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Notice d'autorité

Marti, Walter

  • CHCS000058ISAAR
  • Personne
  • 1923-1999

Walter Marti (geb. 10.7.1923 Zürich, gest. 21.12.1999 Zürich), Studium der Romanistik, Kunstgeschichte, Geschichte in Zürich. 1953 Gründung der Filmproduktion Teleproduction mit Reni Mertens, die bis 1999 existierte. 1962 Mitbegründung des Verbands Schweiz. Filmgestalter. Gemeinsam mit Reni Mertens Produktion und Realisierung zahlreicher Dokumentarfilme. Bedeutender Vertreter des Schweizer Dokumentarfilmschaffens und des Neuen Schweizer Film. Vgl.: Marti, Walter, in: Historisches Lexikon der Schweiz, abgerufen am 13.4.2016. URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D9208.php.

Stürm, Hans

  • CHCS000057ISAAR
  • Personne
  • 1942-2002

Hans Stürm (geb. 16.5.1942, Bischofszell, gest. 30.6.2002 , Zürich), Studium der Philosophie in Fribourg und Paris, von 1964 bis 1967 Besuch der Filmhochschule IDHEC in Paris, Abschluss mit Diplom als Kameramann. Als Kameramann und Regisseur war Hans Stürm ein wichtiger Vertreter des Neuen Schweizer Films und Gründungsmitglied des Filmkollektivs Zürich. Ab den 1970er Jahren kontinuierliches Filmschaffen im Bereich Dokumentarfilm, u.a. Zusammenarbeit mit Urs Graf, Marlies Graf Dätwyler, Alexander J. Seiler, Villi Hermann, Nina Stürm. Seine letzten drei Filme sowie das vor seinem Tod begonnene Werk Klingenhof realisierte Hans Stürm gemeinsam mit seiner Lebenspartnerin, der Autorin und Filmemacherin Beatrice Michel.

Mertens, Reni

  • CHCS000056ISAAR
  • Personne
  • 1918-2000

Reni Mertens (geb. 8.4.1918 Zürich, gest. 25.9.2000 Zürich), Studium der Romanistik in Genf und Zürich, Abschluss mit Promotion. Während der Studienzeit (ca. 1945) Initiierung eines Debattierklubs, dem u.a. Georg Lukács, Ignazio Silone, Cesare Zavattini und Bertolt Brecht angehörten. In Folge Lehr- und Übersetzungstätigkeit (u.a. Brecht und Frisch ins Italienische), Medienarbeit (Radio und Fernsehen). 1953 Gründung der Filmproduktion Teleproduction mit Walter Marti, die bis 1999 bestand. Gründungsmitglied des Verbands Schweiz. Filmgestalter. In Zusammenarbeit mit Walter Marti Realisierung von zahlreichen Dokumentarfilmen, wichtige Vertreterin des Schweizer Dokumentarfilmschaffens und Wegbereiterin des neuen Schweizer Films. Vgl.: Mertens, Reni, in: Historisches Lexikon der Schweiz, abgerufen 13.4.2016, URL: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D45182.php

Rappit, Rémy

  • CHCS000055ISAAR
  • Personne
  • -2006

Fils d'Ami Rappit, propriétaire du Cinéma National (av. de France 58 à Lausanne), Rémy Rappit est un projectionniste et opérateur de cinéma actif dans les cantons de Vaud et de Fribourg. Il est décédé le 28 octobre 2006.

