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Notice d'autorité

Ruf, Rudolf

  • CHCS000095ISAAR
  • Personne
  • 1916-2008

Rudolf Ruf est né le 13 mai 1916 à Bâle. Il étudie à l'Ecole Supérieure de Commerce de Neuchâtel, s'assurant ainsi de bonnes connaissances de la langue française. Il continue sa formation commerciale à Bâle, tout en suivant des cours d'art dramatique. Il joue d'abord dans de petits groupes de théâtre bâlois sous le nom de Karl Rudolf. Puis il joue notamment dans le cabaret Kikeriki, au Theater Basel (1969-1996), le théâtre Fauteuil (1965-1990 environ), le théâtre de la ville de Lucerne et le théâtre Neumarkt à Zurich. Il joue ses derniers rôles au sein de la Helmut Förnbacher Compagny. Durant sa longue carrière, Ruf interprète des rôles de registres très différents, dans un répertoire tant moderne que classique. Atteint d'une maladie des yeux, il doit mettre fin à cette activité.
Rudolf Ruf est également actif dans le domaine du cinéma et de la télévision. Il cumule les petits rôles dans des productions suisses et parfois allemandes ou françaises. Dans les années 1960, Ruf est notamment engagé dans des productions de Franz Schnyder pour plusieurs films issus de l'oeuvre de Jeremias Gotthelf (Gotthelf-Verfilmungen). L'acteur gère également des castings pour le cinéma et la télévision.
Il est décédé à Liestal en novembre 2008.
[source: Waldmann, Thomas, "Rudolf Ruf", in: Kotte, Andreas (éd.) Theaterlexikon der Schweiz, Chronos Verlag Zürich 2005, vol. 3, p. 1544; Basellandschaftliche Zeitung Nordschweiz / Liestal, 9 septembre 1994 et 3 novembre 2008. En ligne: http://tls.theaterwissenschaft.ch/wiki/Rudolf_Ruf (consulté le 15 juillet 2019]

Ruelle, Benoît

  • CHCS000194ISAAR
  • Personne
  • 1949 -

Né en 1949 au Havre, Benoît Ruelle fait des études de philosophie à l'Université de Rouen / Mont-Saint Aignan, puis de cinéma à l'Institut National Supérieur des Arts du Spectacle et des Techniques de Diffusion (INSAS), à Bruxelles. Il clôt cette dernière formation par un mémoire intitulé Jean Rouch ou le poète de la pensée sauvage, INSAS, Bruxelles 1974.
Il travaille ensuite comme journaliste à Radio France Internationale (RFI), ainsi que comme professeur d’histoire de l’art et d’esthétique cinématographique à l’Institut International Image et Son (3iS), à Paris. Depuis 2012, il est chargé de cours en Esthétique - Analyse de l’image dans le même institut.
(Sources : Le blog de Benoît Ruelle, https://bruelle.wordpress.com/about/. [consulté le 27.08.2019]
Ruelle, Benoît. Linkedin : https://www.linkedin.com/in/beno%C3%AEt-ruelle-1680b059/?originalSubdomain=fr ) [consulté le 27.08.2019]

Rozier, Jacques

  • CHCS000090ISAAR
  • Personne
  • 1926-

Réalisateur français

Roy, Tula

  • CHCS000249ISAAR
  • Personne
  • 1934-

Roy, Jean-Louis

  • CHCS000265ISAAR
  • Personne
  • 1938-2020

Réalisateur et scénariste de télévision

Rivaz, Dominique de

  • CHCS000209ISAAR
  • Personne
  • 1953 -

Dominique de Rivaz est née à Zurich le 6 février 1953. Elle fait des études de Lettres à l’Université de Fribourg. Elle est encore enfant lorsque son père lui offre sa première caméra, une Normal-8. En 1978, elle participe à l'émission de télévision internationale La Course autour du monde, dont le principe est de réaliser des mini reportages lors d'un voyage autour de la planète. Dominique de Rivaz s'y fait connaître. Assistante de cinéastes tels qu'Alain Tanner ou Jacqueline Veuve, puis réalisatrice, ses films sont plusieurs fois primés : Prix du court métrage du Festival International de Cinéma de Figueria da Foz pour Aélia (1985), Grand Prix du Cinéma Suisse pour Mein Name ist Bach (2005) ou encore Prix du Cinéma du Canton de Berne pour Elégie pour un phare (2014). Elle est également romancière, photographe et femme de théâtre. Dominique de Rivaz vit entre Berne et Berlin.

