carrière de comédien et de metteur en scène. Durant la guerre, il crée une corporation des acteurs, dont il est le premier président.
A. Béart travaille également pour la radio avec son épouse Andrée Béart-Arosa. Il est l'auteur de très nombreuses oeuvres radiophoniques. Après la guerre, il devient également metteur en scène et réalisateur pour la télévision dont il peut être considéré comme un des pionniers. Il réalise notamment La fontaine d'Aréthuse et la série Simple police de S. Chevalier. Il décède le 10 avril 1978. [Source: d'après "Le théâtre romand en deuil. Mort d'André Béart" in 24 heures, 11 avril 1978]

Schwizgebel, Georges

  • CHCS000064ISAAR
  • Person
  • 1944-

Né en 1944 à Reconvillier (Berne), le suisse Georges Schwizgebel est réalisateur de films d'animation et peintre. Avec Claude Luyet et Daniel Suter, il est le co-fondateur du studio GDS
(Carouge) en 1971. Son oeuvre, d'une grande force poétique, a reçu de nombreux prix sur le plan international.

Walter, Arnold

  • CHCS000068ISAAR
  • Person
  • 1945-1999 ca

Né à Lausanne, A. Walter est un acteur de théâtre, télévision et cinéma. Il a joué sur les scènes lausannoises du Théâtre Onze et de l'Atelier Création. A l'écran, il a notamment joué dans La pomme (M. Soutter, 1968, cinéma), Le jour des noces (C. Goretta, 1971, télévision), Le temps d'un portrait (C. Goretta, 1972, télévision), Le grand soir (F. Reusser, 1976, cinéma). L'acteur était surnommé Noldi, entre autres par M. Leiser, lequel en dresse un bref portrait dans un interview réalisé par l'Université de Lausanne (L. Gogniat) en 2011 http://wp.unil.ch/cinememoire/files/2012/08/Transcription_Leiser.pdf [consulté le 16 septembre 2015]. Voir aussi la brève nécrologie dans 24 heures, 14 août 1999.

Rozier, Jacques

  • CHCS000090ISAAR
  • Person
  • 1926-

Réalisateur français

Porchet, Adrien

  • CHCS000077ISAAR
  • Person
  • 1907-2008

Adrien Porchet, fils du réalisateur Arthur-Adrien, est né le 14 octobre 1907 à Genève. Il épouse en 1933 Carmen Torres et en 1949 Andrée Monod. Il suit un apprentissage de photographe à Montana (1925-1926), puis au studio cinématographique AAP. Il devient assistant opérateur, notamment chez Orphea Film pour Maurice Forster, qu'il suit à Paris et en Espagne. A Barcelone (1931-1938), Adrien Porchet réalise des reportages sur le front d'Aragon pour le syndicat Confederación Nacional del Trabajo ainsi que des films documentaires et de propagande (1936-1937). Durant la Deuxième Guerre mondiale, il travaille comme caméraman pour différentes maisons de production suisses, puis de plus en plus souvent comme producteur de films de commande, à Lausanne chez Scientifilm et Gamma Film notamment (1941-1945).
Adrien Porchet est cofondateur d'Actua Films à Genève (1953). Dès 1965, il travaille comme indépendant pour des organisations internationales, la Télévision suisse et des émetteurs étrangers. Adrien Porchet déède le 2 juin 2008 à Vevey.
[D’après M. Gauthier, « Porchet, Adrien » in Dictionnaire historique de la suisse, url: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9217.php, version du 15 mars 201]. Voir également Cosandey,R., «L'activité cinématographique en Suisse romande 1919-1939», in 19-39, la Suisse romande entre les deux guerres, 1986, p.237-271].