Boeniger, René

  • CHCS000054ISAAR
  • Personne
  • 1916-2010

René Boeniger est né le 29 octobre 1916 à La Neuveville, canton de Berne (Suisse). Il fréquente le gymnase à Bienne où il obtient son baccalauréat en 1936. Passionné de mécanique, il construit une caméra 16 mm sonore. De 1937 à 1939, il travaille à Berlin dans I'entreprise cinématographique Tobis-Film AG et probablement à la UFA. Il est mobilisé durant la Seconde Guerre mondiale au sein du Service du Film de l'Armée (Armeefilmdienst). Il collabore en tant que caméraman, assistant-régisseur et réalisateur à une cinquantaine de sujets du Ciné-Journal suisse ainsi qu'à diverses productions de Tonfilm Frobenius (Bâle), Gloriafilm (Zurich), Markus-Film, Kern Film (Bâle) et Central-Film (Zurich). En 1947, il entre à la Condor-Film (Zurich). En 1958, il fonde avec Georges Alexath la maison de production A+B Film AG (films de commande et publicitaires). En septembre 1966 il crée Delta-Film, René Boeniger, société de production qu'il dirigera seul et dont les activités se poursuivront jusque dans les années 1990. Marié et père de deux filles, il décède le 29 octobre 2010 à Zurich

Elite Film AG

  • CHCS000053ISAAR
  • Collectivité
  • 1928-

Société fondée à Genève en 1928, transférée à Zurich en 1937, ayant pour but l'achat, la vente et l'exploitation de films en Suisse. [source: registre du commerce du canton de Zurich, consulté le 26 janvier 2016]
Entreprise familiale indépendante, Elite est en 2007 dirigée par deux co-directeurs généraux: Ralph Dietrich et Karin Dietrich. En 2005, la société est le premier distributeur indépendant de Suisse. Elle distribue principalement des productions indépendantes américaines prestigieuses souvent primées dans des festivals, ainsi que des films européens grand public d'origine britannique, italienne ou scandinave. L'Ascot Elite Entertainment Group produit également des films suisses en coopération avec des sociétés de production nationales.
Elite possède également un secteur DVD. Il vend des films acquis par Elite, ainsi que des films produits par son président, Erwin C. Dietrich. Ce dernier [1930-2018, qui acquit Elite dans les années 1970] est un pionnier très prolifique de la production [notamment de films érotiques], de la distribution et de l'exploitation de salles. [Source: Lange, André et Newman-Baudais, Susan, Les entreprises de distribution cinématographiques en Europe, Strasbourg, Observatoire européen de l'audiovisuel, 2007, p. 46]

Schaub, Martin

  • CHCS000052ISAAR
  • Personne
  • 1937-2003

Martin Schaub est né le 3 avril 1937 à Zurich et décédé dans cette même ville le 14 juin 2003, fils de Theophile, peintre et de Luzie Hedwig Magdalena, née Schmidt. Il épouse en premières noces Margrith Rufer et en seconde noces Maly Schreyer. M. Schaub étudie la littérature allemande à l'Université de Zurich, où il obtient un doctorat. Il est rédacteur de la rubrique locale et étrangère à la Neue Zürcher Zeitung (NZZ) (1963-1968), puis responsable de la rubrique "Cinéma" au Tages-Anzeiger (1968-1983 ). Co- fondateur et collaborateur du Tages-Anzeiger-Magazin, directeur de la revue Cinema. Auteur d'écrits sur la photographie et sur le cinéma, essayiste, grand défenseur du nouveau cinéma suisse (Alain Tanner, Fredi Murer, Claude Goretta), M. Schaub fut l'une des voix les plus marquantes de la critique cinématographique suisse. Prix culturel de la Ville de Zurich (2000).
D'après M. Gautier, "Martin Schaub", in Dictionnaire
historique de la Suisse (DHS), url: http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/f/F48775.php, version du 29.10.2010

Monopol-Films A.-G.

