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Notice d'autorité

Association des producteurs suisses de films (APSF)

  • CHCS000155ISAAR
  • Collectivité
  • 1934-

Association fondée lors de l'assemblée générale constitutive du 13 juillet 1934 à Berne et régie par les articles 60 et suivants du code civil. En 1935, Albert Masnata (Lausanne, Office suisse d'Expansion Commerciale - OSEC) est président du comité et Hermann Frey (Soleure) secrétaire. Cinégram figure parmi les premiers membres (voir liste 1937). Le but de la jeune association est d'améliorer la production et de fournir une orientation à des producteurs de films industriels.

Volpé, Edgar

  • CHCS000157ISAAR
  • Personne
  • 1924-2015

Titulaire d'une licence droit de l'Université de Genève (année universitaire 1951-1952), Edgar Volpé devient avocat au barreau de Genève puis juge au Tribunal administratif cantonal.

Schraner, Heinrich

  • CHCS000158ISAAR
  • Personne
  • 1885-1966

Originaire de Wil (Argovie), Heinrich Schraner est né à Zurich. Il devient guide de montagne. Il pratique le cinéma amateur et donne de nombreuses conférences-projections de ses films entre 1920 et 1950. Il est décédé à Zurich en 1966.

Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband (SLV)

  • CHCS000028ISAAR
  • Collectivité
  • 1915-

Association constituée le 15 février 1915 à Zürich et régie par l'art. 60 du code civil. Elle est fondée sous le nom de Verband der Interessenten im Kinematographischen Gewerbe der Schweiz - l'Union des Intéressés de la cinématographie en Suisse avec siège à Zürich. Elle regroupe des exploitants de salle de cinéma, au moment où celles-ci commencent à s'ouvrir en Suisse.
En juin 1917, le nom de Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband (SLV) est adopté. En 1928, les cinémas romands font scission et fondent l'Association cinématographique Suisse romande (ACSR). L'association se nomme dès lors Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband deutsche und italienische Schweiz. En 1988, les associations alémanico-tessinoise et romande fusionnent et fondent le Schweizerischer Kino-Verband (SKV) - Association Cinématographique Suisse (ACS).

Ansorge, Ernest

  • CHCS000009ISAAR
  • Personne
  • 1925-2013

Ernest Ansorge est né le 28 février 1925 à Lausanne. Son père y exerce la profession d' hôtelier. Il épouse en 1952 Gisèle Dietrich. Ingénieur-mécanicien diplômé de l'EPUL (ancien nom de l'EPFL, 1951), il travaille chez Escher-Wyss à Zurich (1952-1958) qu'il quitte pour créer Nag-Film à Etagnières. Cofondateur du Groupement suisse du film d'animation (GSFA, 1968), dont il fut secrétaire et président, il est également membre de la commission fédérale du cinéma (1977-1984), cofondateur et réalisateur de l'Association Plans-Fixes (1979), membre du comité de la Fondation vaudoise pour le cinéma (1986). Dès 1958, Ansorge réalise, avec sa femme, des films d'animation, dont Les Corbeaux (1967), Fantasmatic (1969, prix ex-aequo du Festival du film de Locarno), Smile 1+2+3 (1976) et Sabbat (1990). il crée un atelier de réalisation de films à l'hôpital psychiatrique de Cery (1962-1981). Il est nommé vice-président de l'Association romande des communautés Emmaüs (1989).
Ernest Ansoge est décédé le 26 décembre 2013 à Lausanne.
D'après R. Cosandey, "Ansorge, Ernest" in Dictionnaire historique de la Suisse (DHS), version du 11.3.2014, url http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F9128.php

Steiger, Emile

  • CHCS000094ISAAR
  • Personne
  • 1935-2012

Fils de M. Steiger, entreprise Steiger SA, Atelier de galvano-technique, Vevey, Emile Steiger est un cinéaste et technicien du son établi à Blonay.
Il monte avec Michel Desfayes, ornithologue et photographe, (Washington), René Baumann, ornithologue (Corseaux), Uwe Goepel, taxidermiste (Zurich), une expédition en Ethiopie (1971) dans le but d'observer l'avifaune.
En 1976, il accompagne le sculpteur André Bucher sur les flancs de l'Etna, où l'artiste entreprend de créer ses oeuvres à partir de la lave en fusion.