Dimitriu, Christian

  • CHCS000100ISAAR
  • Person
  • 1945-2016

Né en 1945, Christian Dimitriu a grandi à Buenos Aires. Après son lycée, il vient étudier à l’Université de Lausanne en 1964 où il obtient d’abord une licence en économie en 1968. Il s’intéresse ensuite aux sciences sociales (et au cinéma), anime un ciné-club universitaire à Lausanne, tourne son premier reportage et fréquente les festivals – Cannes notamment. Après un interlude de cinq ans en Argentine, il revient à Lausanne, achève ses études en cinéma et sciences sociales en 1976 et développe une recherche pour le journal La Suisse en 1980.
Alors que la Cinémathèque suisse s’installe au Casino de Montbenon, en 1981, il est engagé par Freddy Buache, avec lequel il va collaborer pendant onze ans. D’abord assistant de Buache, puis directeur adjoint de l’institution à partir de 1983, il va contribuer au développement toujours plus important de l’institution qui, dans ses nouveaux murs, trouve un nouveau souffle.
Il dirige notamment la publication du bulletin qui informe sur la programmation quotidienne ou le premier tome de la monumentale Histoire du cinéma suisse (1896-1965) écrite par Hervé Dumont, éditée en français et en allemand, pour laquelle il recherche et trouve de nombreux financements. Il fait œuvre de pionnier en mettant aussi sur pied un séminaire sur la restauration de films, alors que ce type de problématique n’est pas encore vraiment dans l’air du temps.
Il signe également, en 1985, la première (et toujours unique!) monographie en français sur l’œuvre d'Alain Tanner aux éditions Henry Veyrier, régulièrement rééditée, puis traduite et complétée en espagnol en 1993 aux éditions Cátedra. Il écrit aussi, deux ans plus tard, pour le compte du Festival de Fribourg, L'Argentine et son cinéma, aux Editions du Festival de Films du Tiers-Monde.
Dans le cadre de ses fonctions à la Cinémathèque suisse, il est nommé en 1984 au comité du Centre suisse du Cinéma, à la Commission artistique du Festival du film de Locarno et voyage pour le compte de Pro Helvetia au Mexique, en Inde et en Europe. Il participe également aux congrès annuels de la Fédération internationale des Archives du Film (FIAF). En 1989, il est élu au comité exécutif de la fédération, et en devient vice-président en 1991.
Après avoir quitté la Cinémathèque suisse, en 1992, il effectue plusieurs missions pour l’UNESCO dans plusieurs pays d’Afrique et d’Amérique latine où il aide à l’implémentation de politiques de préservation du patrimoine audiovisuel. Il est également nommé conseiller culturel pour le Forum de la Kunst- und Ausstellungshalle de la République fédérale allemande à Bonn. En 1995, il est engagé comme administrateur délégué de la FIAF à Bruxelles, poste qu’il occupera jusqu’à sa retraite en 2011. En 2012, durant l'Assemblée générale qui s’est déroulée à Beijing, il est élu membre Honoraire de la FIAF. La standing ovation qui a suivi cette élection a démontré, si besoin était, combien Christian Dimitriu était apprécié des membres de la communauté internationale des archives cinématographiques. A la fois roumain et argentin, cet infatigable voyageur, cinéphile polyglotte à l’entregent communicatif, a en effet beaucoup œuvré pour promouvoir et défendre la mémoire du cinéma. [Il est décédé le 10 avril 2016].

Extrait de : Frédéric Maire (directeur de la Cinémathèque suisse) et Christophe Dupin (administrateur délégué de la FIAF), Décès de Christian Dimitriu, article publié sur le site de la Cinémathèque suisse, 12 avril 2016 (http://www.cinematheque.ch/actualites/article/deces-de-christian-dimitriu/) consulté le 10 avril 2017.