  • CHCS000051ISAAR
  • Collectivité
  • 1912-2007

Früher Filmverleih, die Geschichte des Betriebs ist nur lückenhaft überliefert. Ab den 1910er Jahren etablierte sich auch in der Schweiz das Verleihsystem als dominante Auswertungsform. 1912 gründete Lazare Burstein, der bereits vorher in St. Gallen das Kino American betrieben hatte, den späteren Filmverleih Monopol-Films A.-G. Dieser war - neben dem nur kurzzeitig von 1910-1914 existierenden Verleiher Elektrische Lichtbühne A.-G. in Zürich - der älteste unabhängige Schweizer Filmverleih. Burstein pflegte intensive Kontakte ins In- und Ausland. Monopol Films verlieh zuerst hauptsächlich Kulturfilme, später erfolgte eine Erweiterung des Programms, unter anderem mit Titeln der italienischen Produktionsfirma Cines. Ab 1921 verlieh die Firma Filme der amerikanischen Produktionsfirma Universal Pictures Corporation, die der in die USA ausgewanderte Deutschamerikaner Carl Laemmle gegründet hatte und leitete. Ab circa 1923 bis vermutlich 1937 hatte der Verleih die Exklusivvertretung der Universal Pictures in der Schweiz inne. Lazare Burstein führte den Verleih zwischen 1912 und 1926 unter verschiedenen Namen in St. Gallen und Zürich; später leitete Benjamin Kadischewitz (auch Benjamin Kady, bereits vorher Angestellter der Firma) den Betrieb bis 1950. Burstein selbst schied 1933 aus der Firma aus. Die ab 1947 tätigen Verwaltungsräte Wilhelm Meckler, Anton Kedro, Werner Gallati leiteten später den Verleih selbst. Als letzter Präsident des Verwaltungsrates bis 2007 ist Jürg Judin im Handelsregister eingetragen, Auflösung der Firma 2007, endgültige Löschung aus dem Handelsregister 2015.
Die unterschiedlichen Nennungen der Firma sind den Akten entnommen und sind zu verifizieren.

Turconi , Rolf

  • CHCS000050ISAAR
  • Personne
  • 1929-

Caméraman et réalisateur né en 1929 à Zurich, originaire de Zurich et Aeugst am Albis. Après un apprentissage (Lehre) de photographe, il étudie dans des écoles d'art et de photographie à Paris (Foto-und Kunstschulen) et se forme comme caméraman auprès de Gloria Film à Zurich. Il collabore à plusieurs films documentaires et travaille également pour Pro Juventute.
Source: curriculum vitae (Lebenslauf, 1983) conservé dans les papiers de R. Turconi, cote CH CS CSL 142-01.

Müller, Katharina Rosmarie

  • CHCS000049ISAAR
  • Personne
  • 1919-2002

Käti Müller naît Katharina Rosmarie Jost le 3 octobre à 1919 à Berne. Elle est originaire de Berne. Son père, Wilhelm Jost, naît le 22 mars 1882 à Wynigen-Häusern d’une famille d’origine paysanne. Il enseigne la physique au gymnase à Berne. En 1912-1913, il participe à l’expédition suisse au Groenland conduite par Alfred de Quervain. Avant la première guerre mondiale, W. Jost travaille à la mesure des glaciers auprès de la Société des sciences naturelles de Berne (Naturforschende Gesellschaft). Il décède le 22 janvier 1964. La mère de Käti, Hermine Spycher, originaire de Zollikofen, naît le 19 décembre 1884 et décède le 29 octobre 1931 à l’âge de 46 ans. Le frère de Käti, Res Wilhelm (Berne, 10 janvier 1918 – Zurich, 3 octobre 1990) est professeur de physique théorique à l’Ecole polytechnique de Zürich.
Käti fait sa scolarité à Berne et devient enseignante. Elle n’est âgée que de 12 ans lorsque sa mère décède. Elle souffrie beaucoup du manque d'affection maternelle et grandit dans un environnement masculin. Jeune enseignante, elle travaille à l’école en plein air d’Elfenau à Berne. Durant la seconde guerre mondiale, elle travaille comme aide au service de repérage d’avions (militärischen Hilfsdienst als Fliegerbeobachterin). En 1943-1944 [?], elle travaille pour le 'Secours aux enfants' dans la zone libre française. Elle y gère à Cruseilles un foyer pour des enfants qui sont en danger pour des raisons politiques. Lorsque l’Allemagne occupe l’ensemble de la France en novembre 1942, la jeune femme doit rentrer en Suisse. Ce retour dans le froid et la neige affecte gravement sa santé ; elle subit plusieurs opérations des reins suite à cela. Après son retour, son amitié avec son futur mari s’approfondit. A la fin de l’année 1944, Käti épouse le médecin allemand Carl Müller. En 1945 naît leur fils Christoph et en 1947 leur fille Monika. Käti Müller se consacre désormais à sa famille.
La jeune femme est intéressée par l’art et la culture. Elle prend par exemple des cours de chant, écrit et produit de petites pièces de théâtre qu’elle joue avec ses propres enfants et avec d’autres enfants et des adolescents. Elle aide à l’accueil des réfugiés à Berlin et à Vienne (Hongrie, 1956). Elle suit une formation continue en psychologie et soutient des personnes en situation de crise, particulièrement des femmes. Douée pour les langues, l’enseignante aide son mari Carl dans la rédaction de ses livres, notamment pour Jeremias Gotthelf und die Aerzte (1959).
Le réalisateur Franz Schnyder entre en contact avec Carl Müller pour le projet du film Annebäbi Jowäger. La famille Müller est invitée sur les lieux du tournage. De là vient le contact entre Käti Müller et Franz Schnyder qui conduit à leur correspondance épistolaire.
Käti décède le 14 mai 2002 à l’âge de 82 ans.