Citel Films Distribution S.A.

  • CHCS000163ISAAR
  • Collectivité
  • 1978-1998

Société de distribution de films, créée en parallèle de la société Citel Productions S.A. en 1978. Le but de cette séparation était de dissocier les risques de la production de ceux de la distribution. Citel Productions S.A. a été fondée en 1976 par Yves Peyrot. En 1980, Citel Distribution S.A. a été partiellement repris par la société Sonor S.A., groupe de presse possédant entres autres le journal La Suisse. La faillite de Sonor S.A. en 1999 a entrainé celle de Citel Distribution S.A., clôturée en 1998. [Source : entretien avec Yves Peyrot, par Laurence Gogniat et Marthe Porret, in: Cinémémoire.ch, 12.11.201, http://wp.unil.ch/cinememoire/files/2012/08/Transcription_Peyrot.pdf ; Registre du commerce du canton de Genève ; Que se passe-t-il chez Citel, in: Cinébulletin, mai 1987.]

Neue Cactus Film AG

  • CHCS000167ISAAR
  • Collectivité
  • 1989-2003

Société de production et de distribution de films, basée à Zurich, dissoute en 1999, en liquidation en 2003. Le président du conseil d’administration fut Donat Keutsch.

Cactus Film AG

  • CHCS000151ISAAR
  • Collectivité
  • 1979-1999

Société de production et de distribution de films basée à Zürich. Elle est fondée en mars 1979 par cinq collaborateurs issus de la société Filmkollektiv Zürich. Donat Keusch (né en 1948) est membre fondateur, actionnaire principal et président du Conseil d’administration. La société produit ou co-produit des films suisses ainsi que de films d'autres continents: Yol, la permission (réalisateur turc Yilmaz Güney, 1982), Genesis (réalisateur indien Mrinal Sen, 1986), Trahir (réalisateur roumain Radu Mihaileanu, 1992). Cactus contribue largement à la diffusion de films d'auteur et de pays en voie de développement, souvent politiquement engagés [Sources: registre du commerce du canton de Zürich; "Cactus: 'Wir haben in der dritten Welt einen guten Ruf'", in: Tell, n. 6, 19 mars 1982, p.18-19; Cinémathèque suisse, fonds d'archives Cactus Film AG, cote CSL 023].

Graphoson, studio évangélique, sonorisation et enregistrement

  • CHCS000164ISAAR
  • Collectivité
  • 1960-1997

Le studio Graphoson, studio évangélique, sonorisation et enregistrement, est créé en 1958 à Vennes-sur-Lausanne, par Daniel de Benoît. Ce dernier décède brutalement en 1959. Le studio est alors repris par sa veuve, Raymonde de Benoît, et l’un de ses proches collaborateurs, Jacques Bataillard. Avec quelques autres personnes, ils forment en 1960 l’Association Graphoson et poursuivent, puis élargissent les activités du studio Graphoson. Leur objectif est d’utiliser les moyens de la technique moderne pour l’évangélisation, « notamment dans les domaines du cinéma (sonorisation de films évangéliques en langue française) et de l’imprimerie. » (Source : Aux amis et connaissances de notre regretté frère Daniel de Benoît, boîte 6.) En 1964, ils s’installent dans des studios professionnels construits à cet usage, toujours à Vennes. (Source : projet et convention, boîte 6)
Son activité consiste essentiellement au sous-titrage en français de films à caractère chrétien évangélique. L’Association Graphoson poursuit ses activités jusqu’en 1997, puis se dissout. Raymonde de Benoît, en tant que conseillère, et Jacques Bataillard, en tant que président, demeurent aux commandes jusqu’à cette date. (Source : procès-verbaux du comité, boîte 6)