Soutter, Michel

  • CHCS000106ISAAR
  • Person
  • 1932-1991

Originaire de Morges et d'ascendance russe du côté de son père, Michel Soutter est né le 2 juin 1932 à Genève. Après avoir abandonné ses études au collège Calvin à Genève, il exerce divers métiers (chanteur de cabaret, peintre en bâtiment) à Genève et à Paris. En 1960, sa rencontre avec Alain Tanner, qui lui fait découvrir la télévision et le cinéma, est décisive. Il entre à la Télévision suisse romande comme assistant-réalisateur de Jean-Jacques Lagrange et de Claude Goretta. En 1964, il est nommé réalisateur. Il collabore à des émissions comme Continents sans Visa, La Voix au chapitre ou Tell Quel. Il signe de nombreux portraits (Gustave Roud, René Char, Albert Cohen), plusieurs dramatiques (Ubu roi d'Alfred Jarry, 1976) et une série télévisée (Condorcet, 1989, sur un scénario d'Elisabeth Badinter et Pierre Barillet). Parallèlement il se lance dans une carrière de cinéaste. Initiateur du Groupe 5 (1968), il participe à ce que l'on appellera "le nouveau cinéma suisse". Ses principaux films sont La lune avec les dents, son premier long métrage chahuté au Festival de Locarno (1967), Haschich (1968), James ou pas (1970), Les arpenteurs (sélection suisse au Festival de Cannes et Grand Prix du Festival de Dinard, 1972), L'escapade, son premier film 35mm en couleurs (1974), et Signé Renart, son dernier film présenté à la Mostra de Venise (1985).
Metteur en scène, il exerce son talent au Théâtre de Carouge, au Centre dramatique de Lausanne, au Grand Théâtre et à la Comédie de Genève. Le film Repérages (1977), histoire d'un cinéaste qui travaille à l'adaptation des Trois soeurs d'Anton Tchekov, s'appuie sur l'expérience théâtrale de Soutter. On lui doit également un recueil de poèmes, Pays d'enfance, et des pièces de théâtre comme A propos d'Elvire, Les nénuphars ou Ce Schubert qui décoiffe.
En 1965 il épouse Andrienne Perrot, biologiste, avec qui il aura deux fils, Simon et Constantin. Il décède le 9 septembre 1991 à Genève.
D'après B. Gasser, Michel Soutter, in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 7.06.2013 , url http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9246.php et F. Buache, Michel Soutter, Cinémathèque suisse/L'Age d'homme, Lausanne, 2001.

Terrail, Maurice

  • CHCS000112ISAAR
  • Person
  • 1933-2014

Maurice Terrail est connu en Suisse romande comme le « Monsieur Cinéma de l’Eglise». Ce pasteur de formation est un des pionniers du « Filmarbeit » dans les Eglises. Il est convaincu que ces dernières doivent être présentes dans la société et s’exprimer dans les médias. Passionné de cinéma, il démontre que les Eglises peuvent s’exprimer de façon critique sur le septième art, tout en utilisant ce dernier comme outil de réflexion auprès des paroissiens comme d’un large public

Né en 1933 à Paris, Maurice Terrail étudie la théologie à l’Université de Lausanne. Après un bref exercice du ministère pastoral en paroisse, il dirige dès 1968 l’Office protestant du Cinéma (OPC), jusqu’à sa retraite en 1998, puis de façon intermittente jusqu’en 2000. Il débute en circulant de paroisse en paroisse, armé d’un projecteur 16mm pour présenter des films et en discuter la dimension religieuse et éthique. Le jeune pasteur traite les thèmes centraux à ses yeux que sont le respect de la dignité humaine et la tolérance. En parallèle, il donne des cours de culture chrétienne au collège et y parle de cinéma.

En 1966, M. Terrail fonde le Cercle d’Etudes cinématographiques, qui organise des cycles de projections thématiques dans le canton de Vaud. En 1981, il crée Ciné-Feuilles, revue bimensuelle de critique de cinéma, œcuménique et humaniste. Dès 1980 et jusqu’à sa retraite, il est responsable des émissions religieuses à la Télévision suisse romande. M. Terrail compte aussi parmi les membres fondateurs des jurys œcuméniques des festivals de Locarno (1973) et de Cannes (1974). De 1984 à 2000, il est coordinateur délégué d’Interfilm auprès des festivals. En 2000, Interfilm récompense le fort engagement du Romand en le nommant membre d’honneur. Le 3 mai 2014, Maurice Terrail décède dans le canton de Vaud à St-Sulpice.

Pour des raisons financières, l’OPC cesse ses activités lors du départ à la retraite de M. Terrail. Quant au Cercle d’Etudes Cinématographiques et à Ciné-Feuilles, ils sont toujours actifs après son décès. Les archives de ces trois entités, toutes conservées à la Cinémathèque suisse, témoignent de l’engagement de ce passionné.