Seiler, Alexander J.

  • CHCS000048ISAAR
  • Personne
  • 1928-2018

Alexander J. Seiler (geb. 06.8.1928 in Zürich, gest. 11.11.2018 in Zürich), ab 1947 Studium der Germanistik, Musikwissenschaft, Kunstgeschichte, Philosophie und Theaterwissenschaft in Basel, Zürich, Paris, München und Wien, Abschluss mit einem Doktorat 1957. Tätigkeit als Kulturjournalist in Basel und Zürich. 1955 Heirat mit der Pianistin und Filmschaffenden June Kovach. Ab den 1960er Jahren war Seiler als Regisseur, Autor und Produzent tätig und prägte mit seinen oft gesellschaftpolitisch ausgerichteten Dokumentarfilmen, seiner Tätigkeit als Filmproduzent und seiner filmpolitischen Arbeit das Schweizer Filmschaffen mehrere Jahrzehnte nachhaltig. 1961 Gründung der Filmproduktion Seiler + Gnant Filmproduktion mit June Kovach und Rob Gnant, von 1972-1982 Produktionsgemeinschaft Nemo Film GmbH (mit Kurt Gloor, Markus Imhoof, Fredi Murer, Yves Yersin u.a.), 1982-2002 Zyklop Film AG.
Von 1965-70 hatte Seiler das Amt des Sekretärs des Verbands Schweizerischer Filmgestalter inne und blieb bis 1984 Vorstandsmitglied. Er war Mitbegründer des Schweizerischen Filmzentrums (heute Swiss Films) und dort von 1968-84 aktiv sowie der Solothurner Filmtage. 1969-71 Mitglied der Eidgenössischen Filmkommission, 1987-91 Mitherausgeber der Zeitschrift Einspruch. Mit dem Kurzfilm In wechselndem Gefälle gewann Seiler 1963 in Cannes die Palme d'or, 1965, 1977 und 1990 Auszeichnung mit dem Zürcher Filmpreis sowie 2014 im Rahmen des Schweizer Filmpreises mit dem Ehrenpreis.
Vgl.:Seiler, Alexander, in: Historisches Lexikon der Schweiz http://www.hls-dhs-dss.ch/textes/d/D9243.php, abgerufen am 03.2.2016, und Swiss Films http://www.swissfilms.ch/de/film_search/filmdetails/-/id_person/332, abgerufen am 08.2.2016.

Fama Film AG

  • CHCS000047ISAAR
  • Collectivité
  • 1987-

Société de production et de distribution de films, fondée à Berne le 26 août 1987. Depuis le 8 janvier 2001, son siège est à Zurich. En 2015 elle fait uniquement de la distribution.