Cinéforom, fondation romande pour le cinéma

  • CHCS000165ISAAR
  • Collectivité
  • 2011 -

La fondation Cinéforom a été fondée en 2011 par les cantons de Fribourg, Genève, Jura, Neuchâtel, Valais et Vaud, et les villes de Genève et de Lausanne, avec pour but « d’encourager et de renforcer la création cinématographique et audiovisuelle, professionnelle et indépendante dans les cantons de Suisse romande. » Elle accorde des soutiens financiers à des projets ou à des entreprises de production par divers moyen: des aides sélectives, choisies sur dossier quatre fois par année par une commission formée de professionnels du cinéma; des aides complémentaires à des productions d’initiatives nationales; des primes de développement. (Sources : site internet cineforom.ch, consulté le 30 avril 2019 ; Statuts de la Fondation romande pour le cinéma)

Les productions JMH S.A.

  • CHCS000168ISAAR
  • Collectivité
  • 1982 -

Les Productions JMH SA ont été fondées en 1982 par Jean-Marc Henchoz (jusque là fromager et homme à tout faire au Théâtre populaire romand), pour produire le film Polenta de Maya Simon. Il produit plusieurs films à succès du cinéma suisse : Derborence de Francis Reusser en 1985, Si le soleil ne revenait pas de Claude Goretta en 1987, et co-produit Microcosmos Claude Nurisdany et Marie Pérennou en 1997. En 1995, dans le but l’élargir son activité, il fonde également JMH Distributions. Après sa retraite, Jean-Marc Henchoz confie les productions JMH SA à son fils Matthieu, mais produit encore Titeuf, le film en 2011. Il décède en 2012 des suites d’une opération du coeur. Les productions JMH SA poursuivent leur activité, toujours dirigées par Matthieu Henchoz. (Source : Duplan, Antoine : Jean-Marc Henchoz, poète et paysan (2012). In: Le Temps, 11 novembre 2012 ; site internet www.jmhsa.ch, consulté le 30 avril 2019  ; Lassueur, Yves : Entre l’art et le fromage (1983), In : L’Hebdo, 5 mai 1983.)

Association cinématographique Suisse romande (ACSR)

  • CHCS000113ISAAR
  • Collectivité
  • 1929-1989

Association fondée à Genève en 1929, issue d’une scission de cinquante membres romands de l’Association Cinématographique suisse (ACS) ou Schweizerischer Lichtspieltheater-Verband (SLV). Le siège de la nouvelle association est rapidement transféré à Lausanne. Ses premiers présidents sont Georges Hipleh (1928-1929), Charles Brönimann (1929) et Edmond Martin (1929-1948). Les membres sont des exploitants de salle de cinéma. Leur association a pour but « de grouper les propriétaires et directeurs de cinéma, de protéger l'exploitation cinématographique en Suisse romande, de défendre les intérêts matériels et moraux de l'Association et de ses membres, et de développer des relations amicales et de bonne confraternité entre eux » (Statuts, projet définitif du 20 novembre 1931, art. 2, Cinémathèque suisse, Fonds ACSR, cote CH CS CSL 002 Al/2). 75 salles sont affiliées en 1930 et 143 en 1936. L’association œuvre pour la défense des intérêts de leurs exploitants, comme en témoignent les actions énumérées ci-dessous.

En 1932, l’ACSR et l'Association des loueurs de films en Suisse (ALS, ou Genossenschaft Schweizerischer Filmverleiher) signent une importante convention, fréquemment renouvelée. Elle stipule que les cinémas appartenant à l’ACSR ne peuvent louer des films qu’auprès de distributeurs membres de l’ALS, et que ces derniers ont l’interdiction de louer des films à des cinémas non-membres de l’ACSR. Cette dernière entend ainsi limiter la concurrence, que ce soit celle de cinémas occasionnels ou de nouvelles salles.

L’ACSR observe de près l’élaboration des législations cantonales sur le cinéma. Elle participe aux travaux qui mènent à la création de la Chambre suisse du cinéma en 1938. Elle collabore à l’élaboration de la nouvelle Loi sur le droit d’auteur de 1940, au terme de laquelle la Société suisse des auteurs et des éditeurs (SUISA) se voit octroyer le monopole de la perception et de la répartition des droits.