Source: dominiquederivaz.de [consulté le 30 septembre 2019] ; Profession : cinéaste in : La Suisse, 27 octobre 1985

Rex Film AG

  • CHCS000154ISAAR
  • Collectivité
  • 1936-1997

Société de distribution de films, basée à Zürich. Inscription au Registre du commerce cantonal le 09.03.1936 et radiation le 13.03.1997.
Son but est (d'après les statuts de 1989): "Verleih und Vertrieb sowie An- und Verkauf von Filmen aller Art, Import und Export von Filmen aus und nach allen Ländern. Die Gesellschaft kann sich auch an Unternehmungen der Filmbranche beteiligen oder selber andere Ge-schäfte im Gebiete der Filmbranche tätigen oder vermitteln".

Reusser, Francis

  • CHCS000226ISAAR
  • Personne
  • 1942-2020

Né à Vevey en 1942, Francis Reusser suit les cours de l’Ecole de photographie à Vevey puis se forme comme caméraman à la Télévision suisse romande. Il crée avec François Albera l’Atelier Cinéma/Vidéo à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Genève (future HEAD) en 1975. Le film Quatre d’entre elles, produit par Milos Films et dont il réalise le chapitre intitulé 22 ans-Patricia, reçoit une mention au Festival de Locarno en 1965. Reusser est attiré par le cinéma militant. Suivront Vive la mort (1967), présenté à Cannes (Quinzaine des Réalisateurs), Le Grand soir (1976), écrit avec Patricia Moraz et Léopard d’or à Locarno, Seuls (1981) auquel le cinéaste est particulièrement attaché, est lui aussi projeté à la Quinzaine des Réalisateurs à Cannes. Ces trois longs métrages sont tournés avec le chef-opérateur Renato Berta.
Derborence (1985) est sélectionné en compétition à Cannes et obtient le César du meilleur film francophone en 1985. Avec La loi sauvage trois ans plus tard, Reusser tente de combiner « l’aspect laboratoire de [son] travail avec la demande potentielle du public » [cité dans Ciné-Feuilles, voir référence ci-dessous]. En 1991 sort Jacques et Françoise. Il retrouve Ramuz avec La Guerre dans le Haut Pays en 1998.
Au sein du Ciné-Atelier, Francis Reusser coproduit et fait l’image de plusieurs films avec Emmanuelle de Riedmatten. Celle-ci réalise entre autres JMH, une passion (2004), une rencontre avec le producteur Jean-Marc Henchoz, Christine Aymon, un portrait (2009) et Carole Roussopoulos, une femme à la caméra (2011).
Tourné avec son fils Jean, La Séparation des traces (2018), une méditation autobiographique, sera son dernier film. Il est lauréat du Grand prix de la Fondation vaudoise pour la culture. Il s’éteint le 9 avril 2020.
C. Neeser, janvier 2021, d’après la filmographie rédigée par Francis Reusser et les articles cités ci-dessous dans Sources.