Dinkelmann, Max

  • CHCS000046ISAAR
  • Personne
  • 1920-2014

Max Dinkelmann est né le 2 avril 1920 à Herzogenbuchsee (Berne), où il a grandi. Dessinateur-constructeur (Konstrukteur) de profession, il a terminé sa carrière dans l’entreprise textile Viscosuisse à Emmenbrücke (Lucerne) en 1985. Cinéaste amateur passionné, il a réalisé depuis 1948 une quarantaine de films documentaires. Il a d'abord filmé sa famille avant de filmer son pays. Ses sujets de prédilection sont des localités, lacs et cours d’eaux des cantons d’Argovie et de Berne.
M. Dinkelmann a filmé d’abord en 8 mm puis en 16 mm, montant et produisant ses films documentaires pratiquement seul dans l’atelier installé à son domicile à Kriens (Lucerne). Le réalisateur-producteur a fait des présentations publiques de ses films (Filmvorführungen) à différents publics, particulièrement des retraités. Il a également œuvré comme projectionniste à Lucerne.
M. Dinkelmann est décédé le 7 novembre 2014.

Buhrer Levenson, Claude

  • CHCS000045ISAAR
  • Personne
  • 1938-2010

Née en 1938 à Paris et décédée en 2010 à Lausanne, Claude Buhrer Levenson est une journaliste, essayiste, écrivain et traductrice, spécialiste de l'Asie, particulièrement du Tibet et du dalaï-lama. Elle a également écrit des critiques de films au début de sa carrière. Epouse du journaliste Jean-Claude Buhrer, elle publie généralement sous le nom de Claude B. Levenson.

Exposition Le train du cinéma

  • CHCS000044ISAAR
  • Collectivité
  • 1988-1988

L’exposition itinérante « Le Train du Cinéma » est réalisée en 1988 sous le patronat du Comité national de l’Année européenne du cinéma et de la télévision. En Suisse, les activités sont pour l’essentiel : le train du cinéma, la journée du cinéma et la production de copies additionnelles de films suisses ou européens inédits.
L’exposition est composée de trois wagons CFF qui présentent une vitrine de la production cinématographique suisse et européenne des dernières décennies. La tournée prévoit une cinquantaine d’arrêts dans des gares suisses. Elle débute à Ostermundigen (Berne) le 8 avril et s’achève le 31 octobre à Lausanne. [D’après le rapport « Le point des activités en Suisse », Bern, 25 mars 1988 et le dépliant de présentation]

Pinkus, Gertrud

  • CHCS000043ISAAR
  • Personne
  • 1944-

Gertrud Pinkus (geb. 11.9.1944 in Solothurn), Ausbildung am Stadttheater Basel und in der Akademie der bildenden Künste München als Bühnenbildnerin, danach Arbeiten im Bereich des Theaters, Performance und Strassentheaters. 1971 erfolgte der Wechsel zum Film, Tätigkeiten in den Bereichen Drehbuch, Kameraführung, Regie, Schnitt, Mitarbeit bei über 30 Dokumentarfilmen für ZDF und ARD. Seit 1975 arbeitet Pinkus selbständig als Drehbuchautorin und Regisseurin. Ihr Werk zeichnet sich durch seine Vielfältigkeit aus, so realisierte sie sowohl Dokumentar-, Spiel- und Experimentalfilme und ist im Journalismus und als Fotografin tätig. Von 1993-2005 verlegte Pinkus ihren Lebensmittelpunkt nach Mexiko und Guatemala. Seit ihrer Rückkehr in die Schweiz 2006 arbeitet sie in Zürich. Gertrud Pinkus wurde mehrfach für ihre Werke ausgezeichnet. Vgl.: Pinkus, Gertrud bei Swiss Films: http://www.swissfilms.ch/de/film_search/filmdetails/-/id_person/1801, abgerufen am 04.05.2015.