[Sources: Hodel, Hans, « Nachruf auf Maurice Terrail, Ehrenmitglied von Interfilm gestorben ». Interfilm, 10 mai 2014. URL: http://www.medienpraktisch.de/interfilm/deutsch/interfilm3852_91402.htm (consulté le 11.09.2019); Burri, Joël, « Le Monsieur Cinéma de l’Eglise n’est plus ». Protestinfo , 8 mai 2014. URL: http://protestinfo.ch/201405086913/6913-le-monsieur-cinema-de-leglise-nest-plus.html (consulté le 11.09.2019)]

Prodolliet, Ernest

  • CHCS000122ISAAR
  • Person
  • 1925-2009

Ernest Prodolliet (geb. 09.10.1925 Münsterlingen TG), Studium an den Universitäten Basel, Aberdeen und Zürich. 1953 Promotion an der Universität Zürich über das Leben und Werk des Basler Dramatikers Cäsar von Arx (1895-1949). Während den 1960er Jahren Betätigung als Pressechef in der Chemiebranche. Zwischen den 1970er und 90er Jahren Dozent für Filmgeschichte am Institut für Journalistik und Kommunikationswissenschaft der Universität Fribourg. Ab den 1960ern Veröffentlichungen diverser Filmkritiken (u. a. in der NZZ, Der Filmberater, Schweizer Rundschau). Zudem Autor verschiedener Publikationen zur Filmgeschichte wie beispielsweise Faust im Kino. Die Geschichte des Faustfilms von den Anfängen bis zur Gegenwart (1978) oder Der NS-Film in der Schweiz im Urteil der Presse 1933-1945: eine Dokumentation (1999).
Vgl. Prodolliet, Ernest bei Autorinnen und Autoren der Schweiz: https://repertoire.a-d-s.ch/edit/detail_a.php?id_autor=1433 (abgerufen am 29.05.18) und Wikipedia: https://de.wikipedia.org/wiki/Ernest_Prodolliet_(Filmwissenschaftler) (abgerufen am 29.05.18)

Ceccaroli, Eva

  • CHCS000126ISAAR
  • Person
  • 1953 - 2009

Eva Ceccaroli, de nationalité suisse et italienne, est née en 1953 à Monteciardo (Italie) et décédée en 2009 à Cully (Suisse). Après une licence en sociologie à l’Université de Lausanne (1977), elle entre en 1979 à la Télévision suisse romande (TSR) en tant que scripte. En 1985, elle devient assistante de réalisation. Cette même année, elle réalise un court métrage de fiction, Cachemire. Entre 1986 et 1990, elle élabore un projet de film de fiction, Disuniti (ou : A toi pour la vie), qui n’aboutira pas. En 1987, elle participe à la création de l’émission culturelle Viva, qu’elle présente jusqu’en 1989 et pour laquelle elle réalise des reportages. Elle travaille aussi pour les émissions Temps Présent, Tell Quel et Mise au Point. On peut citer les sujets suivants : Touche pas à mon corps (1996) et Pas de retraite pour le sexe (2000), diffusés dans Temps Présent. Epouse du réalisateur Marcel Schüpbach, avec lequel elle a longtemps collaboré au cinéma comme à la télévision, E. Ceccaroli est connue des téléspectateurs pour ses sujets de société et ses talents d’intervieweuse.

[Sources : 24 heures, 16 mars 2009. Swissfilms: Biographie d'Eva Ceccaroli, http://www.swissfilms.ch/fr/film_search/filmdetails/-/id_person/-933306248 (consulté le 24 janvier 2017). Entretien avec Marcel Schüpbach, 10 mars 2017 et Cinémathèque suisse, Fonds Eva Ceccaroli, cote CH CS CSL 089]