Reinhart, George

  • CHCS000198ISAAR
  • Personne
  • 1942-1997

George Reinhart est né le 25 octobre 1942 à New York dans une famille de mécènes et de négociants en coton de Winterthour, fondateurs de l'entreprise de commerce de coton Gebrüder Volkart et de la Fondation Volkart. Il est le neveu d'Oskar Reinhart, célèbre collectionneur d'art. D'abord employé dans la firme familiale, George Reinhart se consacre par la suite entièrement à ses passions, la photo et le cinéma. Cinéaste amateur dans l'adolescence, il a fréquenté l'école de photographie de New York. C'est en tant que producteur qu'il est connu dans le milieu du cinéma ; il produit notamment Das Boot ist voll, de Markus Imhoof (1981), Transatlantique, de Hans-Ulrich Schlumpf (1983), La demoiselle sauvage, de Lea Pool (1991), ou encore le documentaire Adolf Dietrich – Kunstmaler, de Friedrich Kappeler (1991). En parallèle, il rassemble une importante collection de photographies, co-fonde la maison d'édition Scalo Verlag et contribue à créer le Fotomuseum Winterthur. George Reinhart décède le 25 octobre 1997, le jour de son 55ème anniversaire.
Sources :
Reinhart, George, in: Winterthur glossar. Disponible à l'adresse : https://www.winterthur-glossar.ch/app/default/pub/fw.action/article?ce_id=270&ce_name=Person [consulté le 17 septembre 2019]. Hervé Dumont et Maria Tortajada (dir.), Histoire du cinéma suisse 1966-2000, 2007.

Reinert, Charles

  • CHCS000185ISAAR
  • Personne
  • 1899-1963

Charles Reinert (geb. 1. August 1899 in Basel; gest. 9. Oktober 1963 in Fribourg), Schweizer Jesuit und Filmpublizist. Reinert war der Sohn einer waadtländischen Mutter, ist aber in Basel geboren und aufgewachsen. Hier begegnete er dem Jesuitenpater Joseph Alexis Joye (Abbé Joye, 1852–1919), der zum Leitbild seiner eigenen späteren Tätigkeit wurde. Joye setzte sich im Rahmen des von ihm 1906 gegründeten Borromeum dafür ein, den Film im Religionsunterricht für die Jugend- und Erwachsenenbildung zu verwenden und hinterliess eine bedeutende Sammlung von rund 2'000 Filmen aus der Zeit nach der Jahrhundertwende. Reinert besuchte das Gymnasium im Benediktinerkloster Einsiedeln, wo er durch seinen Onkel, Pater Johann Chrysostomus Reinert, seine religiöse Prägung erhielt. Nach der Matura 1920 machte er das Noviziat bei den Jesuiten in Feldkirch (Voralberg, Österreich). Seine weitere philosophische und theologische Ausbildung erhielt er an Ordensschulen in Deutschland, Valkenburg (NL) und im belgischen Enghien, wo französische Jesuiten eine theologische Fakultät unterhielten. 1929 wurde er zum Priester geweiht, war danach 1930 bis 1933 in der Genfer Pfarrei St. Boniface und 1937 bis 1940 in Basel am Borromäum und in der Pfarrei St. Clara tätig. 1938 begann er für das Basler Volksblatt Filmkritiken zu schreiben. 1940 wurde er ans Apologetische Institut (heute Institut für weltanschauliche Fragen) der Jesuiten in Zürich geholt. Schliesslich wurde er von der Filmkommission des Schweizerischen Katholischen Volksvereins (SKVV) in Luzern beauftragt, eine seit 1938 in Gang gekommene aktive Auseinandersetzung mit dem Film, u. a. mit der Herausgabe der Filmberichte, vollamtlich weiterzuführen. Aus diesen Anfängen entstand unter der Leitung Reinerts das Filmbüro SKVV. 1941 wurde aus den Filmberichten die 14-täglich erscheinende Zeitschrift Der Filmberater (1972 fusioniert mit der evangelischen Zeitschrift ZOOM). Damit verbunden war der Aufbau einer internationalen Filmkartothek, einer Filmbibliothek und einer umfangreichen Dokumentation zu allen Gebieten des Films. Dieses Material wurde 2002, zusammen mit der Zentralen Mediendokumentation des Evangelischen Mediendienstes, der Dokumentationsstelle Zürich der Cinémathèque suisse übergeben.
Pater Reinert war auch international äusserst aktiv und wirkte in verschiedenen Gremien, war u. a. Konsultor der päpstlichen Filmkommission, Mitglied des Internationalen Katholischen Filmbüros OCIC (Organisation internationale catholique du cinéma) in Brüssel, zeitweise auch dessen Präsident. Reinert bemühte sich, das neue Medium Film kulturell und ethisch zu fördern und mit dem katholischen Gedankengut seiner Zeit zu verbinden. Sein moralischer Einfluss auf das Schweizer Filmschaffen zur Zeit des Nationalsozialismus, des Zweiten Weltkriegs und der Nachkriegszeit bis in die 1950er Jahre war bedeutend.