Autant-Lara, Claude

  • CHCS000042ISAAR
  • Personne
  • 1901-2000

Réalisateur français né le 5 août 1901 à Luzarches (Seine-et Oise), Claude Autant-Lara baigne dès son plus jeune âge dans le monde du théâtre. Ses parents sont les fondateurs du groupe culturel Art et Action, véritable laboratoire dont la fonction est de restaurer la scénographie et dont l’influence est considérable surtout jusqu’aux années 30. C. Autant-Lara s’occupe des décors et des costumes dans la compagnie théâtrale.
Ses connaissances lui permettent de devenir très vite, dès 1919, le décorateur avant-gardiste de Marcel L’Herbier, le collaborateur et costumier de Jean Renoir et de René Clair. En 1923, il tourne son premier long-métrage expérimental, Faits divers, confiant les rôles principaux à sa mère, Louise Lara, et à Antonin Artaud.
En 1925, il écrit le scénario de Construire un feu, qu’il tourne en 1927/28. Pour la réalisation de ce court-métrage inspiré de Jack London, il utilise l’hypergonar du professeur Chrétien, l’ancêtre du cinémascope.
Après un séjour de deux ans (1930-32) aux Etats-Unis durant lesquels il travaille pour la MGM, Autant-Lara revient en France, dégoûté par les méthodes américaines. Il signe en 1933 son premier long-métrage, Ciboulette, avec la collaboration de Jacques Prévert. Cette oeuvre s’inspire d’une célèbre opérette de Reynaldo Hahn, sur un livret de Robert de Flers et Francis de Croisset. Ce dernier attaque le film à sa sortie en 1933 et d’innombrables polémiques se déclenchent à propos des droits d’auteurs. Finalement Autant-Lara lui-même désavoue la version présentée au public car les producteurs l’ont raccourcie et en ont modifié le montage.
En 1934, Jacques Prévert rédige le scénario et, avec la collaboration d'Autant-Lara, les dialogues d’une adaptation d’un roman intitulé “ El Socio ” (traduit sous le titre de Mon associé, Monsieur Davis), de l’auteur chilien Jenaro Prieto (1928). Avec le producteur Pierre Braunberger le projet n’aboutit pas. En 1936, la maison de production Oxford Street s’y intéresse mais fait réécrire le script, dénaturant ainsi complètement le scénario initial. Le film sort en mars 1937 à Londres sous le titre My Partner, Mr. Davis mais il n’est pas distribué en France.
Après cette affaire regrettable, Autant-Lara accepte de devenir le conseiller technique de Maurice Lehmann. Ce dernier est alors directeur du Châtelet, où, de 1944 à 1946, il monte des opérettes à grand spectacle qui vont assurer la notoriété et le succès de cette salle. Il engage le cinéaste qui dirigera trois films pour lui sans pour autant les signer (il n’apparaîtra au générique que comme conseiller technique): L’Affaire du courrier de Lyon (1937), avec Pierre Blanchar, Le Ruisseau (1938) avec Michel Simon et Françoise Rosay, Fric-Frac (1939) avec Arletty, Fernandel et Michel Simon. Ces films permettent à Autant-Lara de travailler avec de grands acteurs et d’asseoir son talent en tant que réalisateur.
Décidant de continuer à travailler sous l’Occupation, le cinéaste redevient l’unique responsable de ses films, ce qui n'était plus le cas depuis Ciboulette. C’est également durant cette période qu’il prépare Le Rouge et le noir, projet dont l'anticléricalisme effraie les producteurs.
Dès lors, il signe des œuvres remarquables mais dérangeantes qui ne manqueront pas de choquer ou de bouleverser la critique et le public. Malgré ses détracteurs, qui voient en lui un réalisateur provocateur aux idées pernicieuses, C. Autant-Lara continue à tourner avec toujours autant de conviction en dépit de la censure qui tente à de nombreuses reprises d'interdire la sortie de certains de ses films.
Les années 50 sont les plus fastes pour le réalisateur qui aligne les succès commerciaux, attirant le public malgré les méchancetés systématiques énoncées par les critiques à son égard. La Nouvelle Vague prend de l’importance et s’évertue à le dénigrer en lui reprochant de ne choisir ses sujets que dans des oeuvres littéraires classiques.
Grand admirateur de Stendhal, après avoir adapté Le Rouge et le noir (1954) et Lucien Leuwen (1972), le grand rêve d'Autant-Lara est de réaliser la Chartreuse de Parme. Il fait la connaissance de Marcel Dassault qui lui promet de produire le film à condition qu’il tourne auparavant une bluette, dont il est lui-même l’auteur. C. Autant-Lara réalise ainsi Gloria, film mièvre et sans intérêt, qui tombe rapidement dans l’oubli; à la suite de cette expérience, Dassault ne tiendra pas ses engagements et ne produira pas la Chartreuse de Parme. Cet échec cuisant écoeure Autant-Lara. Il laissera exploser sa colère dans un livre intitulé « Télémafia », dans lequel il dénonce l’hypocrisie ambiante et où il explique comment, de confusions en escroqueries, il a été écarté du projet.
Parallèlement à sa carrière, le cinéaste est très engagé dans la défense de la branche cinématographique et mène une intense activité syndicale au sein de la Fédération Nationale du spectacle, se préoccupant des conditions de travail des différentes professions et des conventions collectives, de la distribution et de l'exploitation, des accords de production avec l'étranger, des relations avec les autorités politiques. Il s'investit entre autres dans le Comité de défense du cinéma français.
Claude Autant-Lara est décédé en janvier 2000 dans le sud de la France, laissant derrière lui une oeuvre inégalée et le souvenir d’un cinéaste contesté, parfois injustement, qui se battait corps et âme pour défendre ses opinions cinématographiques. Le cinéma français lui doit de grands films tels que L’Auberge rouge (1951), Le Blé en herbe (1953), la Traversée de Paris (1956), En cas de malheur (1958), la Jument verte (1959).
Cinémathèque suisse, 2017