En 1947, l’association entreprend de réglementer la formation professionnelle des opérateurs et d'instituer un examen de maîtrise. En 1952, un accord conclu avec la Cinémathèque suisse stipule que cette dernière ne peut louer des films pour des séances commerciales. En 1954, une convention avec la télévision (SSR) restreint la diffusion par cette dernière de films dits « spectaculaires » (soit les films de fiction). En 1955, l’ACSR et son partenaire le SLV fondent l’Union des Associations cinématographiques suisses (UACS) dont un des buts est la lutte contre les taux jugés abusifs de location des films. De 1975 à 1989, l’ACSR publie le Bulletin de l'Association cinématographique Suisse romande.

En 1988, l’ALS (SLV) révise considérablement ses statuts et devient le Schweizerischer Kino-Verband (SKV). L’année suivante, elle fusionne avec l'ACSR. Leur objectif est d’unir leurs forces face à la Confédération et aux grands distributeurs par le biais d’une association cinématographique sur le plan national, avec siège à Berne: l'Association Cinématographique suisse (ACS) - Schweizerischer Kino-Verband (SKV) - Associazione svizzera del Cinema (ASC). Sise aujourd’hui à Zürich, l’ACS est toujours en activité.

Goël, Véronique

  • CHCS000171ISAAR
  • Personne
  • 1951 -

Véronique Goël naît le 21 septembre 1951 à Rolle, en Suisse. D’abord couturière, puis styliste indépendante, elle reprend par la suite des études de peinture et de gravure à l'École cantonale d’arts de Lausanne (ECAL) et de cinéma à l’École supérieure d’arts visuels (ESAV) à Genève. En 1974, après avoir assisté à une rétrospective de Jean-Marie Straub et Danièle Huillet à la Cinémathèque suisse, elle s’oriente définitivement vers la vidéo. Elle réalise une vingtaine de films.
De 1982 à 1989, elle vit avec le cinéaste expérimentaliste Stephen Dwoskin, à Londres, et travaille avec lui. Elle fait de nombreux séjours dans divers pays (New-York, Berlin, Afrique du Nord…) et une résidence d’artiste à Barcelone en 2006.
Véronique Goël vit et travaille à Genève.
(Source : Swissfilms, Véronique Goël, consulté le 14 mai 2019 ; site internet www.veronique-goel.net, consulté le 14 mai 2019)

Association suisse des scénaristes et réalisateurs de films (ARF)

  • CHCS000172ISAAR
  • Collectivité
  • 1962 -

L’Association des réalisateurs de films, en allemand Verband Schweizerischer Filmgestalter, est créée à Genève, le 9 octobre 1962, par plusieurs réalisateurs suisses, à l’origine surtout suisses romands. Les membres fondateurs sont Alain Tanner, Henry Brandt, Claude Goretta, Jean-Louis Roy, Jean-Jacques Lagrange, Herbert E. Meyer, François Bardet et Walter Marti. De caractère exclusif, l’association n’admettait en son sein que les réalisateurs « portés par une écriture personnelle et dont le travail témoigne d’une volonté d’expression cinématographique » (Au milieu du temps, 2014), et défendait le cinéma d’auteur. Être admis à l’ARF devait être la reconnaissance d’une véritable démarche artistique. Aujourd’hui encore, elle promeut le développement d’un cinéma authentiquement suisse et défend les intérêts artistiques et professionnels de ses membres.
En 1965, le secrétariat déménage à Zürich et l’association s’ouvre d’avantage sur la Suisse alémanique, récoltant de nouvelles adhésions.
En 1996, l’association change de nom et devient l’Association suisse des scénaristes et réalisateurs de films, en allemand Verband Filmregie und Drehbuch Schweiz (ARF/FDS), intégrant par là les scénaristes parmi les auteurs de cinéma.