Rappit, Rémy

  • CHCS000055ISAAR
  • Personne
  • -2006

Fils d'Ami Rappit, propriétaire du Cinéma National (av. de France 58 à Lausanne), Rémy Rappit est un projectionniste et opérateur de cinéma actif dans les cantons de Vaud et de Fribourg. Il est décédé le 28 octobre 2006.

Ramseier, Rolf

  • CHCS000271ISAAR
  • Personne

Marchand d'autographes et collectionneur

Raineri, José

  • CHCS000233ISAAR
  • Personne
  • 1935-2015

Cinéaste amateur né à Estavayer-le-Lac, professionnellement actif à Bienne puis à Vevey. Projectionniste de cinéma à La Tour-de-Peilz. Son domaine de prédilection est le cinéma animalier. Il réalise ses films en tandem avec son épouse Sylvia.

Raff, Friedrich

  • CHCS000182ISAAR
  • Personne
  • 1889-1947

Friedrich Raff (geb. 25. August 1889 in Stuttgart; gest. 12. März 1947 in Zürich) war ein deutscher Schriftsteller, Journalist und Drehbuchautor. Seine berufliche Laufbahn begann er als freier Autor und Feuilletonist für die Vossische Zeitung und Die Weltbühne. Mitte der 1920er Jahre begann er Drehbücher zu schreiben. Häufig arbeitete er dabei mit dem Journalisten Julius Urgiss zusammen. Er schrieb Drehbücher für Filme wie „Die Flammen lügen“ (1926) von Carl Froelich, „Die Herrin und ihr Knecht“ (1929) von Richard Oswald, „Skandal um Eva“ (1930) von Georg Wilhelm Pabst (1930) oder „Der Stolz der 3. Kompanie“ (1931) von Fred Sauer. In vielen von Raff geschriebenen Filmen spielte der Stummfilmstar Henny Porten die Hauptrolle.
Der Machtantritt der Nationalsozialisten 1933 zwang Raff zur Emigration aus Deutschland. Er lebte mehrere Jahre an verschiedenen Orten in Westeuropa, bis er sich 1937 in Zürich niederließ. Dort arbeitete Friedrich Raff als Filmkritiker für die Neue Zürcher Zeitung und nahm zu Beginn der 1940er Jahre auch seine Tätigkeit als Drehbuchautor wieder auf.
Friedrich Raff war seit 1916 mit Fanny Elsas (1884–1966) verheiratet und somit der Schwiegersohn des Künstlers John Elsas. Friedrich Raff starb 1947 an den Folgen einer Operation.
Siehe auch: https://de.wikipedia.org/wiki/Friedrich_Raff

Pulver, Liselotte

  • CHCS000169ISAAR
  • Personne
  • 1929 -

Liselotte « Lilo » Pulver est une actrice suisse, née le 11 octobre 1929 à Berne, d’un père agronome et d’une mère chanteuse. Elle commence le théâtre à 20 ans, et le cinéma en parallèle. Sa carrière cinématographique est internationale : Allemagne (Der letzte Sommer, de Harald Braun (1954), Ich denke oft an Piroschka (1955), Dar Wirtshaus im Spessart (1955), de Kurt Hoffmann), Suisse avec Uli der Pächter (1955) de Franz Schnyder, France (Les aventures d’Arsène Lupin (1957) de Jacques Becker ou Le joueur (1958) de Claude Autan-Lara), puis les Etats-Unis avec notamment A Time to Love and a Time to Die (1958) de Douglas Sirk. Mais c’est en Allemagne surtout qu’elle est appréciée du public. En 1961, elle épouse l’acteur Helmut Schmid, dont elle aura deux enfants.
Au début des années 1980, elle s’éloigne du cinéma mais continue d’apparaître à la télévision, sans jamais abandonner le théâtre. Elle vit sur les bords du lac Léman, dans le canton de Vaud.
Sa carrière a été récompensée de multiple prix, dont plusieurs Bambi (récompense artistique allemande décernée d'abord aux acteurs et actrices, puis étendue à toutes les personnalités des médias). En 2021, elle reçoit le Prix du cinéma suisse.
(Sources : dossier documentaire DD1 ; Pulver, Liselotte, Bleib doch noch ein bisschen, 1996 ; Pulver, Corinne, Lilo meine Schwester, 1990; Gautier, Michael, "Pulver, Liselotte", in Dictionnaire historique de la suisse [version du 06.04.2010, URL https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/009220/2010-04-06/ [consulté le 25.03.2021].)