Hofmann, Edwin

  • CHCS000041ISAAR
  • Personne
  • 1934-1985

Edwin Hofmann est un collectionneur bâlois. Il est domicilié à Aesch (BL) en août 1983, lorsqu'il transmet l'inventaire de sa collection au Gewerbemuseum de Bâle. Il signe cet inventaire Edwin Hofmann-Müller.

ZOOM Verleih für Film und Video

  • CHCS000040ISAAR
  • Collectivité
  • 1971-2002

Die Verleihtätigkeit der evangelisch-reformierten Kirche formierte sich 1952 mit der Gründung der Verleihstelle Protestantischer Filmdienst, dem späteren Verleih ZOOM, durch den Schweizerischen Protestantischen Film- und Radioverband. Der Verleih verfolgte eine kirchlich geprägte Medien- und Bildungsarbeit und vertrieb Schmalfilmformate, ab 1974 auch Dias, Fotografie, Tonbilder, ab den 1980er Jahren auch Videoformate. Der Verleih legte von Beginn an einen Fokus auch auf Schweizer Filme. Bereits seit 1971 gab die Verleihstelle ZOOM in Zürich gemeinsam mit dem katholischen SELECTA-Verleih in Fribourg einen gemeinsamen Katalog heraus. Dieser Schmalfilmverleih war wiederum 1964 in Fribourg zur Unterstützung der Filmbildung in Jugend- und Erwachsenenorganisationen gegründet worden (Gründungsmitglieder: Franz Ulrich, Hugo Carpataux, Abbé Joseph Joye). Am 1. Januar 1991 erfolgte die Fusion zum ökumenischen Film- und Videoverleih SELECTA/ZOOM. Trägerschaft war der Verein ZOOM, der alle ökumenischen Tätigkeiten des Evangelischen und Katholischen Mediendienstes betrieb. Der Evangelische und Katholische Mediendienst führten den Verein nun gemeinsam in Zürich. Ab 1996 Verlegung nach Bern und Umbenennung zu ZOOM Verleih, analog zu den weiteren ökumenischen Projekten, der ZOOM Zeitschrift für den Film, der ZOOM Dokumentation und dem Pressedienst ZOOM Tip. Enge Zusammenarbeit mit der Filmkommission KEM (Kooperation Evangelischer Kirchen und Missionare)/HEKS (Hilfswerk der evangelischen Kirchen Schweiz)/BfB (Brot für Brüder), deren Filme via ZOOM Verleih verliehen wurden, und der Fachstelle der Filme für eine Welt. Mit der Abwicklung des Verleihbetriebes wurde ab 1. Januar 1996 das Film Institut in Bern beauftragt, das u.a. das Schweizer Schul- und Volkskino und die Schulfilmzentrale umfasste. Für den Parallelverleih und das Verleihprogramm waren aber weiterhin die Filmbeauftragten der kirchlichen Mediendienste zuständig. Nachdem das Film Institut Bern Ende 1998 seinen Film- und Videoverleih einstellte und die Zusammenarbeit mit ZOOM kündigte, wurde ab Januar 1999 der Verleih