Dora, Max

  • CHCS000173ISAAR
  • Personne

Dériaz, Philippe

  • CHCS000166ISAAR
  • Personne
  • 1930-

Né en 1930 à Genève, Philippe Dériaz décroche un diplôme d’ingénieur à l’EPFZ en 1954. Pendant ses études, il se consacre aux clubs de théâtre et de cinéma. Dès 1955, il collabore irrégulièrement à plusieurs publications romandes sur des sujets culturels, et pour des critiques théâtrales et cinématographiques. En parallèle, il se consacre principalement à la pratique, à Genève et à Zürich, et surtout en Allemagne, où il vit dès 1964. Il met en scène des pièces de théâtre, réalise et parfois écrit de nombreux films de commande, pour l’industrie ou les instances officielles. Il travaille notamment avec la Praesens Film. Il lui arrive de jouer des petits rôles. Il enseigne également l’histoire et l’esthétique du cinéma d’entreprise à l’Académie de cinéma de Bade-Wurtemberg. Depuis 2001, de retour à Genève, il se consacre essentiellement à des activités journalistiques. (Source : CV fourni par Philippe Dériaz, 2017 ; CinémAction n°135, Du film scientifique et technique, 2010.)

Gloriafilm AG

  • CHCS000176ISAAR
  • Collectivité
  • 1940-2006

La société Gloriafilm AG est fondée en novembre 1940 à Zurich, avec un capital de 50’000 CHF dans le but de promouvoir un cinéma national de qualité. La direction est partagée entre l’Allemand Gunther Stapenhorst et le Bernois Heinrich Fueter. Entre 1947 et 1959, c’est le Bâlois Max Dora qui prend les commandes. Les productions de la Gloria connaissent d’abord un certain succès ; mais en 1962, l’échec commercial du coûteux Der 42. Himmel, de Kurt Früh, mène la société vers des difficultés financières dont elle ne se remettra pas. Max Dora entre au conseil d’administration de la Praesens et, après l’échec de Im Parterre Links du même Früh, en 1963, cantonne la Gloria à quelques films publicitaires pour la décennie qui suit. La production cesse définitivement en 1973, et la société est radiée du registre du commerce en 2006.
(Sources : Dumont : Histoire du cinéma Suisse, 1987 ; registre du commerce du canton de Zurich)

Look Now!

  • CHCS000177ISAAR
  • Collectivité
  • 1988-

Franck, Eric

  • CHCS000174ISAAR
  • Personne
  • 1935 -

Eric Franck naît en 1935 de Louis Franck, banquier belge, et de sa femme Evelyn, d’origine anglaise. Il fait ses études en internat en Suisse, puis à Harvard, aux États-Unis. Galeriste et collectionneur d’art, notamment de photographie, il est le frère et le beau-frère du couple de photographes formé par Martine Franck et Henri Cartier-Bresson. Il s’intéresse également au cinéma et produit plusieurs films. En 1963, son premier film est Paris vu par…, en compagnie de Barber Schroeder et avec des contributions de réalisateurs tels que Claude Chabrol, François Truffaut, Jean-Luc Godard et Eric Rohmer.
En 1973, il passe commande au cinéaste suisse Fredi Murer d’un film de famille, portrait de ses deux jeunes fils qu’il souhaite offrir en cadeau de mariage à ses parents. Le film, Christopher & Alexander, est projeté aux Journées de Soleure en 1974.
On lui doit aussi La Paloma (1973), Schatten der Engel (1976) et Violanta (1977) de Daniel Schmid ; Seuls (1981) de Francis Reusser ; ou encore le documentaire Koko, le gorille qui parle (1978) de Barbet Schroeder. Il produit également de nombreuses pièces de théâtre.
(Sources : Eric Franck, Martine Franck obituary in : The Guardian, 19.08.2012 ; Fonds Eric Franck ; Alexandra Schneider, « Les gestes de l’intime : Christopher & Alexander », Décadrages [En ligne], 12 | 2008, mis en ligne le 05 février 2014, consulté le 30 septembre 2016. URL : http://
decadrages.revues.org/365 ; DOI : 10.4000/decadrages.365)

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