Prodolliet, Ernest

  • CHCS000122ISAAR
  • Personne
  • 1925-2009

Ernest Prodolliet (geb. 09.10.1925 Münsterlingen TG), Studium an den Universitäten Basel, Aberdeen und Zürich. 1953 Promotion an der Universität Zürich über das Leben und Werk des Basler Dramatikers Cäsar von Arx (1895-1949). Während den 1960er Jahren Betätigung als Pressechef in der Chemiebranche. Zwischen den 1970er und 90er Jahren Dozent für Filmgeschichte am Institut für Journalistik und Kommunikationswissenschaft der Universität Fribourg. Ab den 1960ern Veröffentlichungen diverser Filmkritiken (u. a. in der NZZ, Der Filmberater, Schweizer Rundschau). Zudem Autor verschiedener Publikationen zur Filmgeschichte wie beispielsweise Faust im Kino. Die Geschichte des Faustfilms von den Anfängen bis zur Gegenwart (1978) oder Der NS-Film in der Schweiz im Urteil der Presse 1933-1945: eine Dokumentation (1999).
Vgl. Prodolliet, Ernest bei Autorinnen und Autoren der Schweiz: https://repertoire.a-d-s.ch/edit/detail_a.php?id_autor=1433 (abgerufen am 29.05.18) und Wikipedia: https://de.wikipedia.org/wiki/Ernest_Prodolliet_(Filmwissenschaftler) (abgerufen am 29.05.18)

Probst, Eduard

  • CHCS000034ISAAR
  • Personne
  • 1906-1970

Fils d'architecte, Eduard Probst est né à Zurich. Il suit les cours de l'Ecole des arts et métiers à Zurich et à Bâle. Il fait des stages en 1924 auprès de la firme américaine Sunshine Production et des studios de l'UFA à Berlin. Il fait ses études d'architecture à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich puis travaille quelques années avec son père. Devenu en 1933 directeur de prise de vues et conseiller artistique de la firme pro-allemande Terra Film (Berlin-Zurich), Probst réalise en 1936 ses premiers courts métrages documentaires sous l'égide de la Centrale suisse du film. Il se passionne pour l'histoire et aime la montagne. Il fonde en 1938 à Zurich la société de production Probst-Film, spécialisée dans la location d'équipements techniques. L'échec de L'orage sur la montagne, film dont il avait assumé la mise en scène, le contraint à liquider son entreprise en 1944. Après la guerre, il est envoyé par le Département politique en Allemagne et en Espagne pour promouvoir la renaissance de l'industrie cinématographique. Il travaille ensuite de nouveau comme architecte et comme photographe.
D'après Michel Gautier, "Eduard Probst", in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 13.07.2010, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9219.php

Pro Helvetia

  • CHCS000299ISAAR
  • Collectivité
  • 1939-

Pro Helvetia ist eine öffentlich-rechtliche Stiftung, welche Schweizer Kunst und Kultur unterstützt und verbreitet. Als Förderinstitution der Schweizerischen Eidgenossenschaft ist sie für die Promotion und Verbreitung von Schweizer Kultur im Ausland sowie für Schweizer Länderauftritte an internationalen, kulturellen Grossanlässen zuständig. Zudem fördert sie den kulturellen Dialog zwischen den Landesteilen und unterstützt die Künste im überregionalen Kontext.

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