ZOOM mit der Head-Film AG in Zürich neu organisiert. Nach 2000 sukzessive Aufgabe des Filmverleihs, Verkauf der Filme an die Head-Film AG und Vertrieb durch den Medienladen. Die offizielle Übertragung der Tätigkeit des Verleihs an die Head-Film erfolgte am 1. Januar 2002, bei dieser rasch Einstellung der Tätigkeit per 2004 aufgrund des Bedeutungsverlusts von 16mm Filmkopien. Seit 2000 Fortsetzung der Tätigkeit mit dem Betrieb des Medienladens (heute Relimedia).
Die Existenzzeit ist eine Schätzung (Jahr des 1. publizierten Katalogs). Es liegt keine Gründungsurkunde vor.

Evangelischer Mediendienst

  • CHCS000039ISAAR
  • Collectivité
  • 1983-2000

Die reformierten Kirchen in der Deutschschweiz institutionalisierten ihre Medienarbeit mit der Gründung von verschiedenen Organisationen. Vorläufer des Vereins Evangelischer Mediendienst (1983-2000) waren der Schweizerische Protestantische Film- und Radioverband (SPFRV), gegründet am 4.7.1948, sowie die Vereinigung evangelisch-reformierter Kirchen der deutschsprachigen Schweiz für kirchliche Film-, Radio- und Fernseharbeit (Vereinigung FRF), gegründet am 13.5.1968. Nachfolgeorganisation ist der Verein Reformierte Medien (ab 2000). Bereits 1963 war ein Sekretariat für die kirchliche Filmarbeit eingerichtet worden, ab 1967 bis 1984 besetzt durch Pfarrer Dölf Rindlisbacher als Filmbeauftragter, gefolgt von Pfarrer und Dozent Hans Hodel von 1987 bis 2003. Im Rahmen dieser Organisationen verfolgte die reformierte Kirche Tätigkeiten in den Bereichen Filmpublizistik, Dokumentation, Filmverleih, Beratung, nationale und internationale Juryarbeit, Filmförderung u.a. Als zentrale Person war der Filmbeauftragte für einen Grossteil der Aktivitäten und Projekte verantwortlich. Ab den siebziger Jahren wurde die ökumenische Zusammenarbeit in der kirchlichen Medientätigkeit stetig ausgebaut und Aktivitäten mit den katholischen Pendants sukzessive fusioniert. Für die ökumenischen Projekte war bis 2000 der Verein ZOOM und die Nachfolgeorganisation Ökumenische Mediengruppe (Verein, ab 2000) verantwortlich.
Im Bereich der Publizistik veröffentlichten diese Organisationen die Zeitschriften Schweizerischer Protestantischer Film- und Radioverband (1948-1952), Film und Radio (1952-1970), Zoom (1970-1972), Zoom-Filmberater (1973-1982), Zoom Film, TV, Radio (1983-1989), Zoom Film und Medien (1990-1991), Zoom Zeitschrift für den Film (1992-1999).

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