Delessert, Etienne

  • CHCS000139ISAAR
  • Person
  • 1941-

Né à Lausanne, Etienne Delessert entre à dix-huit ans dans l’atelier d’un graphiste de sa ville. Puis il monte à Paris où il devient directeur artistique de deux revues. Dès 1962, il vit entre Paris, New York et Lausanne et rallie l’avant-garde qui fait passer le livre d’images pour enfants par une véritable mutation. Sans fin la fête, son premier livre, paraît en 1967. Suivi en 1968 de Conte numéro 1 écrit par Eugène Ionesco, et en 1971 de Comment la souris reçoit une pierre sur la tête et découvre le monde qui, réalisé avec le psychologue Jean Piaget, témoigne d’une véritable révolution dans l’étude de la psychologie de l’enfant. De 1972 à 1984, il fonde et dirige à Lausanne avec sa première femme Anne van der Essen, l’Atelier Carabosse qui aura jusqu’à quarante collaborateurs, et crée des films d’animation, notamment pour l’émission américaine Sesame Street et la Télévision suisse avec le personnage de Yok-Yok. Il y adjoint encore la maison d’édition Tournesol. En 1985, il part s’établir dans le Connecticut (USA) avec sa seconde femme Rita Marshall, graphiste. Leur fils Adrien naît en 1988. Il travaille dès lors en artiste indépendant et collabore avec le New York Times, Time Magazine, Le Monde et The Atlantic. Dès 1975, de nombreuses expositions lui sont consacrées de part et d’autre de l’Atlantique. Ses plus de huitante livres – certains traduits en quinze langues – lui ont valu de recevoir en 1967, 1980 et 1989 le Premio grafico fiera di Bologna, en 1976 le Prix européen du meilleur livre pour enfants, en 1979 le Prix BIB de la Biennale de l’Illustration de Bratislava, en 1991 le Prix Octogone d’honneur (F) pour l’ensemble de son œuvre, en 1993 le Prix du meilleur livre de l’année aux USA, et de 1967 à 2005 dix médailles d’or et neuf d’argent pour la meilleure illustration de l’année aux Etats-Unis.
[D'après J. Jaunin, "Etienne Delessert", in SIKART Dictionnaire sur l'art en Suisse, 2006, URL: https://recherche.sik-isea.ch/sik:person-4000272/in/sikart, consulté le 21.04.2023]

Dietrich, Erwin C.

  • CHCS000140ISAAR
  • Person
  • 1930-2018

Réalisateur, producteur et distributeur suisse, notamment directeur de la société Elite Film AG.

Leippert, Charles

  • CHCS000143ISAAR
  • Person
  • 1931-2014

Né le 25 septembre 1931 et décédé le 7 mai 2014, Charles Leippert (dit Charlie ou Charly) est membre de la Filmgilde de Soleure (FGS) puis membre fondateur des Journées cinématographiques de Soleure (Solothurner Filmtage), membre du comité directeur (Geschäfstleitung) de Société suisse des Journées cinématographiques de Soleure (SSJS). Il est demeuré très actif jusque dans les années 2000 et ses archives concernant les SFT ont été jointes au fonds de ces dernières.

Van de Vyvère, Philippe

  • CHCS000149ISAAR
  • Person
  • 1940-1998 ca

Réalisateur et producteur de cinéma et de télévision belge, il a réalisé des séries pour enfants, recourant à une technique d'animation particulière comportant des marionnettes grandeur nature. Il a également tourné des documentaires et des films de publicité. Dates d'existence approximatives. Source: documents contenus dans le fonds d'archives

Koch, Ulrike

  • CHCS000153ISAAR
  • Person
  • 1950-

Ulrike Koch (geb. 1950 Birkenfeld/Nahe) studierte Sinologie, Japanologie und Völkerkunde an der Universität Zürich sowie chinesische Literatur und Philosophie an der Beijing Universität. Als Casting Director arbeitete sie bei „Der letzte Kaiser“ von Bernardo Bertolucci und „Urga“ von Nikita Mikhalkov. 1995 realisierte sie ihren ersten Dokumentarfilm zum Thema des Qigong in China. Bis 2011 folgten weitere ethnografische Dokumentarfilme, die geprägt sind durch ihren akademischen Hintergrund. Ulrike Koch lebt und arbeitet als freischaffende Filmemacherin in Zollikon bei Zürich. Siehe auch : https://en.wikipedia.org/wiki/Ulrike_Koch

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